Récits érotiques du web

Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 11:22

La piscine de l’hôtel offrait un spectacle à couper le souffle ; seul îlot de lumière au sein de la nuit, elle était illuminée par le fond de dizaines de petites lampes, lui donnant ainsi l’aspect d’une flaque d’étoiles. La nuit était chaude, c’était ce qui avait décidé Virginie à aller faire quelques brasses. L’eau était à la température parfaite, l’idéal pour se rafraîchir, pas un bruit ne résonnait dans la nuit. Elle se sentait bien, détendue.

 

Elle en était à sa troisième longueur quand elle vit qu’elle n’était plus seule. Un autre client de l’hôtel approchait de la piscine, sa haute silhouette se découpait dans l’obscurité. Quand il arriva dans la lumière, Virginie fut frappée de stupeur. Il était incroyablement beau ! Le peignoir qu’il portait laissait entr’apercevoir des pectoraux magnifiquement musclés, son visage était doux, un peu comme ces acteurs britanniques à la Pierce Brosman. Quand il laissa tomber le peignoir, Virginie put découvrir que son corps ne souffrait d’aucun défaut, musclé à la perfection, sans excès. Il ne donnait pas l’impression de l’avoir remarquée.

 

Virginie sentait monter en elle la douce chaleur du désir, s’imaginant dans les bras de ce bel Apollon. L’inconnu se retourna vers elle, avait-il senti son désir par quelque sens extra-sensoriel ? Virginie ne le saurait jamais, elle crut rêver quand elle le vit s’avancer vers elle, un petit sourire aux lèvres ; chaque pas qu’il faisait en sa direction augmentait son trouble. Enfin il fut là, à quelques centimètres de son corps brûlant, encore plus beau qu’elle ne l’avait cru, et si mystérieux ! Il n’avait pas prononcé une seul parole, mais son regard était sans équivoque : il la voulait !

 

Il se laissa couler dans l’eau près d’elle, leurs corps n’étaient plus séparés que de quelques centimètres, Virginie sentait le trouble envahir son corps. Elle avait envie de cet homme qu’elle n’avait jamais vu, envie de se laisser aller, toute offerte aux désirs de l’inconnu. Elle se mordait la lèvre pour ne pas l’embrasser. L’apollon passa lentement sa main dans le dos de Virginie, déclenchant en elle une onde électrique de désir ; se rapprochant d’elle, il lui embrassa tendrement le coin des lèvres. Virginie n’y tint plus, elle embrassa avidement les lèvres de l’inconnu, leur langues s’unissant dans un baiser fougueux et passionnés.

 

Toute notion de raison effacée, Virginie s’agrippa à cet homme qu’elle voyait pour la première fois, ses mains caressant son corps musclé. Les mains de l’inconnu n’épargnaient aucune partie de son corps, la caressant sans insistance ; sa peau frémissait à ce contact empli de douceur et de désir. Remontant dans son dos, il lui dénoua le haut de son bikini, libérant ses seins ainsi offerts aux baisers fougueux de l’inconnu. Elle sentait sa langue jouer sur ses mamelons durcis par le plaisir. Les mains de l’inconnu étaient solidement fixées sur ses fesses, seul le fin tissu du bikini atténuait ce contact troublant. Virginie se laissait aller au plaisir de ces baisers passionnés, elle laissait ses mains découvrir le corps de cet homme mystérieux, sa musculature se dessinait sous ses doigts.

 

Sous l’effet d’une audace qui ne lui ressemblait pas, elle laissa glisser sa main jusqu’à l’entrejambe du bel inconnu pour sentir la dureté de son sexe qui tendait dangereusement le short de bain. L’inconnu émit un soupir de plaisir au contact de son audace, Virginie en profita pour serrer plus fermement le membre viril de son amant. L’apollon laissa glisser à son tour sa main sous le fin tissu du bikini, à la recherche du sexe de Virginie qui palpitait de désir.

 

Quand elle sentit ses doigts entrer en contact avec son clitoris, son bas-ventre s’embrasa. Il la caressait doucement, elle sentait le contact ferme et doux de ses doigts sur son sexe offert, la vigueur de ses caresses l’amenait inexorablement aux portes de l’orgasme, elle agrippa son dos d’une main, l’autre toujours occupée à caresser à travers le short de bain la verge dure et gorgée de plaisir de l’inconnu.

 

Quand l’orgasme la submergea, elle renversa la tête en arrière pour crier. Elle avait l’impression d’être faite de métal en fusion, tellement le désir hurlait en elle. Elle débarrassa prestement le sexe de l’inconnu de son rempart de tissu afin de pouvoir le prendre dans sa main, le caressant dans toute sa longueur, cherchant les zones qui lui arrachaient des soupirs de plaisir.

 

Le bel apollon lui retira également le reste de son bikini, continuant à la caresser lentement. Elle sentait son souffle chaud dans son cou, ses lèvres si proches de sa peau accentuaient son désir. Elle crut jouir encore quand il la pénétra d’un de ses doigts, caressant son sexe de l’intérieur, le va-et-vient qu’il faisait en elle s’accordait aux caresses qu’elle lui procurait. Elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler de plaisir sans discontinuer. L’inconnu l’embrassa avec passion, bâillonnant ainsi ses cris de plaisir, en même temps qu’il la pénétrait d’un doigt supplémentaire.

 

Surprise par autant de plaisir, Virginie lâcha le sexe du bel inconnu, elle n’avait jamais ressenti une telle jouissance, il semblait connaître le moindre de ses désirs. Quand il la pénétra d’un troisième doigt, elle senti un orgasme engourdir son bas-ventre, tout de suite suivi par une vague de plaisir. Malgré les deux orgasmes qu’il venait de lui procurer, il ne semblait pas vouloir en rester là, le va-et-vient de ses doigts augmentant sa cadence, s’enfonçant toujours plus profondément en elle, la rendant folle. Elle était comme une poupée, esclave des désirs et de la passion de ce bel inconnu, toujours enlacés dans ce baiser passionné, ses doigts profondément ancrés en elle, lui arrachant des cris de plaisir aussitôt étouffés par le tendre bâillon de ce baiser.

 

Puis il retira lentement ses doigts de son sexe, et la prenant par les fesses, il la hissa sur le rebord de la piscine. Elle était assise face à sa bouche avide, son sexe tout offert à sa langue. Il commença à lentement faire jouer le bout de sa langue sur son clitoris, ses mains maintenaient fermement ses cuisses ouvertes. Chaque mouvement de sa langue embrasait Virginie, ne pouvant se retenir, elle agrippa la tête de l’inconnu, afin que celui-ci approfondît son exploration. Elle sentait sa bouche embrasser son sexe, sa langue explorant sa fente chaude et humide de désir. Les mains de l’inconnu se firent plus aventureuse, relâchant la pression qu’elles exerçaient sur ses cuisses, pour partir de nouveau à la découverte de son sexe, jouant doucement à l’entrée de ce territoire de plaisir ; les caresses buccales de l’inconnu se firent un peu plus appuyées, jouant avec passion sur son clitoris.

 

Quand l’inconnu introduisit à nouveau ses doigts en elle, elle crut défaillir de plaisir, il stimulait la zone la plus sensible de son sexe, la caressant de l’intérieur dans un doux et puissant va-et-vient pendant que sa langue la rapprochait à nouveau de l’orgasme. À travers le brouillard de plaisir qui lui obscurcissait l’esprit, elle sentit l’inconnu titiller très légèrement son anus en même temps ; loin de la bloquer dans son plaisir, cela renforça sa jouissance, tout son corps semblait n’être que plaisir ! Elle n’en revenait pas de l’audace de cet homme, et encore moins de son savoir-faire, jamais elle n’aurait pu imaginer une telle jouissance. L’orgasme déferla en elle, puissant, sauvage comme le cri qu’il lui arracha. Attirant à elle le visage du bel inconnu, elle l’embrassa passionnément, l’invitant à la rejoindre sur le bord de la piscine.

 

Virginie laissa ses mains se balader sur le corps sans défaut de l’apollon, approchant avec gourmandise de ses pectoraux qu’elle embrassa avec fougue, mordillant ses mamelons, sentant les battements de son corps sur le bout de sa langue ; sa main s’était faite audacieuse et elle tenait le sexe de l’inconnu d’une poigne ferme, l’amenant au plaisir par un va-et-vient doux et tendre. La respiration haletante de son bel amant la rendait folle de désir ; décidant de lui rendre la pareille, elle dirigea sa bouche et ses baisers vers l’entrejambe de son partenaire, afin de prendre le membre fièrement dressé à pleine bouche, le cri de surprise et de plaisir que cela provoqua fit monter en elle une vague de désir supplémentaire. Elle faisait aller et venir sa bouche sur la verge gonflée du bel inconnu qui haletait de plaisir, titillant et léchant longuement le membre viril, buvant le désir qui s’écoulait du gland prêt a exploser. Du coin de l’œil, elle vit quelque chose qui faillit la couper dans son élan : à quelques mètres d’eux, allongée sur un transat, une femme les observait avec gourmandise. Sa main glissée sous son paréo ne laissait aucun doute sur l’effet que provoquaient en elle leurs ébats. Virginie ne comprenait pas pourquoi, mais cela augmenta encore son excitation, et elle plongea encore plus profondément le sexe de son amant au fond de sa bouche, lui arrachant un cri de plaisir. Il ne semblait pas se rendre compte qu’on les observait, il était tout à son plaisir, les yeux mi-clos. Lâchant enfin le sexe de l’inconnu, Virginie se mit à califourchon sur lui, enfonçant son sexe au fond d’elle d’une poussée. Elle se sentit exploser de plaisir. Le sexe de l’inconnu semblait n’exister que pour la faire s’abandonner à la volupté et au plaisir. Elle remuait ses hanches sur lui, sentant à chaque mouvement le sexe de son bel amant bouger en elle, la femme qui les regardait augmentant encore son excitation.

 

Au bout de quelques minutes de cette chevauchée sauvage, l’inconnu se dégagea de l’étreinte de ses jambes pour reprendre les commandes. L’entraînant quelque peu à l’écart de la piscine, il l’allongea sur le dos sur un transat. Glissant son corps brûlant de désir contre le sien, il l’embrassa avec fougue ; elle sentait le membre viril si ardemment désiré contre son ventre. Elle ne put s’empêcher de faire glisser en elle l’objet de son désir. Quand elle le sentit taper au fond d’elle, elle hurla son désir. Du coin de l’œil, elle observait toujours la voyeuse dont les mouvements de main de plus en plus rapide trahissaient l’excitation.

 

Son bel amant allait et venait en elle avec fougue et force, elle sentait l’orgasme sur le point de la ravager à nouveau. Son bel amant devait avoir senti cela lui aussi car il accéléra son mouvement pour amener Virginie à l’orgasme. Ils explosèrent de plaisir au même instant, Virginie sentait les soubresauts du sexe de son amant en elle alors qu’il achevait de lui donner son précieux liquide. Virginie le sentait toujours dur et solidement fixé en elle, tel un roc inamovible. Il s’approcha de son cou, la mordillant doucement, elle se sentait attristé à l’idée de devoir le sentir sortir d’elle.

 

Les petites morsures de son amant firent bientôt place à de tendres baisers, puis la tendresse fit place à la fougue alors même que le bel inconnu reprenait son va-et-vient en elle. Virginie crut devenir folle de plaisir ; la fougue de l’inconnu ne semblait pas avoir diminué d’un pouce, bien au contraire ! Sans même qu’elle ne se rende compte de quoi que ce soit, elle se retrouva assise sur lui, son sexe profondément ancré en elle, sa main caressant son clitoris. Virginie sentait la sueur due à l’effort couler entre ses seins, elle avait du mal à garder son souffle. Elle voyait toujours la femme les regarder avec gourmandise, se caressant toujours sous son paréo.

 

Cela accroissait encore l’excitation de celle qui se cambra un peu plus sur son partenaire, enfonçant sa verge un peu plus profondément en elle et offrant son sexe aux caresses de ses mains expertes. L’inconnu allait puissamment en elle, chaque mouvement de son sexe lui arrachant des cris de plaisirs ; il se sépara d’elle et la fit changer de position, la prenant ainsi dans une levrette passionnée, donnant de puissants coups de reins en elle ; Virginie criait sans discontinuer, tout à son plaisir elle ne se préoccupait même plus de ce que faisait la voyeuse. Elle allait jouir à nouveau, elle sentait chaque mouvement de l’inconnu en elle embraser son sexe, son clitoris lui faisait l’effet d’une fleur enflammée par le plaisir. Ils jouirent à nouveau à l’unisson, retombant haletants et épuisés sur le transat. Elle sentait le sexe de l’inconnu continuer à déverser son plaisir en elle, il la prit dans ses bras dans une étreinte douce et tendre.

 

Virginie lança un dernier coup d’œil vers le fauteuil de la mystérieuse femme, il était vide, celle-ci avait disparu. Virginie se laissa aller à la douceur de leur étreinte, posant sa tête sur le torse de son bel amant, reprenant des forces…

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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Mardi 13 octobre 2 13 /10 /Oct 23:23

Je te regardes dormir, roulée en boule. Tu as dormi déguisée en chatte. Nue. Enfin presque, en culotte et en bas. Je m'amuse avec tes fausses oreille. Puis mes mains se font plus baladeuses ... Tu t'éveilles doucement, t'étires. Ta poitrine ressors et je me penche pour l'embrasser. Tu pousses un petit feulement de plaisir : tu es déjà dans ton rôle. Je souris. Je te caresse délicatement le ventre, les flancs, la poitrine. Tu t'étires de plus bel en fermant les yeux. Tu miaules. Enfin mes mains s'arrête sur tes hanches, je me penche pour t'embrasser. Je me recule et tu te mets à quatre pattes. Tu descends du lit et t'étires comme une chatte. D'abord les 'pattes' avant, en bombant ton joli petit cul. Puis les 'pattes' arrières, en me montrant bien ta poitrine.

Tu commences alors à parcourir la pièce, te frottant au meubles, jouant avec des fils. Je m'avance vers toi, la verge dressé et dis :
"- Regarde, ma minette, un nouveau jouet ..."
Tu donnes de petit coup de pattes. Puis tu la saisis à deux mains. Tu me regardes et miaules. Et tu commence à me lécher le gland. Tu t'arrêtes, miaulement interrogatif. Je hoche la tête en te caressant les cheveux et frottant tes fausses oreilles. Tu te frottes sur ma jambe puis lèches longuement ma hampe. Je soupire et dis :
"- J'adore ta petite langue râpeuse, ma minouche."
Tu miaules de plaisir et tu avale alors mon sexe. Je pousse un râle de plaisir. Tu me caresses les cuisses et ta langue s'active dans ta bouche. Tu fais des mouvements d'avant en arrière. Ma main se pose sur ta tête. J'hésite à te saisir la nuque mais décide de te laisser les commandes et me contente de te caresser les cheveux. Tu me récompense par encore plus d'ardeur dans ta succion. Je caresse ton dos. Enfin tu laisses ma verge, te frottes à mes jambes et retournes sur le lit.

Je m'approche et tire ta culotte pour la faire entrer dans ton intimité. J'admire ta fente avec envie. Tu tournes la tête, me regardes, et miaules. Puis tu t'allonges sur le dos et t'étires de tout ton long. Je m'assoie à tes côtés et te caresse le corps. Mes doigts s'égarent dans ta culotte. Je sens que tu es humide. Je te regarde et demande :
"- Tu as envie, ma chatte ?"
Miaulement d'excitation. Je souris et t'embrasse. Je descend ta culotte et lèche ta fleur. Tu te trémousses en poussant un léger feulement. Mes doigts entrent en toi. Feulement sourd, presque une plainte. Je susurre :
"- Oh oui, très envie ..."
Je me relève et te regarde. Tu te mets alors à quatre pattes et fais bouger tes petites fesses devant moi pour m'inviter. Je ne réagis pas. Tu t'étire alors à nouveau, amenant ton cul très près de moi. Là je ne résiste plus et j'écarte délicatement les lèvres de ton intimité pour y déposer un baiser. Mes mains glissent le long de ton dos et viennent se placer sur tes épaules. J'entre alors doucement en toi. Tu miaules joyeusement. Je te prends longuement, intensément. Je tes sens vibrer sous mes assauts. Je te redresse contre moi, te serre dans mes bras. Tu frottes ta tête sur mon visage, me donne un coup de langue sur la joue. Enfin je sens la jouissance approcher.

Je te dépose délicatement sur le dos et m'assieds par dessus ta poitrine. Tu joues avec mon sexe comme un chaton, le mordilles même gentiment. Tu joues avec mes bourses aussi. Ca m'excite terriblement de te voir te comporter ainsi. Enfin tu me prends entre tes seins et me lèches. C'est la fin de notre petit jeu et le début d'un autre ... Je m'active entre ta poitrine. J'ai envie de sentir tes lèvres sur mon gland mais tu te contentes de me regarder. Tu pousses de petit miaulement d'encouragement par intermittence. Je me recule d'un coup, me branle deux ou trois fois et commence à juter sur toi. Tu te jettes de suite sur mon sexe et l'avales pour goûter autant de ma semence que possible. Tu suces ma verge de toutes tes forces. Je tremble d'excitation. Je serre ta tête contre mon aine. Ta langue s'active à extraire mon jus. Enfin je suis vidé, complétement. Je sors doucement de ta bouche et tu me laisses partir à contrecœur. Puis tu t'allonges à nouveau et pétrit tes seins en te léchant les lèvres. Ton regard me dis que tu n'en as pas fini avec moi ...

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 22:00

Il est 18h. Cela fait déjà un moment que je suis assis au bord de mon lit dans la pénombre de ma chambre à attendre ton arrivée. Je n’ai pas compté les minutes, mais j’ai senti monter progressivement mon désir et mon impatience d’être enfin avec toi. Les images de nos ébats dans cette chambre d’hôtel me reviennent par flashes successifs… Je me remémore ces instants forts dans la forêt… Encore quelques minutes à attendre…


Je guette par intermittence mon téléphone afin de voir si tu n’as pas laissé un message qui doit me signaler que tu es enfin devant la porte d’entrée de mon immeuble. Non, toujours rien… Un nouveau souvenir de ta bouche chaude sur mon sexe bandé se presse dans ma mémoire… Je fais glisser ma main le long de mon torse nu, puis j’écarte l’élastique de mon boxer pour toucher mon sexe dur comme un morceau de bois, je l’étreins doucement… Il palpite déjà entre mes doigts chauds.


Une vibration. "Message reçu".


Je suis devant chez toi. Ouvre-moi !


Je me lève prestement, mon cœur danse dans ma poitrine tandis que je me dirige vers la porte d’entrée, j’attrape le combiné de l’interphone :


  • — Je suis au rez-de-chaussée, c’est la première porte sur la gauche en entrant. À tout de suite.

Je repose le combiné doucement, je me demande si tu vas suivre le jeu jusqu’au bout, un petit mouvement de tête pour vérifier que tout est en place comme le prévoit notre scénario d’aujourd’hui. Je suis impatient…


Je me glisse derrière la porte de mon salon, la laissant juste entrebâillée pour t’observer, sans que tu ne le saches. Je veux te voir. Je veux être prêt à commencer notre jeu…


Tu apparais enfin, je t’espérais depuis si longtemps. Tu pousses la porte et tu la refermes vite, comme si tu ne voulais pas gaspiller une seconde de ce temps qui nous est si précieux et si cher. Notre jeu commence… Hum… Enfin…


Comme je te l’ai promis, tu trouves la chaise au milieu de mon entrée, le masque de nuit, de couleur noire, y est posé en évidence pour que tu ne le rates pas. Tu laisses tomber ton sac à main le long de ton corps, tu fais glisser rapidement tes vêtements sur le sol dans un simple frottement d’étoffe. Je suis heureux de voir que tu ne gardes que ton string. Tu regardes le masque de nuit un très bref instant, et tu t’en saisis d’une main sûre et ferme. Tu jettes quand même un dernier regard à l’entrée de mon appartement, puis tu ceins le masque autour de ta tête et te mets à genoux. Tu es si désirable dans cette tenue et dans cette position. L’odeur de ton parfum embaume la pièce et se glisse jusqu’à moi dans un entêtant ballet olfactif qui augmente mon excitation déjà si forte…


Un murmure.


  • — Je suis là…

À moi de jouer, de te faire profiter au mieux de ce moment, d’aiguiser tes sens de la meilleure des manières pour que ces instants soient à jamais gravés dans ta mémoire. À défaut de voir, je veux que tu ressentes au plus profond de toi.


Je me glisse furtivement hors de ma cachette, en essayant de faire le moins de bruit possible ; mais le mouvement de ta tête dans ma direction et le sourire que tu affiches ne me laissent aucun doute, tu as perçu ma présence. Je m’approche de toi, ton parfum ici est plus fort. Je te prends la main, et d’une pression douce, mais ferme, je t’indique que tu peux te relever… Je ne t’embrasse pas tout de suite, je veux attiser ton désir…


  • — Suis-moi, fais-moi confiance, bébé…

Je passe devant toi, mon bras comme un fil d’Ariane pour t’indiquer de suivre le chemin de ma chambre. Tout doucement je te fais rentrer, tu sais déjà que nous sommes arrivés, car le bois du parquet sous tes pieds a laissé sa place à une moquette épaisse. Je te fais lentement monter sur mon lit, à quatre pattes.


  • — Ne bouge plus, nous commençons…

J’entends ta respiration, un peu saccadée, mais parfaitement maîtrisée, signe aussi de ton impatience, et du désir qui croît en toi. J’ai envie de glisser une main sur ta poitrine lourde qui pend entre tes bras pour percevoir les battements de ton cœur, mais il est temps d’unir mes lèvres aux tiennes. Je les contemple un instant, roses et pulpeuses, brillantes et terriblement désirables. Hum, notre baiser te surprend, il est suave, chaud, et rapidement je sens ta langue partir à la rencontre de la mienne, un mouvement humide et brûlant.


Des sensations érotiques explosent dans ma bouche et se diffusent dans mon corps comme une fièvre sexuelle. Tu m’excites. Ma queue se tend encore plus. J’ai envie de me débarrasser de mon boxer, mais je veux que tu saches à quel point tu m’excites, alors je me redresse et pose délicatement mes mains sur tes joues rougies par l’envie. Je presse avec soin ta tête sur mon sexe, nos peaux simplement séparées par le lycra de mon boxer.


Je frotte ma queue contre ton visage, je fais glisser mes couilles sur ta bouche qui s’entrouvre. Tu sors ta langue pour lécher le tissu qui enveloppe mon organe. Est-ce salé ? Je t’entends inspirer plus fort, comme si tu nourrissais ton excitation de l’odeur de mon sexe qui se dégage du tissu. Je me délecte de te faire languir et de t’aguicher de cette manière si crue et paradoxalement pratiquée dans la douceur la plus totale.


Mon sexe est prêt à éclater sous les pressions que peuvent exercer tes joues et ta langue, il est temps de lui donner plus d’espace. Je m’écarte à peine pour le libérer de sa prison de lycra, je le saisis d’une main pour le faire rouler sur ta joue, puis sur tes lèvres entrouvertes. Ta bouche s’ouvre d’un coup et ma queue plonge dans cette gaine de chair chaude et mouillée… Mon Dieu, quelle sensation !


Tes joues se creusent pour mieux aspirer et ta langue diabolique s’enroule autour de mon gland pour mieux le goûter. Que ressens-tu ? Prends-tu du plaisir à avoir enfin la bouche remplie de ce sexe dont nous avons tant parlé ? Je penche ma tête en arrière dans un mouvement ralenti pour mieux profiter de cette langue chaude, de cette bouche ardente et avide qui m’avale comme si sa vie en dépendait. J’adore… Je ferme les yeux, les veines de mon sexe palpitent sous l’effet de tes caresses. Hum… Mes jambes tremblent de plaisir tant tu es douée. Une nouvelle envie me prend.


Je m’éloigne un peu de toi, et mon sexe sort de ta bouche, luisant de salive, palpitant ; et je te prends la main :


  • — Descends du lit.

Je te fais mettre à genoux en face de moi, j’en profite pour m’asseoir sur le bord du matelas. Doucement, je pose ma main sur le sommet de ta tête, et je te fais pencher en avant pour que tu me suces encore, que c’est bon de te voir si docile. Je jubile en admirant ce merveilleux spectacle de ta bouche se refermant sur mon gland encore trempé alors que tu ne peux que l’imaginer. Tes va-et-vient, et les petits chuintements de ta bouche provoquent rapidement une envie de jouir. Non. Pas maintenant. Nous ne sommes pas allés au bout du scénario…


Je me retire de ta bouche qui reste ouverte, et je me laisse basculer en arrière. Mes mains attirent ta tête… Oui, tu as vite compris mes envies, car tu sors ta langue qui se pose sur mon anus… Hum… C’est une caresse divine, exquise même. Quel plaisir ! Tu lapes mon petit trou… Puis ta langue se fait plus dure, inquisitrice, pour me pénétrer. Je me sens partir, je défaillis… Que ressens-tu ? Qu’imagines-tu à cet instant précis ?


Cela fait plusieurs minutes que tu t’occupes de moi, il est temps de te donner du plaisir, tu le mérites amplement.


Je t’aide à te relever, puis je te fais allonger sur le dos, les jambes largement écartées. Je n’ai pas encore enlevé ton string qui serre ta chatte. Je suis sûr qu’elle est totalement trempée… J’ai envie de le vérifier… Je prends mon temps, et je m’allonge sur toi, pour t’embrasser et frotter mon sexe sur ton entrejambe. Ta langue vient à nouveau à la rencontre de la mienne, tandis que je ressens la chaleur de ta chatte à travers mon sexe tout dur. Les mouvements de nos corps miment l’amour et font remonter l’odeur envoûtante et forte de ton minou excité… Je ne peux plus attendre, il faut que je constate par moi-même…


Je descends le long de ton corps voluptueux en laissant ma langue glisser sur la pointe de tes seins durcis, sur ton ventre rebondis… Je me love entre tes jambes et je pose ma tête sur l’étoffe mouillée plaquée sur ton sexe. Oui, tu es très excitée, ton odeur emplit mes narines et fait chavirer mes sens… Je t’enlève rapidement ce string qui n’est plus qu’une entrave, je hume une dernière fois ton parfum et je te lèche… Ta saveur envahit mon palais. Un régal… Tes lèvres sont ouvertes, la mouille coule tellement que ma langue glisse entre tes fesses… Ton clitoris est gonflé de désir, je le sens palpiter sous ma langue. Je pose mes mains sous tes cuisses et je mets tes jambes sur mes épaules afin que tu t’offres définitivement à ma langue. Je te lèche… De ton anus frémissant jusqu’à ton clitoris…


  • — Hum.

Je t’entends gémir, un regard sur ton visage me permet de voir ton visage appréciant mon ouvrage. Ça renforce mon excitation et je presse mon sexe sur le matelas.


Je te lèche encore, ma langue s’enfonce au plus profond de ta grotte humide… Tu es prête pour la suite… J’attrape un gode nervuré pour te l’enfoncer… Ton corps se détend, agréablement surpris par cette intrusion. Je relève un peu plus tes jambes pour que ma langue puisse s’attarder sur ton anus pendant que ma main fait aller et venir le gode.


  • — Han.

Tes jambes se contractent et tremblent, tu t’abandonnes totalement pour mieux ressentir les instincts primaires qui ont pris le dessus. L’atmosphère devient animale.


Je retire le gode, replonge ma langue dans ta chatte et j’introduis un doigt dans ton anus. Il s’ouvre facilement… Je saisis alors un plug anal, et doucement, je l’enfonce dans ton cul ouvert… Je suis étonné de le voir disparaître si aisément. Tu m’excites…


J’aspire maintenant ton clitoris dans ma bouche, et d’un mouvement que tu ne perçois pas, je presse la poire du plug. Oui, mon bébé… Le plug se gonfle une première fois, dilatant encore plus ton cul… Ton corps s’agite… Je presse une fois de plus…


  • — HAN, oui…

La surprise fait place à l’extase…


Je presse une dernière fois la poire du plug fortement, tu dois te sentir remplie, ma bouche aspire ton clitoris encore plus intensément… Je me fais l’effet d’un vampire… Je te sens proche… Je ne relâche pas mon étreinte…


  • — HAN, OUI.

Ton corps se contracte, tu exploses… La jouissance se diffuse dans ton corps qui tressaute…


Je te laisse reprendre tes esprits, le temps pour moi de dégonfler le plug et de libérer ton cul… Ton anus reste ouvert un infime instant…


Je reprends le gode pour pénétrer ton sexe, je l’enfonce jusqu’au bout. Je saisis ta main tremblante.


  • — Donne-toi du plaisir avec, mais surtout, je ne veux pas qu’il sorte.

Je couvre mon sexe d’un préservatif, et j’enduis ton anus de gel, mes doigts s’enfoncent en toi comme dans une matière molle, ton anus totalement assoupli par le plug. Je te prends, mon sexe introduit en toi d’une traite, fermement, une longue poussée jusqu’à ce que mes couilles entrent en contact avec ton cul rond. Ta bouche est figée sur une expression de béatitude, ouverte, sans voix… Un soupir quand j’actionne les vibrations du gode.


  • — Baise-moi…

Il ne m’en faut pas plus pour te donner satisfaction, je te baise, comme tu me le demandes. Je te donne de vrais coups de boutoirs, je te lime le cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort…


  • — Oui, baise-moi… Oui, encore plus fort, baise-moi…

Je sens les vibrations à travers la fine paroi de ton sexe, ma queue est serrée dans cette gaine chaude… Je sens la sueur couler le long de mon dos, je sens la jouissance venir… Ta main agite le vibro avec une vitesse et une dextérité folle…


  • — Je vais jouir, baise-moi encore plus fort, plus fort… Oui.

Les picotements le long de mon sexe deviennent plus intenses…


  • — Je viens, bébé…

J’explose, je sens que je me vide dans le préservatif, je pousse au plus profond de toi pour faire durer le plaisir… Mon dieu que c’est bon… Le plaisir envahit mon cerveau… Je glisse dans le nirvana et je m’endors un moment sur toi…

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 20:02

Ils partirent tous les deux dans un grand éclat de rire qui finit dans un nouveau baiser. Allongée sur le dos, et désormais en monokini, Audrey se laissait peu à peu aller avec Damien qui se penchait sur elle, toujours aussi tendre et attentionné. Elle sentait tour à tour sur ses seins, sur ses cuisses ou sur son ventre la chaleur du soleil déclinant, une brise tiède et légère, ou les doigts de son amant qui l’effleuraient avec toujours autant de délice. Il l’entraînait avec beaucoup de savoir-faire vers sur des terrains inconnus sur lesquels, à sa grande surprise, elle se sentait parfaitement à l’aise. La plage était, certes, presque déserte mais bon, de là à s’abandonner de la sorte… Ça ne lui était jamais arrivé et elle ne l’aurait même pas envisagé. Alors que dans les bras de Damien, elle faisait totalement abstraction du contexte et continuait à s’offrir avec naturel qui tenait à la fois de l’innocence la plus pure et de l’indécence la plus éhontée.


Par ses soupirs, ses gémissements, son langage corporel, elle guidait Damien dans ses caresses, sans qu’elle ait besoin de lui dire quoi que ce soit. Il appréciait la fermeté et la souplesse de ses seins sous ses mains, qu’il trouvait particulièrement ravissants sous la lumière tamisée du soleil couchant. La peau prenait des teintes cuivrées, transformant Audrey en princesse orientale se prélassant dans une oasis du désert. Le rubis de ses tétons prenait, lui, une teinte encore plus intense, comme des braises sur le point de s’embraser. Elle savourait la douceur de ses doigts, mais au moins autant celle de son regard. En pleine lumière, et malgré les courts, fréquents instants de perte de lucidité que Damien provoquait dans son esprit, elle parvenait à mieux étudier son comportement que l’autre nuit. Elle ne décelait aucune trace de lubricité dans son regard, juste un subtil mélange entre une infinie tendresse et un désir violent et furieux. Elle n’éprouvait donc aucune gêne à offrir à son amant le spectacle du désir que ses seins exprimaient. Il s’amusait à la regarder, droit dans les yeux, à chaque fois qu’il se saisissait d’un téton, entre pouce et index, pour le faire délicatement rouler entre ses doigts, et si elle sentait le plaisir la consumer, c’était au moins autant par la dextérité de cette stimulation que par l’intensité du regard qui la transperçait de part en part. Elle se voyait contrainte de céder, systématiquement, et finissait par fermer les yeux ou détourner la vue.


Elle frissonna par avance lorsqu’elle vit sa tête se pencher sur son buste. Elle savait ce qui allait suivre, et le désirait autant qu’elle le craignait. Combien de temps encore allait-elle pouvoir rester lucide ? Combien de temps encore avant de perdre définitivement la tête et de le supplier de la prendre sur le champ ? Combien de temps encore avant de perdre toute retenue ? Sa langue dessinait de savantes arabesques sur sa peau, sensible et réceptive à l’extrême, qui finissaient toujours sur les sommets de tous les plaisirs. En même temps, elle sentit sa main qui remontait le long de sa cuisse, qui caressait son ventre chaud, avant de redescendre, pour que ses doigts puissent se glisser dans son slip de bain. Son bas-ventre était en feu, depuis bien longtemps déjà, et Damien eut, cette fois-ci, le bon goût de ne pas la faire languir. Ses doigts se promenèrent un moment sur sa toison soyeuse, juste le temps pour les cuisses d’Audrey de se séparer, s’ouvrir, pour offrir à son amant son doux trésor enfoui. Il put alors progresser, pour se perdre rapidement dans son onctueuse et tiède intimité. Elle poussa un long ronronnement tandis que son doigt, puis ses doigts, se perdirent au plus profond de son ventre, comme s’ils cherchaient à s’emparer de son âme. Quelle extase, quel délice… Elle les sentit qui se retiraient, tel le plongeur qui vient reprendre son souffle à la surface, pour mieux se perdre dans ses profondeurs et poursuivre sa chasse aux trésors. Et encore… Et encore… Elle ne pouvait plus réagir, elle ne pouvait même plus se déhancher, elle n’était plus qu’esprit et plaisir.


Audrey n’eut aucun sursaut, aucune réaction de recul, lorsque la main de Damien battit en retraite, pour aller délicatement tirer sur la ficelle de son slip de bain. Son geste eut la lenteur et la tranquillité suffisantes pour qu’il puisse avoir la certitude que la passivité de sa partenaire traduisait son consentement. Lorsque la rosette sauta enfin, et qu’il se glissa vers la hanche opposée, elle l’aide même dans sa tâche en roulant légèrement de son côté. Audrey se sentait en lévitation, planant dans la stratosphère, son esprit totalement dissocié des agissements de son corps. Était-ce bien elle, cette jeune fille qui se laissait ainsi dénuder sur la plage ? Était-ce bien elle qui soulevait les fesses juste ce qu’il faut, pour que son amant puisse définitivement la débarrasser du minuscule bout de tissu qui constituait son dernier rempart ? Oh oui, c’était bien elle, mais en cet instant elle n’en ressentait absolument aucune honte. Les yeux clos, elle laissait son corps onduler librement au rythme des caresses de Damien qui la parcouraient, des pieds à la tête, ne laissant pas le moindre recoin de sa peau y échapper. Elle se sentait bien, merveilleusement bien, dans cet instant d’éternité.


Étendue sur le dos, yeux clos, elle l’entendit se débarrasser de son maillot de bain à son tour. Elle l’attendait, sereine, heureuse, attentive à la chaleur des derniers rayons de soleil, entre ses cuisses… Quelle sensation enivrante… Quelle découverte agréable… Que n’eut-elle pas manqué, si Damien ne s’était pas mis en tête de lui faire profiter de cette révélation… Il s’allongea et se blottit tout contre elle pour l’enlacer tendrement, la tête posée sur sa poitrine. Elle sentait sa virilité et l’intensité de son désir tout contre sa cuisse, mais il prenait son temps, comme à son habitude. Comme cette attention était appréciable… Ils restèrent ainsi un long moment, simplement bercés par le rythme apaisant des vagues, jusqu’à laisser le soleil disparaître à l’horizon. Elle sentit alors son amant se redresser, et put voir dans ses yeux l’intensité et l’éclat de l’astre qui venait de s’éclipser. Hypnotisée par ce regard, elle ne le perdit plus de vue tandis que, tranquillement, il prenait place dans l’accueillant berceau qu’elle lui réservait entre ses cuisses. Son membre n’avait rien perdu de sa vigueur, et Audrey esquissa une plainte silencieuse, voluptueuse, alors qu’il se glissait dans son ventre. Ses jambes s’enroulèrent autour de celles de Damien, ses bras l’entourèrent, et ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle accepta de lâcher son regard, mais uniquement pour mieux le serrer contre son corps. Elle sentait tout son poids sur son ventre, sa poitrine, l’immobilisant, l’écrasant, ne lui laissant d’autre issue que de s’abandonner à l’étreinte suprême. Ce fut d’ailleurs elle qui entama la lente chorégraphie de leur corps à corps, cette nonchalante danse du plaisir dans laquelle il la suivit rapidement, alternant les moments de tendresse totale avec les pénétrations profondes, sauvages, brutales… Audrey devenait folle, se sentant tour à tour princesse ou putain, jeune vierge innocente ou femelle affamée, mais dans tous les cas soumise au désir de son amant. Elle le serrait fort contre son corps dès qu’elle le pouvait, lui murmurant au creux de l’oreille les déclarations d’amour les plus enflammées, ou les mots orduriers les plus crus. Des paroles, dans un cas comme dans l’autre, qu’elle nierait par la suite avoir jamais prononcées…


L’orgasme s’empara enfin d’Audrey, alors que, profondément planté dans son ventre, Damien avait entrepris de déguster ses seins. Elle s’accrocha à lui aussi fort qu’elle le put, cherchant à s’empaler sur son membre au delà de toute raison, et fut parcourue par un long frisson alors que la délivrance se répandait dans tout son corps. Elle s’attendait à le sentir vibrer, trembler lui aussi, mais elle finit par comprendre que cette fois-ci, il avait retenu son plaisir. Il ne l’abandonna à aucun instant toutefois, et lui aussi, la serra fort dans ses bras jusqu’à la sentir se détendre enfin, rassasiée, comblée. Ses jambes se dénouèrent, ses bras retombèrent, son souffle s’apaisa, et elle retrouva la paix et la sérénité. Ce n’est qu’alors qu’il se retira délicatement pour s’allonger à ses côtés, sa virilité toujours fièrement dressée. Il était serein, en paix lui aussi, du moins c’était l’apparence qu’il donnait. Audrey roula sur le côté pour se rapprocher de lui et se retrouva allongée à plat ventre, le visage près du sien. Elle lui parla enfin, souriante, yeux clos.


  • — Mais qu’as-tu donc fait de moi ?

Il ne répondit pas. Il se contenta de se tourner vers elle pour entourer ses épaules de son bras et sentir sa chevelure tout contre son visage. Il était toujours aussi rassurant. Audrey sentait bien qu’il ne pourrait rien lui arriver de fâcheux à ses côtés. C’était un séducteur, pas le moindre doute à ce sujet, mais il la respectait trop pour lui manquer de respect ou lui faire du mal. Certes, elle venait de repousser ses limites bien au delà de ce qu’elle aurait imaginé, mais elle devait bien reconnaître qu’à tout moment il lui avait laissé le choix. Et aucun ciel ne lui était tombé sur la tête, aucun tartuffe hypocrite n’était venu se mêler de ce qui, somme toute, ne le regardait pas. Nue sur la plage, aux côtés de son amant, elle savourait tout simplement l’apaisement qui suivait l’amour, en se disant qu’elle serait bien bête, à l’avenir, de s’en priver.


Damien se redressa légèrement pour l’embrasser sur la nuque, tout en lui caressant les fesses. Audrey sentit alors revenir les frissons précurseurs du désir, et pensa, éperdue et ravie à la fois « Ça y est… il va recommencer… Ça n’en finira donc jamais… ». Elle se contenta de ronronner tandis que la paume de sa main entourait délicatement une fesse, puis l’autre, avant de laisser son doigt glisser le long de son sillon, depuis le creux de ses reins jusqu’à sa grotte d’amour. Elle se cambrait instinctivement à chaque passage, cuisses légèrement écartées, laissant la caresse se glisser de plus en plus profondément entre ses globes. Son ventre, qui n’avait pas perdu son onctuosité, reçut avec plaisir le nouveau massage que lui proposait Damien, et Audrey sentit peu à peu cette onctuosité se répandre tout au long du parcours de la caresse. Le glissement n’en devenait que plus doux, plus voluptueux, permettant à son amant de lui faire découvrir une nouvelle palette de son talent. Peu à peu, la caresse se fit plus précise, plus appuyée, se limitant à des allées et venues entre la tiède onctuosité nichée au creux de ses cuisses, et son secret le plus intime et le plus farouchement gardé, entre ses reins. Le massage était voluptueux, du grand art, ne cherchant jamais à violer ce qui restait encore une place forte, mais il remplissait l’esprit d’Audrey de pensées inavouables, toutes plus impures les unes que les autres. Il ne cherchait pas à violer une forteresse non, mais simplement à la faire capituler, à la laisser une nouvelle fois sans défenses et à sa merci.


La jeune fille se remit à onduler sous ce nouvel assaut. À onduler, puis à soupirer. Comme c’était bon… Elle sut, bien avant l’heure, qu’elle ne pourrait pas échapper à son bourreau. Et pourtant, rarement avait-on vu victime plus heureuse en montant à l’échafaud. Elle n’était plus sous l’emprise de l’excitation sexuelle qui s’était emparée d’elle un peu plus tôt, mais l’expérience qu’elle vivait là allait bien au delà du plaisir physique. En transgressant l’un après l’autre tous les interdits elle se sentait renaître à la vie, comme une belle au bois dormant qui après un siècle de sommeil, reprenait ses esprits grâce à son prince charmant. Et son prince charmant à elle n’avait plus qu’à lui donner le baiser ultime…


Comme dans un rêve, elle le sentit retirer ses doigts, sa main. Comme dans un rêve, elle le sentit se redresser et monter sur elle, dans son dos, prendre appui sur ses bras pour ne pas l’écraser. Elle était sereine, comme elle ne l’avait jamais été, et resta immobile lorsque la virilité de Damien se glissa derrière elle. Il se pencha, pour l’embrasser sur la nuque, et Audrey se cambra légèrement, juste ce qu’il faut pour signifier à Damien son consentement, et pour qu’il n’ait pas le moindre doute sur l’endroit où elle souhaitait le recevoir.


Elle n’avait pas du tout peur, et c’est sans doute pour cela qu’elle ne ressentit aucune douleur. Elle resta détendue alors qu’il pesait sur elle, se glissait peu à peu entre ses reins, sans violence, sans à coups, sans hésitations. Audrey se sentait offerte comme elle ne l’avait jamais été, pleine de son homme, pleine de sa virilité, l’accueillant avec toute la bienveillance dont elle était capable. Elle fusionnait avec lui, ne faisant plus qu’un, serrant fort dans sa main celle de Damien, savourant à leur juste valeur les mots doux qu’à son tour il murmurait à son oreille. La nuit veillait sur eux maintenant, à la lumière de la lune déclinante, préservant le secret de leur étreinte interdite, tout comme le soleil, quelques heures plus tôt, avait révélé au grand jour les ébats qu’ils avaient décidé de ne pas cacher, dans une parfaite allégorie de la passion qu’ils partageaient.


Il était puissant, entre ses reins. Elle s’en rendit pleinement compte dès qu’il entama un lent va-et-vient. Il était puissant, et elle acceptait pleinement cette puissance, heureuse de se sentir possédée. Son prince charmant venait de l’éveiller à la vie, et maintenant, à mesure qu’il s’activait en elle, Audrey sentit qu’il laissait la place à sa facette la plus obscure, la plus primitive. Les mots doux et tendres disparurent au profit d’un souffle de plus en plus heurté, de grognements de plus en plus primitifs. L’Humain disparaissait, ne restant que la Bête. Loin de l’effrayer, cette métamorphose ne fit que l’exciter, enivrée de se sentir ainsi en danger, au bord du gouffre. C’était sans doute ce qu’elle adorait le plus chez Damien, sa personnalité multiple qui lui permettait de passer instantanément et sans prévenir d’un extrême à l’autre, mais toujours en gardant le contrôle de ses actes. Il aurait pu la blesser bien sûr, s’il l’avait voulu, mais elle savait qu’il lui permettrait de dépasser ses limites et d’affronter ses tabous en toute sécurité, comme maintenant.


L’ouragan disparût aussi soudainement qu’il était arrivé. Et c’est avec une infinie douceur que Damien s’abandonna enfin au plaisir. Audrey se sentit comblée par les déclarations enflammées murmurées à son oreille au moment suprême, alors qu’il l’inondait de sa semence, et sourit en pensant qu’elle aurait la correction de ne pas les lui rappeler une fois l’extase passée.


Il resta longtemps en elle, une nouvelle fois. La chaleur de son corps la protégeait de la fraîcheur de la nuit. Audrey sentait les battements de son cœur qui s’apaisaient peu à peu, à mesure qu’il redescendait sur terre à son tour. Lorsque finalement il se glissa à ses côtés, elle s’empressa d’aller se blottir contre son torse et malgré la fraîcheur de la nuit, trouva le sommeil rapidement. Les premiers rayons du soleil la réveillèrent le lendemain matin, toujours dans les bras de son amant. Cette fois-ci, ce fut elle qui, discrètement, se sépara de lui, avant de s’habiller tout aussi discrètement. Si elle l’avait réveillé, il eut au moins le tact de faire semblant de continuer à dormir. En se relevant, elle le regarda une dernière fois avant de lui tourner le dos et de quitter la plage, la tête pleine d’images et de sensations contradictoires.

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 22:23

Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la salle, c'était par une belle journée de printemps.

Un film que je voulais voir avec elle depuis quelques temps déjà... J'avais des idées derrière la tête, à mon initiative nous nous installâmes, elle et moi, dans le fond de la salle. Un quart d'heure après le début du film, j'étais déjà collé contre ma chérie. Je plongeais mon nez dans ses cheveux pour sentir l'odeur exquise de ses cheveux. Je passais ma main sur ses cuisses, ce jour là elle portait une jupe légère qui s’achevait au niveau de ses genoux. Je ne pouvais m'empêcher de la relever légèrement pour caresser sa peau directement.

Je continuai à promener mon nez dans ses cheveux tout en lui faisant de petits bisous dans le cou. Le désir montait en nous, je me fis plus entreprenant, ma main remontais sous sa jupe, entre ses jambes, le bout de mes doigts frôlait sa culotte, je pouvais sentir que cela se réchauffait...

Elle était un peu sur la réserve c'était la première fois que nous nous adonnions à ce

genre d'activité en lieu public...

Les voix des personnages n'étaient plus que de lointains chuchotements pour moi: j'étais très excité. Je continuai à la stimuler jusqu'à ce qu'elle finisse par écarter les jambes de manière franche. Je remontais alors doucement ma main entre ses cuisses en les caressant avec mes doigts. J'atteignis sa culotte que je senti chaude et humide, c'était le moment d'entreprendre un massage de l'intimité de ma compagne. Mon index exerçait une légère pression sur son clitoris que je sentais dur à travers sa culotte, mon majeur stimulait ses lèvres. C'était mou, doux, chaud et humide. Plus je massais, plus sa culotte était humide, nos langues s'entrelaçaient.

Mon autre main s'occupait de sa poitrine. Nous devions rester discrets, la peur d'être sur- pris augmentais notre excitation. Je ne pus résister à l'en- vie de faire usage de ma langue, d'aller embrasser cet en- droit qui me procurait tant de plaisir. Je descendis lentement vers son intimité en veillant à ne pas faire de bruit,

Une fois que j'étais bien installé, je commençai à mettre des coups de langue contre ses lèvres à travers sa culotte. Au liquide qui s'écoulait d'elle s'ajoutait ma salive, je massai son sexe avec ma langue. Je mettais ma langue à l'entrée de son vagin et je poussai fort pour faire pénétrer le tissu humide en elle. Je sentais au mouvement de ses mains autour de mon crâne qu'elle appréciait beaucoup.

Je voulais aller plus loin, j'écartais alors sa culotte, ma langue pouvait maintenant agir

directement sur son clitoris et j'humidifiai mon index avant de l'introduire très délicatement dans son vagin, je repris le suçotement de son clitoris. J'alternai les moments ou j'exerçai une forte succion sur son clitoris avec des moments ou ma langue se faisait plus délicate et plus voyageuse...

Je sentais qu'elle était dans un autre monde... Mon majeur rejoignit mon index dans son

vagin mouillé, je faisais de lents mouvements de va-et-vient. Il fallait que nous allions plus loin, je n'en pouvais plus. Je me rasseyais alors à coté d'elle, mes lèvres étaient pleines du liquide qui s'écoulait de son intimité. Nous nous embrassâmes longuement, mes doigts continuaient à stimuler son vagin tandis qu'elle s'agrippait à moi. Une fois qu'elle atteignit l'orgasme, je lui proposai d'aller dans les toilettes et que je la rejoigne…

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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