Le Blog d'un Couple Libertin
Quoi de plus troublant qu'une aventure à laquelle on ne s'attend pas ? Une femme
qu'on imagine trop belle pour soi, qu'on n'oserait à peine aborder, autrement que par quelques mots maladroits trahissant notre malaise. Quand soudain, cette étoile lointaine se fait accessible,
c'est une émotion intense qui nous submerge.
C'est ainsi que je voyais Elodie. Une fille qui n'était pas pour moi. Je la fantasmais souvent, il m'arrivait de l'imaginer non seulement dans mes moments solitaires, mais également en faisant
l'amour à d'autres femmes... Je faisais tout ce qui me semblait possible pour que nos rencontres soient fréquentes. J'engageais la conversation, j'essayais de créer une certaine complicité. J'y
arrivais, d'ailleurs... On discutais de banalités, je l'amusais, parfois, mais je pensais qu'elle ne me verrait jamais que comme un "copain". Et lorsqu'elle m'invita à passer un moment chez elle,
je me refusais d'envisager, malgré le désir qu'elle m'inspirait, qu'il puisse s'agir d'un véritable rendez-vous amoureux... Encore moins d'un rendez-vous purement sexuel ! Et pourtant...
Arrivé chez elle, le ventre noué par l'angoisse et l'excitation, elle me fit visiter son petit appartement. Lorsqu'elle me montra sa chambre, je lui vis un sourire et un regard coquin que je ne
lui connaissais pas. Elle semblait totalement détendue. Son jean lui moulait les fesses, son chemisier échancré laissait deviner sa pointrine généreuse, et ses long cheveux détachés tombaient en
désordre sur ses épaules. Elle était si belle, si excitante ! Mon coeur palpitait, il me semblait retrouver des sensations d'adolescent maladroit découvrant la sensualité. Elle voyait que sa
conversation n'avait plus grande importance pour moi, et elle eut ce petit rire et ce regard faussement géné qui m'ont fait perdre la tête ! Je m'approchai d'elle dans un mouvement rapide et
l'embrassai avec une fougue incontrôlée.
Elle n'attendait visiblement que ça ! Elle me fit basculer en arrière sur le canapé, me chevaucha, retira son chemisier pour laisser apparaitre ses seins. Ce fût un véritable vertige ! Je me
perdis dedans, je les caressais, les embrassais, je me blotissais contre sa peau, respirais son parfum, j'étais comme dans un rêve ! Elle me proposa de rejoindre son lit...
Nous étions nu, a nous caresser, nous embrasser, j'explorais chaque parcelle de son corps comme une terre inconnue, ma langue parcourait son intimité, glabre et humide, et ses murmures
m'étourdissaient. Je bandais comme si c'était la première fois depuis des années ! Elle prit mon sexe dans sa bouche, massant mes couilles avec délicatesse... Je n'en pouvais plus ! Il fallait
que je la prenne, avec force, je que jouisse d'elle sans retenue. Je l'a retournai et pénétrai. Mes coups de reins se firent intenses, violents, rapides... Ses gémissents se transformèrent
rapidement en cri, ses mots tendres devinrent plus crus, elle ne voulait pas que je lui faisse l'amour, elle voulait que je la baise. J'aimais voir celle que je considerais encore quelques heures
plus tôt comme une douce et fragile jeune fille se faire garce, avec moi, pour moi, rien que pour moi. L'orgasme que je ressenti alors fût l'un des plus intense qu'il m'ait été donné vivre...
J'ai cru, à cet instant, que nos corps ne formaient plus qu'un, qu'il me serait impossible de vivre séparé de sa peau... Nous refîmes l'amour encore, comme si la nuit ne devait jamais finir, et à
chaque fois cette émotion me submergeait... Il me semble ne m'être jamais senti aussi vivant que lors de ces instants ou Elodie s'est abandonnée dans mes bras...
Cap ou pas cap de nous envoyer les votres ???
Pour les mettre avec les notres ....dans les rubriques le cul des copains, et les culs et seins des copines...
libertin.kokin @ gmail.com