Récits érotiques du web

Vendredi 27 mars 5 27 /03 /Mars 11:57

Nous sommes partis dans la campagne près d'un lac dans un bosquet. Elle était très désirable dans sa robe toute légère et en conduisant j'aventurais ma main au contact de sa peau sur son bras, son cou et sur sa cuisse au dessus du genou. L'envie de se mélanger tous les deux se reflétait dans nos yeux. J'ai stoppé la voiture au bout d'un chemin et nos lèvres et nos mains sont parties à la rencontre du plaisir. Quel baiser langoureux ! Je sentais qu'elle se lâchait complètement. Mes mains caressaient son corps par dessus sa robe fine et je sentais ses seins, ses fesses, ses cuisses brûlants de désir. Je prenais mon temps en l'embrassant avec mes caresses puis j'ai commencé à dégrafer le devant de sa robe. Elle bougeait son corps contre le mien pour prendre encore plus de plaisir. Ma main est passée dans son dos pour libérer ses seins : quelle vision pour mes yeux. Des seins gros et lourds comme je les aime avec leurs pointes gonflées pour réclamer mes lèvres pour les aspirer et sentir son gémissement. Ses mains aussi étaient parties à la rencontre de ma peau sous ma chemise. J’ai retiré entièrement sa robe pour passer mes lèvres douces sur tout son corps. Ma bouche était maintenant toute près de sa grotte et il ne restait que sa culotte pour nous séparer. J'imaginais ses lèvres en feu et toutes mouillées supplier ma langue pour une caresse. Marie gémissait plus fort et c'est elle qui a retiré le bout de tissu et écarté ses cuisses pour profiter au mieux de mes caresses : mes lèvres ma langue mes doigts se succédaient pour arriver à la faire jouir rapidement dans un long râle. Vite remise elle est venue sur moi pour un autre long baiser. J’avais encore tout son liquide autour de mes lèvres. En même temps elle a plongé ses mains dans mon jean pour libérer mon sexe qui explosait du désir de lui faire l’amour. J'étais tout gros et sa bouche s'est enroulée autour de ma hampe toute mouillée. Ses deux mains sous mes fesses elle m'avalait très loin pour sortir en passant sa langue le long de la tige. C'était très bon et je sentais ma jouissance prête à exploser. Je lui dis mais elle ne m'écoute pas et reprend de plus belle en passant son index autour de mon anus en essayant d'y pénétrer légèrement. Juste avant d'exploser je lui ai relevé la tête
- pourquoi ne m'as tu pas laissée ?
- je veux jouir en même temps que toi
Sur elle, je n'ai eu aucun mal pour la pénétrer puis bouger en elle. On gémissait fort tous les deux. J'allais et venais de plus en plus fort, elle me suppliait de venir mais je me retenais le plus possible Ses mains appuyaient sur mes fesses pour la sentir au plus loin , et j'ai senti ma semence traverser ma tige pour exploser au fond de son sexe dans un long cri commun . Dans ma jouissance j'ai relevé mes yeux et aperçu une tête entres les arbres qui semblait nous épier. Depuis quand ? Cette personne a du en prendre pleins les yeux et peut être jouir en même temps. Nous sommes donc restés là encore un moment et reprendre du plaisir. Je l'ai encore faite jouir avec ma bouche pour prendre son odeur et me délecter de son nectar. ...

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : chaude&caline
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Jeudi 26 mars 4 26 /03 /Mars 17:37

Nous rendîmes ensemble pour la première fois depuis le début de notre relation dans un club-sauna échangiste afin d’y assouvir nos fantasmes, au début simplement par curiosité pour pimenter un peu notre relation. Un mélange de voyeurisme, d’exhibition, d’excitation, mais aussi d’envie de mélange, de contact, de pluralité… Je venais d’avouer à ma femme que j’adorais voir d’autres hommes (ou femmes…) la déshabiller des yeux, avoir envie d’elle et voir l’effet qu’elle leur procurait. Des regards sur elle j’en avais déjà vu au cours de dîners, de balades ou autre, et j’en étais très fier, mais je voulais plus que cela. J’avais envie de partager le plaisir qu’elle me donnait à chaque instant et de lui faire plaisir aussi, connaissant ses envies et ses goûts.
Mais revenons-en au club… Après une brève visite, c’est donc dans cet esprit coquin que nous nous sommes rendus tout d’abord dans le jacuzzi. L’avantage que nous avions était que nous étions très complices, à l’écoute l’un de l’autre et aussi très excités… Les regards ne tardèrent pas à se tourner vers nous. Il faut dire qu’il y avait beaucoup d’hommes seuls, de tout âge, de tout horizon, et elle était si belle… Une jeune femme brune, la trentaine , un corps très bien proportionné, ni trop petite, ni trop grande, un visage d’ange enveloppé par une magnifique chevelure soyeuse, un corps avec de jolies formes là où il faut : une poitrine généreuse et ferme que l’on a envie de caresser, de malaxer, de sucer, un sexe entièrement épilé, lisse et doux bordé de petites lèvres fines, de somptueuses fesses bien rebondies qui sont un véritable appel au sexe… Je ne m’attarderai pas sur sa bouche et sa langue qui me font frémir rien que d’y penser, ni sur son regard mi-innocent mi-troublant, plein d’amour et d’envie.


Dès notre arrivée nous avons senti le désir monter. Nous n’étions pas regardants sur le physique et l’âge des hommes tant que le feeling était là. Un homme s’approcha de nous, tout doucement, pas franchement et se positionna à côté de ma miss. Elle se retrouva assise entre lui et moi. Moi je lui caressais un sein pendant que je passais mon autre main le long de sa nuque lui attrapant la tête de temps en temps pour la tourner vers moi et l’embrasser… L’homme, la quarantaine, plutôt agréable ne tarda pas à poser des regards de plus en plus insistants sur nous, sur elle, sur moi, comme attendant ma permission pour qu’il puisse se joindre à nous. Pendant ce temps, il tentait quelques approches pour tester, avec son pied contre celui de ma miss ou contre son mollet. Après un regard complice entre elle et moi, je lui fis comprendre que c’était “oui”. Sa main ne tarda pas à s’emparer de son sein droit , qui pointait déjà.


Pendant ce temps j’avais commencé à descendre la mienne le long de son ventre puis entre ses cuisses que j’écartais délicatement pour laisser le passage grand ouvert en direction de son sexe. Elle se retrouvait donc entre nous, les caresses de cet homme se faisant de plus en plus pressantes, de plus en plus chaudes, elle fermait les yeux pendant que je l’embrassais goulûment, des baisers profonds, nos langues s’entremêlaient lentement, mais avec intensité pendant qu’elle sentait les mains de cet homme lui parcourir tout le corps. Elle était toujours assise, les cuisses écartées, offerte à nos caresses pour mon plus grand plaisir (et le sien…). L’homme ne tarda pas à venir explorer son intimité et découvrir sa chatte déjà ruisselante de désir. Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire à la vue de la réaction de cet homme lorsqu’il s’aperçut qu’elle était lisse… Ça l’excitait encore plus, et nous aussi… Je pris la main gauche de ma miss pour lui montrer à quel point j’étais excité et je la posai sur mon sexe bien tendu pour qu’elle me masturbe.


Je continuais à l’embrasser, pendant qu’avec une main je tenais une de ses cuisses pour que sa chatte soit bien offerte à la main de notre complice qui faisait des va-et-vient sur son intimité. Je la voyais prendre du plaisir à ses yeux et cela m’excitait encore plus, je pris alors sa main droite et je lui fis comprendre que je voulais qu’elle le branle. J’adorais son côté soumise, docile, à mon écoute et ça m’excitait tellement de voir dans les yeux de cet homme l’envie et le plaisir qu’elle lui procurait, et de savoir que tout cela je l’avais pour moi et pour moi seul au quotidien… Je voyais la main de ma miss aller et venir sur son sexe et elle faisait la même chose avec moi, en rythme… De temps en temps, je voyais ses yeux se fermer de plaisir sous les caresses de notre charmant voisin et elle ne tarda pas à prendre ma main pour me faire sentir à quel point elle était mouillée.


Deux hommes s’étaient approchés discrètement de nous trois pendant que nous étions occupés, ils se masturbaient et brûlaient d’envie de se joindre à nous. Je proposais à ce moment à ma compagne de se lever et de se mettre au milieu de nous, chose qu’elle fit sans se faire prier. Je me mis de façon à être dans son dos et elle se retrouva cernée par les trois hommes, un de chaque côté et un face à elle. L’eau bouillonnante ne permettait pas de voir distinctement ce qui se passait, mais je ne voyais plus aucune main en dehors de l’eau et j’imaginais et je sentais les caresses sur son corps rien qu’à ses mouvements.


Pendant ce temps là, derrière elle, je lui écartai les fesses et tout doucement je lui glissai un doigt dans son anus. À cet instant, je sentis une autre main, celle qui s’occupait de son sexe, et nos doigts se touchèrent un court instant… Je sentais ma misss’empaler sur mon doigt sans que je le bouge, cela m’excitait encore plus, d’autant plus qu’elle savait à quel point j’adorais ses fesses et la sentir s’ouvrir petit à petit…


Je lui chuchotai à l’oreille que j’avais envie qu’elle les branle, tous, j’avais envie qu’elle les fasse jouir pour leur montrer à quel point elle était douée et quelque part j’avoue que ça m’excitait qu’ils m’envient d’avoir une femme comme elle, eux qui étaient venus seuls, certainement frustrés sexuellement de leur vie de couple monotone ou plate… Ce sentiment de domination/soumission et peut-être de possessivité et d’envie de la part des autres aussi, c’est cela qui m’excitait. La situation était de plus en plus chaude, nous le sentions, les râles, les gémissements, la respiration de nos complices et de nous-mêmes… Le jacuzzi était loin d’être vide et nous sentions les regards se poser sur nous et notre “groupe”, d’autres couples étaient présents et étaient déjà bien occupés.


Je chuchotai alors à ma femme que j’aimerais bien sortir pour aller dans le hammam, avec notre petit groupe si possible… Je la regardai alors sortir, j’adorais la regarder et je ne pus m’empêcher de contempler ses fesses à la sortie du jacuzzi. Ce qui m’excitait, c’est que je n’étais pas le seul à admirer le spectacle… Je la suivis donc et nos trois compagnons ne tardèrent pas à nous rejoindre dans le hammam. J’étais assis à sa droite, un homme se positionna à sa gauche, un autre debout devant elle et enfin le dernier moins chanceux s’assit un peu plus loin. Ils avaient tous la bite bien tendue et se masturbaient tout en caressant ma miss qui se laissait faire et qui prenait du plaisir. Je n’en pouvais plus, j’avais envie de sa bouche, je ne tardai pas à me lever pour qu’elle puisse me sucer tout en restant assise.


C’était magique, la chaleur des lieux, la brume, la moiteur, les bruits de sa bouche sur mon sexe ainsi que le bruit de la bouche des autres hommes sur ses seins, sur sa chatte grande ouverte et trempéee… J’étais aux anges… Puis un des hommes s’est levé pour se positionner juste à côté de son visage pendant qu’elle me suçait. J’avais trop envie de la voir sucer cet homme et je lui fis comprendre par un regard… Elle s’exécuta à mon plus grand plaisir et celui de cet homme et je la regardais aller et venir et prendre son sexe au fond de sa bouche pendant qu’elle me branlait. C’était divin, surtout que j’imaginais bien ce que devait ressentir cet homme.


N’en pouvant plus, je retirai d’un seul coup à deux mains sa tête qui était en pleine action afin de la diriger vers mon sexe, j’allais jouir et je voulais le faire dans sa bouche et elle le comprit tout de suite… Je ne pus me retenir bien longtemps et j’ai fini par éjaculer au fond de sa gorge tandis qu’elle continuait à me sucer goulûment… Je ne pus m’empêcher de laisser sortir un gémissement de plaisir devant le regard ébahi et plus qu’envieux des trois autres hommes… Je savais que ça, ils en rêvaient, mais qu’ils ne l’auraient pas… Et ça décuplait mon plaisir…


Mais je n’étais pas ingrat pour autant, et elle non plus… Je laissai ma place afin qu’elle branle et suce ces messieurs qui ne tardèrent pas à venir sur ses seins et son ventre.


Après les petits remerciements d’usage chacun partit rapidement, nous laissant seuls, elle et moi… Je la regardais droit dans les yeux, j’étais heureux et tellement fier d’elle… Je ne pus m’empêcher de lui dire que je l’aimais et nous nous sommes embrassés tendrement… La tendresse avait repris le pas sur le sexe pur, nous nous aimions et nous nous étions fait plaisir.


Des moments comme cela, occasionnels, ont encore plus scellé notre amour et notre complicité …

 

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 23:39

Il est tard, les derniers collègues viennent de partir.... la journée a été terriblement ennuyeuse malgré quelques heures passées à rêver sur Internet... tu as lu un post qui t'a émoustillé... ta petite culotte était trempée... malheureusement tes collègues étaient là et tu ne pouvais pas te caresser alors que ton ventre te réclamait cette douce délivrance... tu as pensé t'éclipser quelques instants dans les toilettes mais tu n'as pas osé... pourtant tu en avais très envie.... en repensant à tout ça tu ressens une douce chaleur parcourir ton ventre et descendre entre tes cuisses... tu fermes les yeux... plus personne ne te dérange... tes mains se posent sur tes cuisses... tes joues commencent à rougir, tu ne vas quand même pas oser ?

Tu te félicites d'avoir mis une jupe courte ce matin... tes doigts remontent lentement le long de tes bas.... tu penses à ton chef qui pourrait te surprendre mais tu t'en moques... le risque décuple ton désir... tu passes le bout de ton doigt sur ta petite culotte... des frissons parcourent tes lèvres... tu passes le doigt tout le long de ta fente à travers le tissu puis tu soulèves brusquement l'élastique... tu te découvres trempée... les lectures de l'après-midi t'ont maintenu dans un état d'excitation que tu n'imaginais pas... tu passes ton doigt sur ta fente... contournes ton clitoris pour le diriger vers l'entrée de ton ventre... puis tu le portes à tes lèvres... ton odeur t'enivre....

Tu entends un bruit léger derrière toi.... tu n'oses pas te retourner... quelqu'un t'a vue ?... tu restes pétrifiée de honte sur ta chaise... des mains se posent sur tes épaules... tu n'oses plus bouger, un léger cri s'échappe de tes lèvres... une voix te susurre à l'oreille de ne pas t'inquiéter... puis la voix te demande "tu aimes lire mes histoires ?"...

Je prends un foulard et le pose sur tes yeux... je retourne ta chaise et m'agenouille devant toi... lentement tu avances ton bassin vers moi... je passe ma main sur tes bas.... tu entrouvres tes cuisses et les pose sur mes épaules... j'ai une vue très excitante sur ton string... je devine le contour de tes lèvres à travers le tissu.... mes pouces se rapprochent de l'élastique de ton string... je m'attarde un instant à la limite de ce rempart...

Tes doigts rejoignent les miens... tu écartes ton string pour me montrer ce que tu attends de moi... je découvre ton sexe... mes doigts caressent tes grandes lèvres puis les écartent tendrement... ma bouche vient se coller à ta fente pour un long baiser langoureux puis ma langue impatiente dessine les contours de tes petites lèvres, tourne autour de ton clitoris pour enfin pénétrer ton ventre trempé... elle fait des va et vient au plus profond de toi et ressort de temps en temps pour remonter plus haut... maintenant je m'occupe davantage de ton clitoris gonflé tout en glissant un doigt dans ton ventre.... tu gémis de plus en plus fort.... ton bassin ondule j'ai l'impression que tu essayes d'avaler mon doigt... je continue de plus en plus vite jusqu'à la délivrance....

Ma bouche remonte sur ton ventre pendant que je dégrafe ton chemisier.... tu défais toi même ton soutien gorge... tes seins sont superbes... ils sont gonflés et tes tétons érigés m'attirent... je pose mes mains sous tes seins et les enveloppent délicatement... j'ai très envie de ta bouche.... je défais mon pantalon et pose ta main sur mon sexe... tu pousses un petit soupir de satisfaction et penches la tête en avant pour m'engloutir directement sans attendre... j'adore ça, c'est délicieux... tu es complètement déchaînée, la situation t'excite énormément...

Je ne te laisse pas continuer, j'ai envie d'abuser de toi complètement... je t'assois sur ton bureau... tu ne peux toujours pas me voir... tu garderas le foulard jusqu'à la fin... tu as complètement retiré ton string et tes doigts écartent tes lèvres, tu es indécente mais tellement belle... je promène mon sexe le long de ta fente... tu me supplies de te prendre tout de suite... tu as suffisamment attendu... et mes histoires t'ont tellement chauffées...
Je te pénètre lentement pour que tu ressentes bien l'épaisseur de mon sexe en toi... je suis entièrement en toi et j'arrête de bouger... tu prends le relais en ondulant tes hanches... j'ai l'impression que tu me fais l'amour et c'est une sensation que j'adore... tu place tes pieds derrière mes fesses et m'indiques par des petits mouvements ce que tu attends.... J'entame alors de longs et lents va et vient... tu respires de plus en plus fort... je pose mes mains sur tes hanches et mes mouvements deviennent de plus en plus puissants.... tu penches la tête en arrière, je passe ma langue dans ton cou... tu me préviens que tu vas jouir... tu es complètement allongée sur ton bureau parmi tes dossiers... tu renverses tes crayons et quelques papiers... tu t'en moques complètement, plus rien ne pourrait t'arrêter...

Je t'entraîne maintenant sur la moquette... tu es à quatre pattes devant moi... mes mains se posent sur tes fesses et mon sexe retrouve ton ventre si accueillant... mes mouvements sont très puissants... j'ai envie de te faire perdre la tête... tu remues tes fesses au fil de mes va et vient... te voir dans cette position offerte me donne envie d'autre chose... je me retire de ton ventre... tu te relèves et allonges ton buste sur ton bureau.... mes mains caressent tes fesses, tu soupires lentement... je prends ça comme une invitation... ma bouche les aspire l'une après l'autre puis ma langue se faufile dans ton sillon.... tu recules un peu ton bassin pour mieux t'offrir... ma langue tourne autour de ton petit orifice devenu brûlant... il commence à se gonfler sous mes caresses... je fais couler un peu de salive entre tes fesses... puis je te caresse lentement avec mon doigt sans te pénétrer... mon sexe retourne se nicher dans ton ventre... pendant ce temps mon doigt commence à pénétrer tes fesses... lentement... tu commences à te dilater... les mouvements de mon sexe et de mon doigt t'excitent énormément... tu as maintenant envie de quelque chose de plus fort... je le devine mais j'attends un peu..... finalement c'est toi qui fait la demande, d'une petite voix tu me demandes de te sodomiser dans le bureau de ton patron...

Je t'y entraîne... puis je t'installe sur son fauteuil, les bras sur le dossier... les fesses tournées vers moi... mon sexe se cale entre tes fesses et glisse lentement sans te pénétrer... je te fais languir un peu puis je commence à m'introduire en toi... mon sexe progresse lentement en toi jusqu'à ce que je sois complètement en toi... j'attends un peu que tu te décontractes... c'est toi qui me donne le signal en commençant à bouger... tu me demandes d'aller doucement, ce que je fais... au bout de quelques instants je te sens suffisamment détendue pour accélérer le rythme... je prends tes seins dans mes mains puis mes mouvements se font plus profonds... tu pousses des petits cris... ça me fait perdre la tête... j'introduis deux doigts dans ton sexe en même temps que je te sodomise... aux contractions de tes fesses sur mon sexe, je devine que tu vas bientôt jouir... je ne me retiens plus... je me laisse aller...

Après quelques instants je dépose un baiser sur ta nuque... puis je disparais....

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 23:38

Elle arriva avec un plateau chargé de choses à grignoter (gâteaux, fruits...), à boire (vin blanc moelleux et eau) et une énorme bombe de chantilly et une assiette de grosses fraises écarlates, juteuses et gorgées de sucre. Je ne me rappelai pas avoir vu tout cela dans le frigidaire ce midi mais ce n'était pas pour me déplaire.

Elle déposa le plateau sur le sol du salon, me laissant entrevoir par la même occasion un peu de ses seins et la courbure de ses fesses sous sa serviette. Elle me prit par la main, me guida jusqu'à la table basse et me poussa pour que je m'y allonge sur le dos, a trente centimètres du sol, sur une table de bois juste un peu plus large et longue que moi. Elle se pencha vers le plateau, m'offrant le spectacle de ses fesses et de son sexe si doux et si convoité... Elle se redressa avec la bombe de chantilly dans une main et l'assiette de fraises dans l'autre, qu'elle posa sur mon torse afin de libérer ma taille de la serviette de bain, me laissant nu et à sa merci au milieu du salon.

Elle déposa l'assiette de fraises entre mes cuisses qu'elle me demanda d'écarter un peu puis entreprit de me badigeonner de chantilly le torse puis le ventre et enfin le bas du ventre jusqu'a la base de mon sexe. Elle se pencha entre mes cuisses et entreprit de prélever les fraises une par une afin de les déposer sur mon corps, dans la chantilly crémeuse, à l'aide de sa bouche. Lorsque l'assiette fut débarrassée de la vingtaine de fraises qu'elle contenait (je les avait comptées au fur et à mesure) elle la déposa à terre afin de libérer tout l'espace de la table. Elle vint se mettre debout près de ma tête et je pouvais apercevoir son corps sous la serviette de bain qu'elle m'empêcha de lui enlever lorsque j'essayais. Elle se pencha en avant, une main de chaque coté de mes épaules, et pris entre ses dents la fraise qui se trouvait le plus près de ma tête puis revint a ma bouche afin de m'y faire goûter. Elle m'embrassa avec ce fruit entre nous deux qui se mélangea sous nos langues, faisant couler un liquide sucré sur nos lèvres. Elle redescendit vers mon torse, une main de chaque coté de moi, ses seins pris sous la serviette devant mes yeux, puis ma bouche, mais il m'était interdit de les toucher ou de les libérer de leur carcan d'étoffe.

Pendant de longues minutes je sentis sa langue parcourir mon torse et mon ventre, léchant la mousse répandue sur moi et de temps en temps sa bouche qui se refermait sur un fruit juteux frôlait ma peau. Au fur et a mesure qu'elle descendait en me mangeant le corps, je voyais le sien défiler devant mes yeux, de son visage à son ventre en passant par sa poitrine, ce corps prisonnier d'une serviette qui me privait de sa vue, de son contact et de son goût, jusqu'a ce qu'elle fut accroupie au dessus de moi. Dans cette position son sexe se trouvait devant mes yeux et je pouvais aisément deviner qu’elle devait elle aussi se trouver près de mon sexe qui n’en pouvait plus d’attendre le doux contact de ses lèvres, les ayant senties se rapprocher au fil des minutes. Elle releva un peu sa serviette de bain, m’offrant en spectacle sa croupe et son petit abricot entrouvert et comme je le devinais, tout humide, alors quelle se saisissait de la bombe de chantilly afin de m’en recouvrir le pénis. A cet instant précis,  je n’en pouvais plus de désir pour elle, et elle le savait et faisait durer le plaisir, allant jusqu’à me faire la supplier de me laisser plonger ma bouche dans son intimité humide et sucrée.

Mais elle refusa que je la touche et je pu sentir le contact si chaud et humide de sa bouche se refermant sur le bout de ma verge, engloutissant, aspirant la crème chantilly qui s’y trouvait. Sa langue se mit à parcourir mon sexe de tous côtés, dans tous les sens, happant la crème sucrée au passage et l’étalant de plus en plus. En quelques minutes je ne savais plus vraiment où se trouvait sa langue ou sa bouche, la sentant me parcourir partout à la fois tandis que sa main gauche malaxait mes testicules gonflés de désir.

Ne pouvant plus tenir je lui demandais d’arrêter, ce quelle fit avant de se redresser et de plaquer son sexe humide sur ma bouche car son petit exercice précédent avec la chantilly l’avait fortement excitée. Je pus alors me laisser aller à savourer son intimité que je désirais depuis de longues minutes. Ma langue fit plusieurs fois le tour me rapprochant de plus en plus de ses lèvres jusqu’à les lécher avant de plonger dans son sexe au goût si doux, suave, sucré et chaud. J’en ressortais pour venir titiller son clitoris gonflé de désir et je sentais ses hanches aller d’avant en arrière au dessus de ma bouche tandis quelle caressait ses seins durs et tendus par le plaisir. Elle se pencha en avant et prit mon sexe dans sa bouche, tandis quelle m’offrait ses fesses et son sexe ouvert à mes assauts. J’aspirais son clitoris et le suçais lentement tandis que mes doigts allaient de son vagin à ses fesses afin de lubrifier son petit trou, avant que mon majeur ne s’y glisse lentement, allant et venant au rythme de mes coups de langue sur son sexe.

Je sentais le plaisir monter en elle (ainsi qu’en moi car elle s’attachait à me faire un bien incroyable) mais avant de se laisser submerger par l’orgasme elle se dégagea de mon étreinte et glissa le long de mon corps, toujours de dos, afin de se positionner sur mon sexe et l’engagea en un coup de rein au plus profond d’elle. Je pouvais ainsi la voir me faire l’amour, dans une position proche de la levrette, ce qui, elle le savait, m’excitait beaucoup. Ce n’était donc pas moi qui lui faisait l’amour mais plutôt elle qui me le faisait, allant et venant sur mon sexe, à son rythme, accélérant ou faisant des pauses, ressortant presque avant de se glisser au fond de son sexe. Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis crier son plaisir au fur et à mesure quelle accélérait ses mouvements.

Elle s’allongea sur mes jambes et reprit ses esprits quelques minutes, tout en continuant de frotter son sexe contre le mien, afin qu’il ne perde pas sa dureté qu’elle voulait le voir conserver. Mais j’étais tellement excité par ce qu elle m’avait fait avec la chantilly et par le spectacle qu’elle venait de me donner que mon érection aurait pu durer quelques temps sans aucune aide de sa part. Après quelques instants elle se releva, saisit la chantilly et revint s’asseoir à califourchon face à moi, les fesses posées sur mon pénis toujours dressé à l’idée de ce qui allait suivre (ou plutôt excité car ne sachant pas ce qui allait arriver). Elle s’appliqua alors à me badigeonner le torse de chantilly et me dégusta à pleine bouche, se couvrant la bouche de chantilly avant de plaquer ses lèvres sur ma bouche et de plonger sa langue entre mes lèvres. Nous échangions des baisers fougueux et sucrés, elle me couvrait le visage de sa bouche tout en massant mon corps de ses mains couvertes de chantilly. Sous l’effet de la chaleur, celle-ci fondait et se transformait en une huile sucrée qui glissait sur nos corps lorsqu’elle se frottait à moi et m’offrait ses tétons durs et sucrés de cette huile à lécher et mordiller. Elle frottait mon sexe avec le sien et au bout de quelques minutes je sentis avec surprise et plaisir sa tulipe s’ouvrir sous la pression de mon gland et me sentis entrer en elle en quelques poussées quelle appliquait à son bassin.

Elle prit mes mains dans les siennes et les plaqua de chaque côté de ma tête, m’empêchant de bouger et me faisant ainsi comprendre que j’étais à sa merci. Elle me couvrit le torse et le visage de baisers sucrés et fougueux, passant sa langue dans ma bouche, mordillant mon oreille, me dévorant à pleine bouche. Son bassin allait et venait sur ma verge qui, sous ses coups de rein, durcissait de plus en plus. Elle faisait tourner son bassin sur mon sexe, s’enfonçant au plus profond, puis remontait jusqu’à l’entrée de son vagin afin de m’y faire rentrer par petits à coups. Son rythme s’accéléra, et la bouche plaquée sur la mienne, son cri de jouissance remonta dans ma gorge dans l’échange de notre dernier souffle. Elle s’arracha immédiatement à mon étreinte, se positionna entre mes cuisses et plongea ma verge dans sa bouche, faisant tourner sa langue autour de ma hampe, pressant ses lèvres sur mon gland et faisant aller et venir sa main de plus en plus rapidement. En quelques instants l’orgasme montait en moi et inondait sa bouche, si avide de mon plaisir ; elle continua de caresser et d’embrasser mon sexe quelques instants puis vint se blottir contre moi et m’embrassa avant que nous nous assoupissions dans les bras l’un de l’autre ...

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 22:03

...Je prends souvent le train pour le travail qui m'emmène et me ramène de la capitale à chez moi. Le meilleur moyen, quand on est pas sur la ligne d'un TGV, c'est le train de nuit, départ 21h arrivée 7h, pas de temps perdu. Quand ta bourse est en pleine forme, tu prends une couchette, sinon, tu te roules en boule sur deux sièges, en général y a de la place.

Et ce jour , j'ai pris les sièges, bonne idée, très bonne idée. Je crois d'ailleurs que je ne prendrai plus que les sièges.

Je monte, comme toujours en retard, presque coincé dans les portes qui se ferment, et je cherche une place, ce soir c'est facile, il y en a plein. Arrivé au milieu du wagon, l'endroit où il y a quatre places face à face, une femme enlève son sac et me sourit. Comment continuer ma route sans passer pour un mufle ? Mais un sourire ne veut rien dire, et c'est encore mon esprit débridé qui voit ce qu'il veut voir et qui me joue des tours. Pourtant, j'aurais juré qu'il n'y avait pas que de l'amabilité dans ses yeux...

Je m'installe, sors mon livre, et fais semblant de lire, pour cacher ce trouble profond dans lequel cette situation m'a plongé, et pourtant, je ne peux m'empêcher de la regarder régulièrement, discrètement je l'espère, par dessus mon livre. Elle doit avoir entre 30 et 35 ans, brune, cheveux ondulants et tombants sur ses épaules et jusque sur sa poitrine qu'elle a généreuse et ferme semble t-il. Mes yeux "d'expert" me disent un bon 95 C , le rêve, même si j'ai toujours pensé que le grain de peau était plus important que le volume des seins.

Je me rends compte , perdu que je suis dans sa contemplation, qu'elle me regarde elle aussi, mais sans aucun détours, ses yeux me scannant de la tête au pieds, sans oublier aucun endroit de mon corps en émoi.

Un petit sourire au coin des lèvres me laisse à penser que je lui plais. Enfin, qu'est-ce que c'est que cette histoire, pas le vieux fantasme du train de nuit quand même ? Et pourtant, mon imagination est au galop maintenant, je me vois la prenant entre deux wagons, dans le bruit assourdissant du soufflet couvrant ses cris de jouissance non retenue....

Comme dans tous les trains de nuit, la lumière s'éteint après le passage du contrôleur. Plus d'arrêt avant Paris, et les trois personnes dans le wagon ronflent comme des turbines. J'ai chaud, les mains moites, et je sens ces fourmillements caractéristiques dans mon bas ventre annonçant une érection proche.

Posément elle décroise ses jambes prisonnières d'une jupe tailleur et de Dim up (je le vois clairement), et se lève en prenant soin de venir se coller à moi. Comme si de rien était, elle se glisse entre mes deux jambes pour gagner l'allée et se rendre aux toilettes, je suppose.

Je n'ai plus aucun doute maintenant sur ses sentiments à mon égard, et ce petit coup d'oeil qu'elle a jeté pour s'assurer que je la regardais(ce que bien sûr je faisais) en est l'ultime preuve. Ce cul ! rond, ferme, musclé, et ce déhanchement, juste ce qu'il faut, pas de vulgarité, mais quelle sensualité, je me prends à imaginer son sexe peut-être déjà humide par la satisfaction de l'effet produit, et gourmand de je n'ose penser quoi.

Rarement le temps ne m'avait paru aussi long, et rarement aussi une telle érection m'avait tenaillée de la sorte. j'ai la mauvaise habitude de porter des jeans serrés, vestiges de l'adolescence . Elle revient, j'entends ses pas feutrés dans l'allée, le frôlement de ses bas quand elle resserre un peu les jambes.

Je réalise à quel point la déformation de l'entre-jambe de mon jean ne laisse aucun doute sur la nature de mes pensées, d'autant que, comme ça m'arrive parfois, je n'ai pas mis de boxer pour le voyage, pour une question de confort.

A-t-elle lu dans mes pensées ? son regard est braqué sur ma braguette et je sens que cette dernière risque fort de ne pas tenir longtemps dans ces conditions.

Elle fait mine vouloir attraper son sac pour y ranger sa pochette à main qu'elle avait emmené avec elle, mais sa petite taille ne lui permet pas d'atteindre le porte bagages, tout en me laissant par contre le loisirs de jeter un oeil à la dérobée sous son chemisier pour apercevoir ces seins prometteurs galbés dans une lingerie de dentelle fine.

Un geste maladroit lui fait lâcher sa pochette qui s'ouvre en tombant sur mes genoux, laissant apparaître la même dentelle que je venais d'admirer dans les contreforts de son anatomie. Incroyable, elle est allée enlever son string aux toilettes...

Maladroitement je lui rend ses effets, refusant dans un effort surhumain de montrer l'étendue de mon trouble. Je dois le dire comme tel, je bande maintenant comme je n'avais pas bandé depuis longtemps. Et d'un regard elle me fait comprendre que je dois l'aider. Quoi, me lever avec cet étendard dressé qui va lui arriver pile au visage...oui mais que faire, refuser pour tenter de cacher quelque chose qu'elle se plaît à dévorer du regard depuis un bon moment déjà...

Alors , assumant mon désir, je me lève, lui rendant la monnaie de sa pièce en me cambrant plus que de nécessité pour atteindre son sac et y glisser sa pochette et son string, lui laissant le temps de jauger l'amplitude du séisme hormonale auquel je suis soumis.

C'est alors que, les bras encore dans son sac, je sens une main se poser sur moi et attraper ma queue à travers mes vêtements. Des doigts fins mais vigoureux, qui savent ce qu'ils veulent et surtout comment.

Paralysé , inondé au sens propre comme au figuré, je sens des frissons me parcourir de la tête au pieds, conscient que , si un des bougres se réveille, il va me voir avec quatre mains dont deux en train de fouiller dans ma braguette, puisque celle ci n'a pas résisté et s'est docilement laissée glisser en bas, libérant mon membre gonflé de désir et trempé de plaisir.

Ses lèvres sont encore plus douces que ses mains, et m'enrobent d'une volupté humide, épongeant au passage ma mouillure d'un coup de langue averti. Elle me happe, me lape, me dévore, tantôt timidement, tantôt goulûment, et je me retiens de crier mon plaisir, sans trop savoir combien de temps je résisterai encore.

Puis, sans ménagement, elle me repousse , me faisant tomber sur le siège en face d'elle, et, avant que j'ai pu réaliser quoique ce soit, je vois ses jambes s'écarter, me laissant enfin contempler cet abricot, encore plus délicieux au regard qu'à l'imagination.

Un très fin duvet sur la naissance supérieure des lèvres gonflées de désirs, témoignent d'un rasage fréquent, d'une attention toute particulière portée, à cette intimité frémissante.

Sans réfléchir, je m'accroupis et commence à embrasser ces cuisses offertes, chaudes et toniques, tremblantes de sensations inédites. Et je remonte, lentement, savourant chaque millimètre de cette peau de pêche. Un abricot, une pêche, son corps est un verger dans lequel je vais plonger ma verge, telle une abeille butinant un fruit bien gorgé de soleil et de sucre.

Me voila maintenant arrivé tout contre ses lèvres, trempées, ruisselantes d'une jouissance promise, unique, éphémère et belle. Après avoir lutiné tout autour , rendant définitivement folle de désirs cette petite chatte, je viens la prendre à pleine bouche, et je l'embrasse, doucement , profondément, ma langue s'insinuant dans tous les possibles offerts.
Ce faisant, j'opère une remontée vers le pic du plaisir qui déjà se raidit, demandeur de caresses apaisantes. Je le titille du bout de ma langue, puis l'abandonne un instant, pour mieux le rassurer d'un lapement appuyé. Enfin, je m'acharne un peu plus sur lui, ne lui laissant aucun répit, et dans un spasme vertigineux, ma belle inconnue m'agrippe la tête pour la plaquer tout contre son sexe, et se met à bouger le bassin avec une frénésie dont la seule issue ne peut être que l'orgasme. Et je le sens arrivé à la pénétration de ses ongles dans mon cuir chevelu, alors ma langue accentue encore sa pression soyeuse et je la sens exploser dans une jouissance aussi silencieuse que puissante, et pendant un long moment, je reste le visage enfouie au plus profond d'elle, gouttant le nectar de nos amours ferroviaires.

Mais la farouche n'a pas dit son dernier mot, et sans autre forme de procès, elle me plaque à mon siège et vient s'empaler sur mon vît tout englué du plaisir donné. Ses mouvements puissants et profonds viennent à bout de mes dernières résistances, et lorsqu'elle sent ma jouissance arriver, ses contractions internes me fond à mon tour exploser, au plus profond de son corps, dans la moiteur de cette divine cavernes qui me recueille et m'aspire jusqu'à l'épuisement.

Je ne connais rien d'elle, ni son prénom ni même le son de sa voix, puisque la seule chose qu'elle m'aies murmuré en quittant le wagon fut "merci". Je garderai le souvenir de la fusion de deux corps dans la quête de plaisirs partagés.

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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