Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 11:22

La piscine de l’hôtel offrait un spectacle à couper le souffle ; seul îlot de lumière au sein de la nuit, elle était illuminée par le fond de dizaines de petites lampes, lui donnant ainsi l’aspect d’une flaque d’étoiles. La nuit était chaude, c’était ce qui avait décidé Virginie à aller faire quelques brasses. L’eau était à la température parfaite, l’idéal pour se rafraîchir, pas un bruit ne résonnait dans la nuit. Elle se sentait bien, détendue.

 

Elle en était à sa troisième longueur quand elle vit qu’elle n’était plus seule. Un autre client de l’hôtel approchait de la piscine, sa haute silhouette se découpait dans l’obscurité. Quand il arriva dans la lumière, Virginie fut frappée de stupeur. Il était incroyablement beau ! Le peignoir qu’il portait laissait entr’apercevoir des pectoraux magnifiquement musclés, son visage était doux, un peu comme ces acteurs britanniques à la Pierce Brosman. Quand il laissa tomber le peignoir, Virginie put découvrir que son corps ne souffrait d’aucun défaut, musclé à la perfection, sans excès. Il ne donnait pas l’impression de l’avoir remarquée.

 

Virginie sentait monter en elle la douce chaleur du désir, s’imaginant dans les bras de ce bel Apollon. L’inconnu se retourna vers elle, avait-il senti son désir par quelque sens extra-sensoriel ? Virginie ne le saurait jamais, elle crut rêver quand elle le vit s’avancer vers elle, un petit sourire aux lèvres ; chaque pas qu’il faisait en sa direction augmentait son trouble. Enfin il fut là, à quelques centimètres de son corps brûlant, encore plus beau qu’elle ne l’avait cru, et si mystérieux ! Il n’avait pas prononcé une seul parole, mais son regard était sans équivoque : il la voulait !

 

Il se laissa couler dans l’eau près d’elle, leurs corps n’étaient plus séparés que de quelques centimètres, Virginie sentait le trouble envahir son corps. Elle avait envie de cet homme qu’elle n’avait jamais vu, envie de se laisser aller, toute offerte aux désirs de l’inconnu. Elle se mordait la lèvre pour ne pas l’embrasser. L’apollon passa lentement sa main dans le dos de Virginie, déclenchant en elle une onde électrique de désir ; se rapprochant d’elle, il lui embrassa tendrement le coin des lèvres. Virginie n’y tint plus, elle embrassa avidement les lèvres de l’inconnu, leur langues s’unissant dans un baiser fougueux et passionnés.

 

Toute notion de raison effacée, Virginie s’agrippa à cet homme qu’elle voyait pour la première fois, ses mains caressant son corps musclé. Les mains de l’inconnu n’épargnaient aucune partie de son corps, la caressant sans insistance ; sa peau frémissait à ce contact empli de douceur et de désir. Remontant dans son dos, il lui dénoua le haut de son bikini, libérant ses seins ainsi offerts aux baisers fougueux de l’inconnu. Elle sentait sa langue jouer sur ses mamelons durcis par le plaisir. Les mains de l’inconnu étaient solidement fixées sur ses fesses, seul le fin tissu du bikini atténuait ce contact troublant. Virginie se laissait aller au plaisir de ces baisers passionnés, elle laissait ses mains découvrir le corps de cet homme mystérieux, sa musculature se dessinait sous ses doigts.

 

Sous l’effet d’une audace qui ne lui ressemblait pas, elle laissa glisser sa main jusqu’à l’entrejambe du bel inconnu pour sentir la dureté de son sexe qui tendait dangereusement le short de bain. L’inconnu émit un soupir de plaisir au contact de son audace, Virginie en profita pour serrer plus fermement le membre viril de son amant. L’apollon laissa glisser à son tour sa main sous le fin tissu du bikini, à la recherche du sexe de Virginie qui palpitait de désir.

 

Quand elle sentit ses doigts entrer en contact avec son clitoris, son bas-ventre s’embrasa. Il la caressait doucement, elle sentait le contact ferme et doux de ses doigts sur son sexe offert, la vigueur de ses caresses l’amenait inexorablement aux portes de l’orgasme, elle agrippa son dos d’une main, l’autre toujours occupée à caresser à travers le short de bain la verge dure et gorgée de plaisir de l’inconnu.

 

Quand l’orgasme la submergea, elle renversa la tête en arrière pour crier. Elle avait l’impression d’être faite de métal en fusion, tellement le désir hurlait en elle. Elle débarrassa prestement le sexe de l’inconnu de son rempart de tissu afin de pouvoir le prendre dans sa main, le caressant dans toute sa longueur, cherchant les zones qui lui arrachaient des soupirs de plaisir.

 

Le bel apollon lui retira également le reste de son bikini, continuant à la caresser lentement. Elle sentait son souffle chaud dans son cou, ses lèvres si proches de sa peau accentuaient son désir. Elle crut jouir encore quand il la pénétra d’un de ses doigts, caressant son sexe de l’intérieur, le va-et-vient qu’il faisait en elle s’accordait aux caresses qu’elle lui procurait. Elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler de plaisir sans discontinuer. L’inconnu l’embrassa avec passion, bâillonnant ainsi ses cris de plaisir, en même temps qu’il la pénétrait d’un doigt supplémentaire.

 

Surprise par autant de plaisir, Virginie lâcha le sexe du bel inconnu, elle n’avait jamais ressenti une telle jouissance, il semblait connaître le moindre de ses désirs. Quand il la pénétra d’un troisième doigt, elle senti un orgasme engourdir son bas-ventre, tout de suite suivi par une vague de plaisir. Malgré les deux orgasmes qu’il venait de lui procurer, il ne semblait pas vouloir en rester là, le va-et-vient de ses doigts augmentant sa cadence, s’enfonçant toujours plus profondément en elle, la rendant folle. Elle était comme une poupée, esclave des désirs et de la passion de ce bel inconnu, toujours enlacés dans ce baiser passionné, ses doigts profondément ancrés en elle, lui arrachant des cris de plaisir aussitôt étouffés par le tendre bâillon de ce baiser.

 

Puis il retira lentement ses doigts de son sexe, et la prenant par les fesses, il la hissa sur le rebord de la piscine. Elle était assise face à sa bouche avide, son sexe tout offert à sa langue. Il commença à lentement faire jouer le bout de sa langue sur son clitoris, ses mains maintenaient fermement ses cuisses ouvertes. Chaque mouvement de sa langue embrasait Virginie, ne pouvant se retenir, elle agrippa la tête de l’inconnu, afin que celui-ci approfondît son exploration. Elle sentait sa bouche embrasser son sexe, sa langue explorant sa fente chaude et humide de désir. Les mains de l’inconnu se firent plus aventureuse, relâchant la pression qu’elles exerçaient sur ses cuisses, pour partir de nouveau à la découverte de son sexe, jouant doucement à l’entrée de ce territoire de plaisir ; les caresses buccales de l’inconnu se firent un peu plus appuyées, jouant avec passion sur son clitoris.

 

Quand l’inconnu introduisit à nouveau ses doigts en elle, elle crut défaillir de plaisir, il stimulait la zone la plus sensible de son sexe, la caressant de l’intérieur dans un doux et puissant va-et-vient pendant que sa langue la rapprochait à nouveau de l’orgasme. À travers le brouillard de plaisir qui lui obscurcissait l’esprit, elle sentit l’inconnu titiller très légèrement son anus en même temps ; loin de la bloquer dans son plaisir, cela renforça sa jouissance, tout son corps semblait n’être que plaisir ! Elle n’en revenait pas de l’audace de cet homme, et encore moins de son savoir-faire, jamais elle n’aurait pu imaginer une telle jouissance. L’orgasme déferla en elle, puissant, sauvage comme le cri qu’il lui arracha. Attirant à elle le visage du bel inconnu, elle l’embrassa passionnément, l’invitant à la rejoindre sur le bord de la piscine.

 

Virginie laissa ses mains se balader sur le corps sans défaut de l’apollon, approchant avec gourmandise de ses pectoraux qu’elle embrassa avec fougue, mordillant ses mamelons, sentant les battements de son corps sur le bout de sa langue ; sa main s’était faite audacieuse et elle tenait le sexe de l’inconnu d’une poigne ferme, l’amenant au plaisir par un va-et-vient doux et tendre. La respiration haletante de son bel amant la rendait folle de désir ; décidant de lui rendre la pareille, elle dirigea sa bouche et ses baisers vers l’entrejambe de son partenaire, afin de prendre le membre fièrement dressé à pleine bouche, le cri de surprise et de plaisir que cela provoqua fit monter en elle une vague de désir supplémentaire. Elle faisait aller et venir sa bouche sur la verge gonflée du bel inconnu qui haletait de plaisir, titillant et léchant longuement le membre viril, buvant le désir qui s’écoulait du gland prêt a exploser. Du coin de l’œil, elle vit quelque chose qui faillit la couper dans son élan : à quelques mètres d’eux, allongée sur un transat, une femme les observait avec gourmandise. Sa main glissée sous son paréo ne laissait aucun doute sur l’effet que provoquaient en elle leurs ébats. Virginie ne comprenait pas pourquoi, mais cela augmenta encore son excitation, et elle plongea encore plus profondément le sexe de son amant au fond de sa bouche, lui arrachant un cri de plaisir. Il ne semblait pas se rendre compte qu’on les observait, il était tout à son plaisir, les yeux mi-clos. Lâchant enfin le sexe de l’inconnu, Virginie se mit à califourchon sur lui, enfonçant son sexe au fond d’elle d’une poussée. Elle se sentit exploser de plaisir. Le sexe de l’inconnu semblait n’exister que pour la faire s’abandonner à la volupté et au plaisir. Elle remuait ses hanches sur lui, sentant à chaque mouvement le sexe de son bel amant bouger en elle, la femme qui les regardait augmentant encore son excitation.

 

Au bout de quelques minutes de cette chevauchée sauvage, l’inconnu se dégagea de l’étreinte de ses jambes pour reprendre les commandes. L’entraînant quelque peu à l’écart de la piscine, il l’allongea sur le dos sur un transat. Glissant son corps brûlant de désir contre le sien, il l’embrassa avec fougue ; elle sentait le membre viril si ardemment désiré contre son ventre. Elle ne put s’empêcher de faire glisser en elle l’objet de son désir. Quand elle le sentit taper au fond d’elle, elle hurla son désir. Du coin de l’œil, elle observait toujours la voyeuse dont les mouvements de main de plus en plus rapide trahissaient l’excitation.

 

Son bel amant allait et venait en elle avec fougue et force, elle sentait l’orgasme sur le point de la ravager à nouveau. Son bel amant devait avoir senti cela lui aussi car il accéléra son mouvement pour amener Virginie à l’orgasme. Ils explosèrent de plaisir au même instant, Virginie sentait les soubresauts du sexe de son amant en elle alors qu’il achevait de lui donner son précieux liquide. Virginie le sentait toujours dur et solidement fixé en elle, tel un roc inamovible. Il s’approcha de son cou, la mordillant doucement, elle se sentait attristé à l’idée de devoir le sentir sortir d’elle.

 

Les petites morsures de son amant firent bientôt place à de tendres baisers, puis la tendresse fit place à la fougue alors même que le bel inconnu reprenait son va-et-vient en elle. Virginie crut devenir folle de plaisir ; la fougue de l’inconnu ne semblait pas avoir diminué d’un pouce, bien au contraire ! Sans même qu’elle ne se rende compte de quoi que ce soit, elle se retrouva assise sur lui, son sexe profondément ancré en elle, sa main caressant son clitoris. Virginie sentait la sueur due à l’effort couler entre ses seins, elle avait du mal à garder son souffle. Elle voyait toujours la femme les regarder avec gourmandise, se caressant toujours sous son paréo.

 

Cela accroissait encore l’excitation de celle qui se cambra un peu plus sur son partenaire, enfonçant sa verge un peu plus profondément en elle et offrant son sexe aux caresses de ses mains expertes. L’inconnu allait puissamment en elle, chaque mouvement de son sexe lui arrachant des cris de plaisirs ; il se sépara d’elle et la fit changer de position, la prenant ainsi dans une levrette passionnée, donnant de puissants coups de reins en elle ; Virginie criait sans discontinuer, tout à son plaisir elle ne se préoccupait même plus de ce que faisait la voyeuse. Elle allait jouir à nouveau, elle sentait chaque mouvement de l’inconnu en elle embraser son sexe, son clitoris lui faisait l’effet d’une fleur enflammée par le plaisir. Ils jouirent à nouveau à l’unisson, retombant haletants et épuisés sur le transat. Elle sentait le sexe de l’inconnu continuer à déverser son plaisir en elle, il la prit dans ses bras dans une étreinte douce et tendre.

 

Virginie lança un dernier coup d’œil vers le fauteuil de la mystérieuse femme, il était vide, celle-ci avait disparu. Virginie se laissa aller à la douceur de leur étreinte, posant sa tête sur le torse de son bel amant, reprenant des forces…

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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