Récits érotiques du web

Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 22:13

Je rabats mon siège pour m’endormir, l’avion vient de décoller et je commence à avoir un peu le tournis car je suis très sensible au mal de l’air. Les lumières sont à moitié éteintes et je profite pour fermer les yeux et essayer de concilier le sommeil


Il fait froid mais je suis trop fatigué pour me mettre debout et sortir la petite couverture de laine que j’ai apportée à tout hasard, dans mon sac à dos. La voix du commandant de bord résonne à l’intérieur de l’avion et les hôtesses de l’air s’occupent d’aider les passagers.


En somme, tout se déroule normalement, et je croise les jambes pour dormir, la tête appuyée du côté de la fenêtre. Soudain, j’entends une voix de femme très douce qui me demande de me pousser un peu.

« Excusez-moi de vous déranger Monsieur mais je voudrais m’asseoir » Je rouvre les yeux et, en faisant demi-tour je vois une très jolie brune, jeune et d’une éblouissante beauté, qui m’adresse un regard à la fois naïf et séduisant.

Nous commençons ensuite à parler de tout et de rien, car elle est très bavarde et moi, j’ai oublié mon sommeil et ma fatigue, sous l’emprise de ce canon aux gros nichons, assis à côté de moi. Je ne peux m’empêcher de mater ses courbes parfaites, moulées sous son petit jean.

Ses cheveux longs et raides tombent sur ses épaules. Le parfum de cette jolie nana ne tarde pas à envahir mes narines en éveillant en moi toutes sortes de pensées coquines. Ça y est, elle a réussi à m’activer, ma voisine de siège et je bande comme un fou, pendant que les autres passagers dorment paisiblement


Lilou, car elle s’appelle comme ça, étudie la chimie à Lyon et travaille comme secrétaire dans un bureau de notaires. Je n’arrive pas à croire qu’une si belle fille n’ait pas de petit ami et je la laisse parler tout ce qu’elle veut, pour mieux me concentrer sur sa grosse poitrine, qu’elle ne prend pas la peine de dissimuler.

Soudain, elle se tait, et, à ma grande honte, je constate qu’elle a remarqué mon érection. Je rougis et m’excuse mais Lilou ne semble pas m’écouter et baisse la tête, comme si elle allait pleurer.

Je lui propose de me lever et d’aller chercher un siège libre quelque part dans l’avion, pour éviter de la déranger. Au moment où je me mets debout, elle me prend par la main et me prie de me rasseoir


Je lui obéis tout de suite, prêt à m’excuser quand, contre toute attente, elle m’adresse un sourire très coquin.

«Tu veux jouer un petit peu?» et, en glissant sa main sous la fermeture de mon pantalon, elle commence à masser ma bite très doucement, sans s’arrêter de me regarder fixement, dans les yeux. Je mouille comme jamais avant et cela semble l’exciter au point de mordiller ses lèvres très lascivement.

  «Mets mon manteau sur tes jambes» je suis ses indications aveuglement, car je suis certain qu’elle va me faire vivre une expérience unique, dans les hauteurs. Sa petite main, douce et moite, masse mon sexe très délicatement et le lubrifie avec mes fluides.

Mon cœur s’accélère au fur et à mesure que ses tétons se dessinent sous son t-shirt moulant, car sa poitrine a durci et gonflé énormément. Je suis au top de l’extase et pendant que Lilou me masturbe je lui donne de petits bisous sur le cou, pour dissimuler un peu et jouer les amoureux.

«Surveille le couloir et dis-moi quand l’hôtesse est près de nous» et cela dit, la coquine met sa tête sous le manteau et, sans me prévenir, glisse ma bite jusqu’au fond de sa gorge. C’est la pipe goulue la plus excitante que l’on m’ait faite et je dois mordre mes lèvres pour ne pas gémir.

Je suis au comble de l’extase et ma jolie voisine de siège ne lâche pas prise. Ses va-et-vient se font de plus en plus appuyés.

Je l’imagine toute nue, en levrette, en train de m’offrir son petit cul serré que je lime sans aucune pitié. Toutes sortes de pensées coquines défilent dans ma tête, pendant que Lilou me taille une pipe goulue, formidable, sous le manteau.
On dirait qu’elle ne touche pas de mec depuis des années car sa bouche charnue s’occupe de mon dard avec une voracité inouïe. Je voudrais lui balancer tout mon sperme dedans, mais je pense que c’est trop osé de salir son manteau ou bien son visage sans la prévenir, car je ne sais pas comment elle pourrait réagir…

«Jouis dans ma bouche» me dit-elle à voix très basse, et, sans qu’elle ait eu besoin de le répéter, je me laisse transporter par les secousses d’un orgasme puissant, qui me fait voir toutes les constellations et les étoiles du ciel. Après avoir tout avalé, Lilou part aux toilettes en me disant de l’attendre sans bouger...

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : passion exhib et voyeur
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Lundi 2 mars 1 02 /03 /Mars 12:13

Nous sommes dans ce restaurant tout à fait charmant, le repas est délicieux, les alcools succulants, toute cette soirée respire le bien-être…  C'est l'instant du dessert, tu es là face à moi, superbe dans cette robe noire, ton décolleté permet d'admirer cette partie de ton corps qui enflamme mes sens, imaginer ces monts de chair qui palpitent aux rythmes de ta respiration, ces mouvements qui tendent ce fin tissu et qui ne laissent planer aucuns doutes tes sensations….

Nos mains se rejoignent alors que nos regards se mêlent, l'intensité du moment est très forte, tu devines mon émoi et tu perçois sans difficulté l'excitation qui monte en moi….

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Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 23:13

Ils ne s'étaient pas rencontrés depuis plusieurs mois et l'envie de se retrouver était très forte. La date avait été retenue depuis quelques jours et les échanges quotidiens au téléphone avaient laissés tout le monde sur sa faim et aucune idée de ce qui pourrait arriver lors de cette rencontre n'avait transpirée. Tout était possible et ils le savaient tous les deux.

Quand il arriva chez elle, son coeur battait très fort, peut être trop fort. Mais qu'importe le désir était là. L'effet de surprise serait toujours le même. Il savait où il allait mais il ne savait pas jusqu'où il irait. Il savait juste que ce serait fort.

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Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 14:29
Cela s'est passé il y a un an , j'étais invité à une soirée d'anniversaire, un peu loin de chez moi , en pleine campagne.
En arrivant à la soirée, je croise une de mes ex, Manon, que je n'avais pas vu depuis quelques mois...
Je la trouve ravissante et très sexy dans son petit jean taille basse moulant et son débardeur rouge qui laisse apparaître deux petits seins qui pointent. La revoir ainsi, de façon inattendue , ravive en moi des souvenirs chargés d'érotismes.

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Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : passion exhib et voyeur
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Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 14:04

L’été dernier, j’ai été invité à l’anniversaire d’un de mes meilleurs amis. Je savais que j’allais y revoir des copines d’enfance… Vu la chaleur qu’il faisait, Boris avait décidé de faire la fête dans un parc au bord du lac, le Jardin anglais. C’est un endroit assez sympa ; le soir il y a beaucoup de monde qui vient se promener par là.

Comme à mon habitude, j’ai fait exprès d’arriver un peu en retard car j’aime bien quand l’ambiance a déjà commencé à chauffer et que les gens sont détendus grâce à l’alcool. Et j’avais raison de le faire : Quand je suis arrivé, tout le monde était en train de se saouler et rigolait bien. Je fis immédiatement le tour de toutes les femmes qui étaient présentes et je remarquai spécialement cette blonde. C’était Fanny, la fille sur qui j’avais fantasmé toute mon enfance mais que je n’avais jamais osé draguer. Elle avait bien grandi en tout cas… Surtout au niveau des seins ! Elle portait une jupe qui lui moulait les fesses à merveille et qui était fendue à l’arrière. La soirée ne pouvait pas mieux commencer.

 

J’engageai directement la conversation avec elle. Je fus surpris par la quantité d’alcool qu’elle ingurgitait. Pour ne pas passer pour un nul, j’essayai de suivre son rythme. Très vite, notre conversation qui était d’abord très banale devint de plus en plus chaude. Cette fille était vraiment une petite coquine, tout ce qui l’intéressait tournait autour du sexe. Je dois dire que ça ne me déplaisait pas, mais j’étais tout-de-même assez étonné ! Elle me proposa d’aller s’asseoir dans l’herbe un peu plus loin. Je pus grâce à ça apercevoir sa petite culotte blanche. Je m’allongeai en face d’elle de manière à avoir une bonne vue sous sa jupe et sur ses seins ravissants. Elle continua à me raconter sa vie sexuelle sans omettre le moindre détail. C’était sans nul doute très intéressant, mais j’étais un peu trop concentré sur autre chose, je crois.

 

A un moment, sans que j’aie le temps de réagir, elle se coucha à son tour et posa sa tête sur mes cuisses, ou devrais-je plutôt dire sur ma queue ! Je me suis mis à bander comme un âne, impossible de faire autrement, vous pensez bien. J’avais un peu honte de moi à ce moment et j’espérais qu’elle n’ait rien remarqué. Erreur, elle posa sa main dessus et tâta mon engin comme quand on essaie de savoir ce qu’il y a dans un paquet cadeau. Ravi, je la laissai faire tout en jetant vite fait un coup d’œil autour. C’était hélas bourré de monde mais personne ne se préoccupait de nous apparemment. Je pris alors l’initiative de l’embrasser bien goulûment, je m’allongeai sur elle et me mis à frotter mon sexe contre le sien. Elle avait l’air d’aimer ça cette chipie.

 

Mais moi je trouvais notre position un peu inconfortable, alors, d’un mouvement rotatoire, je la fis passer dessus. Ce mouvement bien maîtrisé fut malheureusement accompagné d’un bruit sec, comme quand on déchire du tissu. Elle me dit : « Connard, je crois que t’as déchiré ma robe ! » Je la palpai pour voir si c’était vrai, et en effet sa jupe était bien déchirée à l’arrière. Je suivis avec les doigts la fissure pour voir l’ampleur des dégâts. J’avoue que j’en profitais aussi pour lui pelotter un peu les cuisses… ma foi ce n’est pas tout les jours qu’on peut faire ça pour rendre service. A ma grande surprise, la robe était déchiré jusqu’aux fesses. En toute honnêteté, je lui dis, en appuyant à l’endroit précis : « C’est déchiré jusqu’à là. » Seulement, l’endroit précis se trouvait au niveau de sa chatte. Je sentis alors l’humidité qui régnait en cet endroit. Elle gémit. Je me suis dis que ça pourrait la consoler si je la caressais un peu. Je glissai donc mes doigts sous sa culotte et en enfilai délicatement un dans son vagin trempé. Elle gémit encore plus fort et se tortilla sur moi. A son tour, elle descendit sa main et déboutonna mon jean. Elle sorti ma bite et d’un mouvement plutôt expérimenté, me branla un court instant. Je dus la stopper moi-même parce que j’allais exploser. Je refis la même manœuvre rotatoire qu’auparavant (sa robe ne pouvait pas plus se déchirer de toute façon) et me retrouvai dessus. J’arrachai sa culotte et la balançai à côté. C’est à ce moment que je réalisai que j’avais oublié qu’il y avait du monde autour… Peu importe, j’étais trop excité, je me convaincus moi-même que personne ne regardait la scène bien agitée. J’enfilai ma queue en elle en surveillant que personne ne voyait ce que je faisais et entrepris un mouvement de va et vient. J’oubliai alors les autres à nouveau.

 

Tout allait pour le mieux jusqu’au moment ou cette coquine agrippa mes fesses et me tira contre elle comme pour que j’aille encore plus profond en elle. Je sentis une décharge dans tout mon corps et ma réaction fut sans appel, je larguai tout ce que j’avais en elle. C’était tellement fort que j’ai eu l’impression de la transpercer avec mon sperme. Je m’écroulai alors sur elle, ma tête fut amortie sur ses seins. Je restai dans cette position un moment, j’étais bien avec ma bite toujours au chaud et ses seins me servaient de coussin. C’est là qu’elle me dit : « Tu vas pas t’arrêter au moment ou je commençais à prendre mon pied… » Ce genre de parole n’a qu’un effet sur moi, c’est de me faire bander à nouveau. Je me mis à baiser Fanny de nouveau mais cette fois plus tendrement et plus longuement. Toute cette herbe autour de nous me donnait l’impression de ne faire qu’un avec la nature.

Quand nous avons fini, nous sommes allés nous asseoir avec les autres, comme si de rien n’était. Personne ne fit de commentaire, je pense qu’ils étaient décidément tous trop saouls pour comprendre quelque chose.

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : passion exhib et voyeur
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