Alors que j'avais passé une sale journée au boulot, je me précipitais chez moi. Elle m'accueillit gentiment, drapée d'une petite tenue osée, en clair une simple nuisette satinée... Je fus surpris de la trouver ainsi, rarement une telle chose ne se produisant en ce moment...
Pourquoi ne passerais-tu pas sous la douche comme je viens de le faire, me demanda-t-elle, ça te relaxera, ...!
Un peu surpris par de tels propos, je ne me le fis pas dire deux fois. Je fonçais directement à la salle de bains, afin de me laver, mais aussi pour avoir un moment de tranquillité, à moi, rien qu'à moi ! La sensation de l'eau brûlante sur mon corps fatigué me fit un bien fou. Je me sentais revigoré. J'entrepris même de me caresser, mais ça n'alla pas plus loin... Mes ablutions terminées, j'enfilais rapidement un boxer et un t-shirt. Je retournais dans le salon en baillant. Elle était là, sur le canapé, allongée entièrement nue, offerte comme une pêche juteuse en plein été...bien que l'hiver n'allait pas tarder de pointer le bout de son nez.
Je m'approchais d'elle, virais mon boxer, commençant à sentir mon sexe se redresser... Je me penchais vers elle, relevant une de ses jambes afin de dévoiler largement son intimité... Elle ne prononça pas un mot. Mon sexe frôla sa légère toison ainsi que ses grandes lèvres.
J'approchais ma bouche, mes lèvres des siennes couvertes de gloss, et nous échangeâmes un baiser passionné, mélangeant nos langues et nos salives, tandis qu'elle promenait une de ses mains sur son sexe ouvert.
Puis je la retournais sur le ventre, relevant son arrière-train. Elle pouffa légèrement, heureuse d'obtenir ce qu'elle souhaitait manifestement depuis un bon moment ! Je saisi ses fesses à pleines mains, et entrepris alors de la lécher, faisant glisser ma langue dans son sillon, navigant de son clitoris jusqu'à son petit trou, entrant au passage dans le secret de son antre humide.
Je me déchaînais totalement sur cet endroit que je dégustais véritablement. Ayant toujours adoré cette pratique, je faisais aller et venir ma langue de haut en bas, tournant, entrant et sortant, titillant, mordant légèrement ses lèvres intimes, puis j'insérais un doigt ou deux, afin de commencer à la travailler plus sérieusement.
Elle prit elle même l'initiative de stopper cet anu-cunilingus... Elle me fit remonter sur le sofa, me plaqua sur le dos, et saisit à pleine main mon sexe turgescent. Elle m'embrassa profondément, goûtant de la sorte à son propre jus dont ma boucha avait été inondée. Penser à ça m'excita encore plus. Elle lécha sa main et commença à me caresser, avant de commencer une vive masturbation, accentuant son étreinte à chaque passage sur mon gland...
Mais je souhaitais passer à autre chose. La bête qui sommeillait en moi devait se réveiller. Je l'attirais sur moi, et glissait aisément ma queue dans son vagin grand ouvert et dégoulinant de cyprine. Je lui saisit les reins et commençait à la limer, tantôt lentement, tantôt rapidement, tantôt délicatement, tantôt profondément et violemment, la faisant couiner, et, parfois, arrivant à faire disparaître ce petit sourire narquois qui ornait son visage. Elle se sentait remplie, désirée, et s'apprêtait à bénéficier de ce traitement pour parvenir à un orgasme puissant...
Je me laissait aller totalement, la prenant sans ménagement. Elle haletait, poussait de petits gémissements, puis je me retirais totalement d'elle alors qu'elle atteint la jouissance. On fit une pause, puis je la fis mettre debout, la fis se pencher en avant, et me mis à genoux derrière elle. J'entrepris de la lécher à nouveau. Elle était trempée, mélange de ses sécrétions et des miennes, encore diluées de ma salive abondante. Je passais sur son clitoris, mais elle poussa un "non", ajoutant qu'elle était trop sensible après cet orgasme. Je me concentrais alors sur son anus, léchant et léchant encore ce petit trou sombre et plissé. Je fis glisser un doigt, le faisant tourner, aller et venir, puis j'en insérais deux afin de la dilater. Je les agitais de plus en plus, et alors qu'elle commençait à me demander d'y aller plus doucement, je virais mes doigts, déposais une bonne quantité de salive sur son fondement et y enfournais ma bite.
Je la labourais de cette façon pendant quelques minutes. Je sentais la jouissance venir, mais je ne souhaitais pas éjaculer dans son cul. Je me retirais d'elle, la laissais ainsi, chancelante, afin d'aller faire un tour rapide dans la salle de bains pour me nettoyer, puis je la rejoignis. Je la fis mettre à genoux, approchant ma queue de son visage. Elle comprit mon désir, et s'empara de mon sexe qu'elle commença à branler et lécher. Puis elle me prit à pleine bouche et me pompa sauvagement. Je ne pu me retenir davantage, et je lui balançais tout, une partie lui giclant sur les joues, l'autre étant recueillie dans sa bouche... La sensation fut incroyablement intense.
Elle s'essuya le visage, se redressa et m'embrassa à pleine bouche, souhaitant me fair connaître ce qu'elle avait encore sur la langue ! La coquine perverse...! Nous nous sommes alors rhabillés, filant tous deux vers le frigo afin de trouver de quoi nous permettre de récupérer...Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires