Le Blog d'un Couple Libertin
Il est 18h. Cela fait déjà un moment que je suis assis au bord de mon lit dans la pénombre de ma chambre à attendre ton arrivée. Je n’ai pas compté les minutes, mais j’ai senti monter progressivement mon désir et mon impatience d’être enfin avec toi. Les images de nos ébats dans cette chambre d’hôtel me reviennent par flashes successifs… Je me remémore ces instants forts dans la forêt… Encore quelques minutes à attendre…
Je guette par intermittence mon téléphone afin de voir si tu n’as pas laissé un message qui doit me signaler que tu es enfin devant la porte d’entrée de mon immeuble. Non, toujours rien… Un nouveau souvenir de ta bouche chaude sur mon sexe bandé se presse dans ma mémoire… Je fais glisser ma main le long de mon torse nu, puis j’écarte l’élastique de mon boxer pour toucher mon sexe dur comme un morceau de bois, je l’étreins doucement… Il palpite déjà entre mes doigts chauds.
Une vibration. "Message reçu".
Je suis devant chez toi. Ouvre-moi !
Je me lève prestement, mon cœur danse dans ma poitrine tandis que je me dirige vers la porte d’entrée, j’attrape le combiné de l’interphone :
Je repose le combiné doucement, je me demande si tu vas suivre le jeu jusqu’au bout, un petit mouvement de tête pour vérifier que tout est en place comme le prévoit notre scénario d’aujourd’hui. Je suis impatient…
Je me glisse derrière la porte de mon salon, la laissant juste entrebâillée pour t’observer, sans que tu ne le saches. Je veux te voir. Je veux être prêt à commencer notre jeu…
Tu apparais enfin, je t’espérais depuis si longtemps. Tu pousses la porte et tu la refermes vite, comme si tu ne voulais pas gaspiller une seconde de ce temps qui nous est si précieux et si cher. Notre jeu commence… Hum… Enfin…
Comme je te l’ai promis, tu trouves la chaise au milieu de mon entrée, le masque de nuit, de couleur noire, y est posé en évidence pour que tu ne le rates pas. Tu laisses tomber ton sac à main le long de ton corps, tu fais glisser rapidement tes vêtements sur le sol dans un simple frottement d’étoffe. Je suis heureux de voir que tu ne gardes que ton string. Tu regardes le masque de nuit un très bref instant, et tu t’en saisis d’une main sûre et ferme. Tu jettes quand même un dernier regard à l’entrée de mon appartement, puis tu ceins le masque autour de ta tête et te mets à genoux. Tu es si désirable dans cette tenue et dans cette position. L’odeur de ton parfum embaume la pièce et se glisse jusqu’à moi dans un entêtant ballet olfactif qui augmente mon excitation déjà si forte…
Un murmure.
À moi de jouer, de te faire profiter au mieux de ce moment, d’aiguiser tes sens de la meilleure des manières pour que ces instants soient à jamais gravés dans ta mémoire. À défaut de voir, je veux que tu ressentes au plus profond de toi.
Je me glisse furtivement hors de ma cachette, en essayant de faire le moins de bruit possible ; mais le mouvement de ta tête dans ma direction et le sourire que tu affiches ne me laissent aucun doute, tu as perçu ma présence. Je m’approche de toi, ton parfum ici est plus fort. Je te prends la main, et d’une pression douce, mais ferme, je t’indique que tu peux te relever… Je ne t’embrasse pas tout de suite, je veux attiser ton désir…
Je passe devant toi, mon bras comme un fil d’Ariane pour t’indiquer de suivre le chemin de ma chambre. Tout doucement je te fais rentrer, tu sais déjà que nous sommes arrivés, car le bois du parquet sous tes pieds a laissé sa place à une moquette épaisse. Je te fais lentement monter sur mon lit, à quatre pattes.
J’entends ta respiration, un peu saccadée, mais parfaitement maîtrisée, signe aussi de ton impatience, et du désir qui croît en toi. J’ai envie de glisser une main sur ta poitrine lourde qui pend entre tes bras pour percevoir les battements de ton cœur, mais il est temps d’unir mes lèvres aux tiennes. Je les contemple un instant, roses et pulpeuses, brillantes et terriblement désirables. Hum, notre baiser te surprend, il est suave, chaud, et rapidement je sens ta langue partir à la rencontre de la mienne, un mouvement humide et brûlant.
Des sensations érotiques explosent dans ma bouche et se diffusent dans mon corps comme une fièvre sexuelle. Tu m’excites. Ma queue se tend encore plus. J’ai envie de me débarrasser de mon boxer, mais je veux que tu saches à quel point tu m’excites, alors je me redresse et pose délicatement mes mains sur tes joues rougies par l’envie. Je presse avec soin ta tête sur mon sexe, nos peaux simplement séparées par le lycra de mon boxer.
Je frotte ma queue contre ton visage, je fais glisser mes couilles sur ta bouche qui s’entrouvre. Tu sors ta langue pour lécher le tissu qui enveloppe mon organe. Est-ce salé ? Je t’entends inspirer plus fort, comme si tu nourrissais ton excitation de l’odeur de mon sexe qui se dégage du tissu. Je me délecte de te faire languir et de t’aguicher de cette manière si crue et paradoxalement pratiquée dans la douceur la plus totale.
Mon sexe est prêt à éclater sous les pressions que peuvent exercer tes joues et ta langue, il est temps de lui donner plus d’espace. Je m’écarte à peine pour le libérer de sa prison de lycra, je le saisis d’une main pour le faire rouler sur ta joue, puis sur tes lèvres entrouvertes. Ta bouche s’ouvre d’un coup et ma queue plonge dans cette gaine de chair chaude et mouillée… Mon Dieu, quelle sensation !
Tes joues se creusent pour mieux aspirer et ta langue diabolique s’enroule autour de mon gland pour mieux le goûter. Que ressens-tu ? Prends-tu du plaisir à avoir enfin la bouche remplie de ce sexe dont nous avons tant parlé ? Je penche ma tête en arrière dans un mouvement ralenti pour mieux profiter de cette langue chaude, de cette bouche ardente et avide qui m’avale comme si sa vie en dépendait. J’adore… Je ferme les yeux, les veines de mon sexe palpitent sous l’effet de tes caresses. Hum… Mes jambes tremblent de plaisir tant tu es douée. Une nouvelle envie me prend.
Je m’éloigne un peu de toi, et mon sexe sort de ta bouche, luisant de salive, palpitant ; et je te prends la main :
Je te fais mettre à genoux en face de moi, j’en profite pour m’asseoir sur le bord du matelas. Doucement, je pose ma main sur le sommet de ta tête, et je te fais pencher en avant pour que tu me suces encore, que c’est bon de te voir si docile. Je jubile en admirant ce merveilleux spectacle de ta bouche se refermant sur mon gland encore trempé alors que tu ne peux que l’imaginer. Tes va-et-vient, et les petits chuintements de ta bouche provoquent rapidement une envie de jouir. Non. Pas maintenant. Nous ne sommes pas allés au bout du scénario…
Je me retire de ta bouche qui reste ouverte, et je me laisse basculer en arrière. Mes mains attirent ta tête… Oui, tu as vite compris mes envies, car tu sors ta langue qui se pose sur mon anus… Hum… C’est une caresse divine, exquise même. Quel plaisir ! Tu lapes mon petit trou… Puis ta langue se fait plus dure, inquisitrice, pour me pénétrer. Je me sens partir, je défaillis… Que ressens-tu ? Qu’imagines-tu à cet instant précis ?
Cela fait plusieurs minutes que tu t’occupes de moi, il est temps de te donner du plaisir, tu le mérites amplement.
Je t’aide à te relever, puis je te fais allonger sur le dos, les jambes largement écartées. Je n’ai pas encore enlevé ton string qui serre ta chatte. Je suis sûr qu’elle est totalement trempée… J’ai envie de le vérifier… Je prends mon temps, et je m’allonge sur toi, pour t’embrasser et frotter mon sexe sur ton entrejambe. Ta langue vient à nouveau à la rencontre de la mienne, tandis que je ressens la chaleur de ta chatte à travers mon sexe tout dur. Les mouvements de nos corps miment l’amour et font remonter l’odeur envoûtante et forte de ton minou excité… Je ne peux plus attendre, il faut que je constate par moi-même…
Je descends le long de ton corps voluptueux en laissant ma langue glisser sur la pointe de tes seins durcis, sur ton ventre rebondis… Je me love entre tes jambes et je pose ma tête sur l’étoffe mouillée plaquée sur ton sexe. Oui, tu es très excitée, ton odeur emplit mes narines et fait chavirer mes sens… Je t’enlève rapidement ce string qui n’est plus qu’une entrave, je hume une dernière fois ton parfum et je te lèche… Ta saveur envahit mon palais. Un régal… Tes lèvres sont ouvertes, la mouille coule tellement que ma langue glisse entre tes fesses… Ton clitoris est gonflé de désir, je le sens palpiter sous ma langue. Je pose mes mains sous tes cuisses et je mets tes jambes sur mes épaules afin que tu t’offres définitivement à ma langue. Je te lèche… De ton anus frémissant jusqu’à ton clitoris…
Je t’entends gémir, un regard sur ton visage me permet de voir ton visage appréciant mon ouvrage. Ça renforce mon excitation et je presse mon sexe sur le matelas.
Je te lèche encore, ma langue s’enfonce au plus profond de ta grotte humide… Tu es prête pour la suite… J’attrape un gode nervuré pour te l’enfoncer… Ton corps se détend, agréablement surpris par cette intrusion. Je relève un peu plus tes jambes pour que ma langue puisse s’attarder sur ton anus pendant que ma main fait aller et venir le gode.
Tes jambes se contractent et tremblent, tu t’abandonnes totalement pour mieux ressentir les instincts primaires qui ont pris le dessus. L’atmosphère devient animale.
Je retire le gode, replonge ma langue dans ta chatte et j’introduis un doigt dans ton anus. Il s’ouvre facilement… Je saisis alors un plug anal, et doucement, je l’enfonce dans ton cul ouvert… Je suis étonné de le voir disparaître si aisément. Tu m’excites…
J’aspire maintenant ton clitoris dans ma bouche, et d’un mouvement que tu ne perçois pas, je presse la poire du plug. Oui, mon bébé… Le plug se gonfle une première fois, dilatant encore plus ton cul… Ton corps s’agite… Je presse une fois de plus…
La surprise fait place à l’extase…
Je presse une dernière fois la poire du plug fortement, tu dois te sentir remplie, ma bouche aspire ton clitoris encore plus intensément… Je me fais l’effet d’un vampire… Je te sens proche… Je ne relâche pas mon étreinte…
Ton corps se contracte, tu exploses… La jouissance se diffuse dans ton corps qui tressaute…
Je te laisse reprendre tes esprits, le temps pour moi de dégonfler le plug et de libérer ton cul… Ton anus reste ouvert un infime instant…
Je reprends le gode pour pénétrer ton sexe, je l’enfonce jusqu’au bout. Je saisis ta main tremblante.
Je couvre mon sexe d’un préservatif, et j’enduis ton anus de gel, mes doigts s’enfoncent en toi comme dans une matière molle, ton anus totalement assoupli par le plug. Je te prends, mon sexe introduit en toi d’une traite, fermement, une longue poussée jusqu’à ce que mes couilles entrent en contact avec ton cul rond. Ta bouche est figée sur une expression de béatitude, ouverte, sans voix… Un soupir quand j’actionne les vibrations du gode.
Il ne m’en faut pas plus pour te donner satisfaction, je te baise, comme tu me le demandes. Je te donne de vrais coups de boutoirs, je te lime le cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort…
Je sens les vibrations à travers la fine paroi de ton sexe, ma queue est serrée dans cette gaine chaude… Je sens la sueur couler le long de mon dos, je sens la jouissance venir… Ta main agite le vibro avec une vitesse et une dextérité folle…
Les picotements le long de mon sexe deviennent plus intenses…
J’explose, je sens que je me vide dans le préservatif, je pousse au plus profond de toi pour faire durer le plaisir… Mon dieu que c’est bon… Le plaisir envahit mon cerveau… Je glisse dans le nirvana et je m’endors un moment sur toi…
Cap ou pas cap de nous envoyer les votres ???
Pour les mettre avec les notres ....dans les rubriques le cul des copains, et les culs et seins des copines...
libertin.kokin @ gmail.com