Nous avions invité N. à diner en compagnie de son mari. Nous avions eu des jeux très chauds tous les deux quelques années auparavant. Il faisait beau et chaud et cette merveilleuse fille est arrivée vetue d'un top très léger et très décolleté découvrant la naissance de ses seins, sans manches, ainsi que d'une jupe légère lui arrivant à mi-cuisses. Elle était chaussée d'escarpins fermés en pointe sur le devant et ouvert derrière, retenus par une boucle à l'arrière de la cheville et portés sur des talons vertigineux. N. était magnifique comme souvent, mais à peine était elle apparue dans la maison que déjà, un début d'érection pointait dans mon boxer. Pendant toute la soirée, je ne cessais de mater son décolleté, de me pencher sous la table pour des pretextes futiles afin de regarder ses jambes nues et ses cuisses.

Au cours de la soirée, nous nous retrouvames seuls à table, son mari s'occupant de changer son bébé, ma femme couchant notre enfant. N'y tenant plus, j'attaquais bille en tête sur le mode de la plaisanterie.

- Dis moi au fait, t'as mis une culotte ce soir?
- Oui, et puis une belle en plus!
- On peut voir?

N. éclate alors de rire, puis redevient dans la même seconde plus sérieuse. Elle jette un oeil derrière elle en direction de l'intérieur de la maison (nous sommes sur la terrasse). Elle se dégage de la table, se lève, me regarde fixement dans les yeux. “c'est bien parce que c'est toi hein!” Elle soulève alors sa jupe, je vois ses mains qui tremblent légèrement de peur. La jupe remontée jusque sur son ventre, je découvre ses cuisses de reve et une superbe culotte en dentelle beige totalement transparente laissant apercevoir une fine couche de poils bruns taillés en triangle. Je vis un reve. “ouaou elle est belle, super sexy vraiment, merci ma chérie!”

Les joues rougies, elle se rassoit en baissant sa jupe et en croisant les jambes, sur lesquelles j'ai désormais une vue idéale puisqu'elle s'est dégagée de la table.

- Ca t'as fait plaisir?
- Plus que ca! Il a vraiment de la chance ton mari
- bof, tu sais, il ne fait plus attention à ca maintenant
- Oui, il s'est habitué, mais pour moi, tu restes vraiment magnifique, très sensuelle, très sexy, j'adore tes jambes … et puis tu as l'air d'avoir une très jolie petite chatte
- (N. rougit de plus belle) Je l'ai épilée hier
- Tu sais quoi N., tu me fais bander!

Prete à répondre N. s'arrete net au retour de son mari. Ma femme ne tarde pas, et les conversations diverses reprennent. Pendant le dessert, nous avons repris nos places plus près de la table, discretement, je glisse une main sur le genou de Ne. Cette belle coquine me repousse une première fois, puis, à la deuxième, me laisse carresser rapidement sa cuisse, écartant légèrement les jambes pour me laisser le passage. Nos deux compagnons ne s'apercoivent de rien.

A la fin de la soirée, N. se lève pour aller aux toilettes et ma femme m'offre une opportunité inespérée. “Tu ne veux pas aller chercher le bouquin que je viens de finir de lire pour leur preter, il est au bureau, mais je ne sais plus où?”. Mon coeur bat à cent à l'heure, les toilettes étant sur le chemin du bureau. Je suis N., matant son cul et ses jambes de rêve, mon sexe est dur comme du bois. Elle ouvre la porte des toilettes, je stoppe, tendant l'oreille pour entendre un éventuel déplacement sur la terrasse. Rien, ca discute. La porte des toilettes grande ouverte, N. remonte sa jupe devant moi, debout, puis baisse sa culotte jusqu'aux cheville découvrant une chatte magnifique en tenant sa jupe sur son ventre. Elle chuchote “alors, ca te plait”. Je murmure “regarde si ca me plait”, joignant le geste à la parole, j'empoigne ma queue raide à travers mon short pour lui montrer mon émoi. Elle rougit encore puis referme la porte. Je la laisse pisser, le coeur et les couilles prets à exploser et vais fouiller dans le bureau pour trouver le livre. Je ne tarde pas à mettre la main dessus, puis revient vers les toilettes. Cette coquine a sans doute attendu d'entendre mes pas dans le couloirs pour ressortir. Elle sort, se tient debout devant moi. Nous nous frottons puis elle s'empare de ma queue à travers mon short et nous nous roulons une incroyable pelle. Je bande comme un taureau, et elle me glisse à l'oreille “ca, c'est cadeau”. De son autre main, elle glisse sa culotte roulée en boule dans ma poche. “tu te branleras dedans en pensant à moi, et moi je me branlerais en imaginant ta queue et ton sperme dedans!”.
Nous nous embrassons encore quelques secondes, puis rejoignons la table. La durée de notre absence, courte somme toute, n'a pas choqué nos mari et femme.

La soirée se prolonge dehors. Dès que je le peux, je passe ma main sur la cuisse de N.. Elle aussi me passe la main sur la cuisse dès que l'occasion se présente, je bande comme un cerf à chacun de ses attouchements. Nous nous quittons tard, j'embrasse N. sur les joues en me frottant bien à elle, qu'elle sente une dernière fois ma queue raide. Cette coquine s'en va le cul à l'air sous sa jupe.
Une fois tout rangé, je vais trouver ma petite femme, et pose la culotte de N. sur la table. Elle me dit:
- Non,ne me dis pas que c'est la sienne ???
Je lui réponds que si, et que je souhaite qu'elle l'enfile avant que nous ne fassions l'amour.
Je lui avais parlé de nos jeux d'antan avec N., et je lui avais dit que je ferais un test pour voir si elle etait toujours aussi coquine.
Elle éclate de rire, fait tomber sa robe, retire son string, et enfile la culotte de N.
Je la prends dans mes bras, et nous faisons l'amour de manière très très tendre et à la fois sauvage sur notre terrasse.
- La prochaine fois, je fais le même coup à son mari, tu crois qu'il appréciera ???
Je lui réponds que ça ne me pose aucun probleme.
-Tu es incorrigible, mais je t'adore... me soupire-t-elle .
Vivement la prochaine fois ...