Retrouvailles attendues ...

Ils ne s'étaient pas rencontrés depuis plusieurs mois et l'envie de se retrouver était très forte. La date avait été retenue depuis quelques jours et les échanges quotidiens au téléphone avaient laissés tout le monde sur sa faim et aucune idée de ce qui pourrait arriver lors de cette rencontre n'avait transpirée. Tout était possible et ils le savaient tous les deux.

Quand il arriva chez elle, son coeur battait très fort, peut être trop fort. Mais qu'importe le désir était là. L'effet de surprise serait toujours le même. Il savait où il allait mais il ne savait pas jusqu'où il irait. Il savait juste que ce serait fort.

Il poussa la porte et croyait la voir dans l'entrée. Mais il n'y avait personne. Il fit quelques pas en l'appelant. Où pouvait-elle bien être ? Il n'eut pas le temps de réagir que déjà elle posait sur ces yeux ses deux mains pour lui ôter toute vision. Elle avait surgi de derrière la porte et il ne l'avait pas vue. Elle lui parla tout doucement et lui demanda de garder les yeux fermés. Elle avait avec elle un foulard qu'elle passa autour de sa tête puis à la hauteur de ses yeux elle fit un noeud avec. Il ne pouvait rien voir des lieux, d'elle. La tension monta d'un cran.

Elle l'amena dans une pièce parfumée et envoûtante. Elle lui demanda se s'asseoir sur le bord du lit. Il sut alors qu'il était dans une chambre, dans sa chambre. Elle commença à lui ôter ses chaussures. Il avait mis à cette occasion des chaussures légères pour être plus à l'aise compte tenu de la chaleur qui régnait ce jour. Elle s'approcha délicatement et commença à défaire un à un les boutons de sa chemisette. Elle vit apparaître les poils de son torse. Il n'était pas très velu, simplement un léger velours très doux au toucher. Il avait très chaud et il avait soif, sa gorge se desséchait. Pour le calmer elle lui glissa un fruit goûteux, sucré qu'il ne reconnut pas tout de suite. C'était un grain de raisin. D'où le sortait-elle ? D'une coupelle ? D'ailleurs ? Après l'avoir frotté sur sa chatte mouillée elle lui donnait à déguster ?

Arrivée au dernier des boutons de la chemise elle ôta une manche puis deux. Il se trouva torse nu et sentit une légère brise traversait la pièce et le fit frissonner. Elle lui demanda de se lever. Quand il fut debout elle attrapa la boucle de sa ceinture de pantalon, la défit, libéra le bouton de la taille qu'elle déboutonna ainsi que les trois boutons de la braguette. Alors elle fit glisser d'un seul coup son pantalon à ses pieds. Elle lui demanda de lever une jambe puis deux. Il n'avait plus que son string sur lui. Elle profita de ses fesses dégagées pour les caresser très doucement, de façon à lui faire monter l'envie et le désir un peu plus fortement.

Elle en profita pour laisser traîner un doigt dans la raie de son cul qui n'était pratiquement pas protégée. Elle était passée derrière lui pendant ce temps et elle pouvait ainsi se coller tout contre lui. Il sentit dans son dos ses seins lourds (elle faisait un bon 100C). Elle s'était vêtue de peu. Un soutien gorge à balconnet de couleur rouge qui mettait avantageusement sa poitrine en évidence. Elle portait un porte-jarretelles avec de magnifiques bas qui crissaient à chacun de ses déplacements. Enfin un string protégeait sa chatte de toute tentative de pénétration précipitée.

Elle avança ses bras autour de sa taille et positionna ses mains sur le devant afin de masser langoureusement ses bourses et son pénis à travers le string. Elle sentit ce dernier prendre forme, son sexe était en train de grossir de plus en plus. Les caresses faisaient leur effet et sa queue commençait à se sentir à l'étroit à l'intérieur de la poche galbée qui marquait le devant du string. Elle passa un doigt entre la peau et le tissu pour sentir ses poils et sa queue qui grandissait. C'est alors qu'elle décida de passer ses mains de chaque coté de sa taille entre sa peau et la ceinture de tissus et de descendre délicatement le string jusqu'à ses pieds et lui ôter ainsi le dernier bout de tissu qui couvrait son corps.

Il était nu, nu comme un ver. Alors des frissons lui parcoururent tout le corps. Une érection plus forte cette fois-ci se déclencha et il ne savait pas quoi faire, quoi dire. Elle le regardait de haut en bas et se délectait de la vision de son corps dont elle était folle. Elle avait aperçu la petit inquiétude qui traversait son corps, et ce petit changement qui venait de s'opérait dans sa respiration mais il n'y avait rien d'inquiétant. Tout à fait normal, se dit elle !

Elle profita de cette situation pour effleurer très légèrement toutes les parties de son corps. Elle commença par son torse, ses bras, son bas-ventre. Elle tourna autour de lui plusieurs fois pour enfin se retrouver derrière lui. Elle prit alors la direction de son dos et le parcourut en entier. Ses mains glissèrent alors vers ses reins, firent un arrêt sur ses deux fesses, l'une après l'autre. Elle glissa un doigt furtif dans le bas de la raie, descendit entre les jambes de son ami qui les écarta légèrement sans qu'on le lui demande. Elle parvint à sentir le départ des ses bourses. Elle repassa devant et elle remonta vers la taille, repassa vers le nombril et avec ses deux mains qui s'écartèrent elle descendit délicatement tout au long des jambes et ainsi jusqu'aux pieds. Elle tournait autour de amant et il la sentait se déplacer, mais sans la voir. Elle fit bien attention de ne pas toucher son sexe pour entretenir le plaisir et la volupté.

Elle lui demanda de se rasseoir sur le bord du lit et de bien vouloir s'allonger en son milieu sur le dos. Il s'exécuta avec une certaine appréhension, mais il pouvait avoir confiance en elle. Elle lui demanda de ne plus bouger et surtout de ne faire aucun geste pour ôter son bandeau ou bien pour essayer de la toucher. Il promit de ne rien faire et lui demanda ce qu'elle préparait et ce qu'elle comptait faire. Il n'eut pour réponse que des bruissements dans la chambre. Des bruits de déplacements, de vêtements, de crissements de bas vinrent à ses oreilles. En effet elle était en train de ranger ses vêtements qui étaient restés à terre suite à l'effeuillage qu'elle venait de lui faire subir.

Ce qu'il ne savait pas durant l'écoute de ces bruits qui lui semblaient familiers parce qu'il les avait reconnus, c'est qu'elle en avait profité pour ôter ses vêtements elle aussi. Elle ne garda que ses bas noirs et son porte-jarretelles rouge qu'elle avait mis pour lui car elle savait qu'il appréciait ce genre de vêtements coquins. Le contraste des deux couleurs devrait lui plaire.

Elle s'allongea sur le lit à côté de lui et recommença les caresses de tout à l'heure. Arrivée prés son sexe elle pratiqua des cercles concentriques qui se rapprochaient de plus en plus de sa verge. Cette dernière avait retrouvée une position de semi repos. Elle savait quoi faire pour améliorer cette situation. Elle prit entre le pouce et l'index l'extrémité de son sexe et fit glisser très lentement la peau légère qui recouvrait son sexe. Le gland apparu rose et excité. Elle souffla dessus et ce petit vent frais eu un effet immédiat sur la chose. Un sursaut parcouru la verge et une légère inclination vers le haut se fit sentir.

Elle prit alors entre ses dents le gland et commença à le titiller très lentement. Après quelques secondes de pratique de ce traitement efficace elle changea de tactique. Elle lécha avec le bout de sa langue et remarqua qu'à chaque coup de langue de petits mouvements érectiles se produisaient. Ces modifications faisaient que la verge d'elle même venait à la rencontre de sa langue et que cela produisait une auto excitation des plus intéressantes. La chose se mettait à grandir, à grossir, à durcir. Ce qui n'était qu'une petite bistouquette commençait à ressembler à un bel appendice sexuel. Il se dressait au milieu de la touffe des poils qu'il avait en grand nombre dans cette partie du corps.

Il commençait à être vraiment excité et elle aussi l'était. Le reste promettait… la pointe de ses seins commençait à durcir et une sensation de chaleur commençait à envahir tout son corps. De légères gouttes commençaient à perler entre ses cuisses et à l'intérieur de son vagin. Il fallait qu'elle se contrôle car elle voulait jouir au maximum de cette situation qui lui procurer un maximum de plaisir et d'excitation.

Elle se retira du lit. Il sentit ce mouvement et ne comprit pas la suite. Les yeux toujours bandés, il ne pouvait voir ce qu”elle préparait. Après quelques secondes où il comprit qu'elle se déplaçait dans la pièce, il sentit sa présence de nouveau proche.

Quelle ne fut pas sa surprise ! Il sentit sur son ventre une sensation bizarre. Ses doigts féminins caressaient cette partie de son corps. Elle étalait quelque chose sur son corps. Mais quoi ?

Elle badigeonnait effectivement son corps. Ce qu'il ne savait pas c'est que de la mousse au chocolat commençait à recouvrir le léger duvet qui se trouvait autour de son nombril. Elle avait faim de lui et elle allait le mangeait… elle commençât à lécher lentement puis goulûment toute la surface ainsi recouverte de ce met coloré. Elle avait ainsi l'impression de l'avaler, lui, son amant.

Quand elle eût fini de se restaurer, le jeu continua par des applications de mousse au chocolat. Ces caresses manuelles et buccales sur son sexe avaient un effet non négligeable sur ce membre qui pointait de plus en plus vers le ciel. Il ne disait rien, mais il commençait à extérioriser quelques bruits qui signalaient son état d'excitation grandissant.

Elle prit alors un tube de gel lubrifiant et en recouvrit allégrement sa verge. La sensation qu'il en perçut fut formidable. C'était à la fois frais et chaleureux. Ses mains glissaient de plus en plus facilement autour de son sexe. Elle confectionna une dernière noisette de gel et d'une main experte, elle en lubrifia l'entrée de son anus. Son autre main entretenait une érection qui promettait.

Elle se positionna à califourchon sur son homme et lentement présenta son petit trou au dessus de sa verge. Délicatement elle appuya son oillet sur le gland et peu à peu elle se laissa pénétrer par l'arrière. Elle adorait cette sensation et surtout cette position où elle le dominait et où elle réglait toute la jouissance en fonction de son désir et des ses pulsions. Enfin elle reçut en elle toute sa queue et elle fut follement excitée de se qui lui arrivait. Elle décidât alors de lui ôter enfin le bandeau qu'il avait sur les yeux, afin qu'il profite pleinement de la vue de cette position. Elle ne fut pas déçue de l'effet produit quand elle vit ses yeux excités et voyeurs.

Après quelques va-et-vient savamment dosés, elle se retira très doucement. Elle s'allongea de tout son corps sur le sien et porta ses seins lourds à la hauteur de son visage. Il pouvait ainsi les lécher et les sucer comme il savait si bien le faire. Elle avança un peu plus son bassin jusqu'à ce qu'il ait à hauteur de sa bouche sa chatte mouillée. Elle n'eut rien à lui dire, il savait ce qu'elle voulait. Goulûment il lécha, aspira sa fente, s'immisça entre ses lèvres pour essayer d'atteindre son clitoris. Ce ne fut pas difficile car elle faisait tout pour l'aider à cette tâche et y prendre un maximum de plaisir. Sous la montée de cette excitation elle redressait son buste car il lui était impossible de résister aux tensions qui s'exerçaient en elle, et qui étaient de plus en plus fortes.

Elle profita de sa position pour le masturber allégrement. En effet sa position de cavalier lui permettait d”atteindre dans son dos le sexe de son ami et donc de jouer avec lui. L'engin commençait à reprendre des proportions inhabituelles. Elle accéléra le mouvement, s'arrêta, reprit la masturbation, de nouveau s'arrêta. L'excitation mutuelle était à son comble, l'un et l'autre ne savaient plus où ils étaient. Ils ne pouvaient plus se retenir. Sa chatte était liquéfiée. Une certaine humidité commençait à envahir son vagin. Son excitation clitoridienne était au maximum par les nombreux coups de langue qu'il lui donnait en ce moment. Subitement ne pouvant plus tenir, elle se retira de sa bouche, recula sur son corps, prit son sexe érigé en obélisque à pleine main et s'empala d'un seul coup dessus. Un cri surgit de sa bouche. Une autre en écho sortit de sa bouche à lui qui n'avait pourtant pas dit grand-chose jusqu'à maintenant. Il ne pouvait plus se retenir. Il explosait.

La chevauchée démarrait, ses cris à elle étaient soutenus par les encouragements qu'il lui prodiguait. Il rompit le pacte du début et lui pelotât la poitrine et titilla plus particulièrement le bout de ses seins. Elle ne lui fit aucun reproche d'utiliser ses mains contrairement à ce qu'elle lui avait demandé au début. Ces caresses l'excitaient et mêlées au plaisir ressenti dans son vagin et dans tout son bas-ventre, elles lui faisaient beaucoup de bien. Elle remuait, elle montait, elle descendait sur son sexe.

Ils ne savaient pas depuis combien de temps cela durer, mais ils arrivaient au bout au sommet, à l'orgasme. Simultanément ils explosèrent. Leurs corps furent pris de soubresauts et elle retomba lentement sur son compagnon. Elle n'en pouvait plus. Lui de même. Ils étaient bien, heureux et satisfaits de leurs retrouvailles.

La soirée ne faisait que commencer et ils le savaient. Quel programme, et quelles excitations en perspectives !

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