Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 23:38

Elle arriva avec un plateau chargé de choses à grignoter (gâteaux, fruits...), à boire (vin blanc moelleux et eau) et une énorme bombe de chantilly et une assiette de grosses fraises écarlates, juteuses et gorgées de sucre. Je ne me rappelai pas avoir vu tout cela dans le frigidaire ce midi mais ce n'était pas pour me déplaire.

Elle déposa le plateau sur le sol du salon, me laissant entrevoir par la même occasion un peu de ses seins et la courbure de ses fesses sous sa serviette. Elle me prit par la main, me guida jusqu'à la table basse et me poussa pour que je m'y allonge sur le dos, a trente centimètres du sol, sur une table de bois juste un peu plus large et longue que moi. Elle se pencha vers le plateau, m'offrant le spectacle de ses fesses et de son sexe si doux et si convoité... Elle se redressa avec la bombe de chantilly dans une main et l'assiette de fraises dans l'autre, qu'elle posa sur mon torse afin de libérer ma taille de la serviette de bain, me laissant nu et à sa merci au milieu du salon.

Elle déposa l'assiette de fraises entre mes cuisses qu'elle me demanda d'écarter un peu puis entreprit de me badigeonner de chantilly le torse puis le ventre et enfin le bas du ventre jusqu'a la base de mon sexe. Elle se pencha entre mes cuisses et entreprit de prélever les fraises une par une afin de les déposer sur mon corps, dans la chantilly crémeuse, à l'aide de sa bouche. Lorsque l'assiette fut débarrassée de la vingtaine de fraises qu'elle contenait (je les avait comptées au fur et à mesure) elle la déposa à terre afin de libérer tout l'espace de la table. Elle vint se mettre debout près de ma tête et je pouvais apercevoir son corps sous la serviette de bain qu'elle m'empêcha de lui enlever lorsque j'essayais. Elle se pencha en avant, une main de chaque coté de mes épaules, et pris entre ses dents la fraise qui se trouvait le plus près de ma tête puis revint a ma bouche afin de m'y faire goûter. Elle m'embrassa avec ce fruit entre nous deux qui se mélangea sous nos langues, faisant couler un liquide sucré sur nos lèvres. Elle redescendit vers mon torse, une main de chaque coté de moi, ses seins pris sous la serviette devant mes yeux, puis ma bouche, mais il m'était interdit de les toucher ou de les libérer de leur carcan d'étoffe.

Pendant de longues minutes je sentis sa langue parcourir mon torse et mon ventre, léchant la mousse répandue sur moi et de temps en temps sa bouche qui se refermait sur un fruit juteux frôlait ma peau. Au fur et a mesure qu'elle descendait en me mangeant le corps, je voyais le sien défiler devant mes yeux, de son visage à son ventre en passant par sa poitrine, ce corps prisonnier d'une serviette qui me privait de sa vue, de son contact et de son goût, jusqu'a ce qu'elle fut accroupie au dessus de moi. Dans cette position son sexe se trouvait devant mes yeux et je pouvais aisément deviner qu’elle devait elle aussi se trouver près de mon sexe qui n’en pouvait plus d’attendre le doux contact de ses lèvres, les ayant senties se rapprocher au fil des minutes. Elle releva un peu sa serviette de bain, m’offrant en spectacle sa croupe et son petit abricot entrouvert et comme je le devinais, tout humide, alors quelle se saisissait de la bombe de chantilly afin de m’en recouvrir le pénis. A cet instant précis,  je n’en pouvais plus de désir pour elle, et elle le savait et faisait durer le plaisir, allant jusqu’à me faire la supplier de me laisser plonger ma bouche dans son intimité humide et sucrée.

Mais elle refusa que je la touche et je pu sentir le contact si chaud et humide de sa bouche se refermant sur le bout de ma verge, engloutissant, aspirant la crème chantilly qui s’y trouvait. Sa langue se mit à parcourir mon sexe de tous côtés, dans tous les sens, happant la crème sucrée au passage et l’étalant de plus en plus. En quelques minutes je ne savais plus vraiment où se trouvait sa langue ou sa bouche, la sentant me parcourir partout à la fois tandis que sa main gauche malaxait mes testicules gonflés de désir.

Ne pouvant plus tenir je lui demandais d’arrêter, ce quelle fit avant de se redresser et de plaquer son sexe humide sur ma bouche car son petit exercice précédent avec la chantilly l’avait fortement excitée. Je pus alors me laisser aller à savourer son intimité que je désirais depuis de longues minutes. Ma langue fit plusieurs fois le tour me rapprochant de plus en plus de ses lèvres jusqu’à les lécher avant de plonger dans son sexe au goût si doux, suave, sucré et chaud. J’en ressortais pour venir titiller son clitoris gonflé de désir et je sentais ses hanches aller d’avant en arrière au dessus de ma bouche tandis quelle caressait ses seins durs et tendus par le plaisir. Elle se pencha en avant et prit mon sexe dans sa bouche, tandis quelle m’offrait ses fesses et son sexe ouvert à mes assauts. J’aspirais son clitoris et le suçais lentement tandis que mes doigts allaient de son vagin à ses fesses afin de lubrifier son petit trou, avant que mon majeur ne s’y glisse lentement, allant et venant au rythme de mes coups de langue sur son sexe.

Je sentais le plaisir monter en elle (ainsi qu’en moi car elle s’attachait à me faire un bien incroyable) mais avant de se laisser submerger par l’orgasme elle se dégagea de mon étreinte et glissa le long de mon corps, toujours de dos, afin de se positionner sur mon sexe et l’engagea en un coup de rein au plus profond d’elle. Je pouvais ainsi la voir me faire l’amour, dans une position proche de la levrette, ce qui, elle le savait, m’excitait beaucoup. Ce n’était donc pas moi qui lui faisait l’amour mais plutôt elle qui me le faisait, allant et venant sur mon sexe, à son rythme, accélérant ou faisant des pauses, ressortant presque avant de se glisser au fond de son sexe. Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis crier son plaisir au fur et à mesure quelle accélérait ses mouvements.

Elle s’allongea sur mes jambes et reprit ses esprits quelques minutes, tout en continuant de frotter son sexe contre le mien, afin qu’il ne perde pas sa dureté qu’elle voulait le voir conserver. Mais j’étais tellement excité par ce qu elle m’avait fait avec la chantilly et par le spectacle qu’elle venait de me donner que mon érection aurait pu durer quelques temps sans aucune aide de sa part. Après quelques instants elle se releva, saisit la chantilly et revint s’asseoir à califourchon face à moi, les fesses posées sur mon pénis toujours dressé à l’idée de ce qui allait suivre (ou plutôt excité car ne sachant pas ce qui allait arriver). Elle s’appliqua alors à me badigeonner le torse de chantilly et me dégusta à pleine bouche, se couvrant la bouche de chantilly avant de plaquer ses lèvres sur ma bouche et de plonger sa langue entre mes lèvres. Nous échangions des baisers fougueux et sucrés, elle me couvrait le visage de sa bouche tout en massant mon corps de ses mains couvertes de chantilly. Sous l’effet de la chaleur, celle-ci fondait et se transformait en une huile sucrée qui glissait sur nos corps lorsqu’elle se frottait à moi et m’offrait ses tétons durs et sucrés de cette huile à lécher et mordiller. Elle frottait mon sexe avec le sien et au bout de quelques minutes je sentis avec surprise et plaisir sa tulipe s’ouvrir sous la pression de mon gland et me sentis entrer en elle en quelques poussées quelle appliquait à son bassin.

Elle prit mes mains dans les siennes et les plaqua de chaque côté de ma tête, m’empêchant de bouger et me faisant ainsi comprendre que j’étais à sa merci. Elle me couvrit le torse et le visage de baisers sucrés et fougueux, passant sa langue dans ma bouche, mordillant mon oreille, me dévorant à pleine bouche. Son bassin allait et venait sur ma verge qui, sous ses coups de rein, durcissait de plus en plus. Elle faisait tourner son bassin sur mon sexe, s’enfonçant au plus profond, puis remontait jusqu’à l’entrée de son vagin afin de m’y faire rentrer par petits à coups. Son rythme s’accéléra, et la bouche plaquée sur la mienne, son cri de jouissance remonta dans ma gorge dans l’échange de notre dernier souffle. Elle s’arracha immédiatement à mon étreinte, se positionna entre mes cuisses et plongea ma verge dans sa bouche, faisant tourner sa langue autour de ma hampe, pressant ses lèvres sur mon gland et faisant aller et venir sa main de plus en plus rapidement. En quelques instants l’orgasme montait en moi et inondait sa bouche, si avide de mon plaisir ; elle continua de caresser et d’embrasser mon sexe quelques instants puis vint se blottir contre moi et m’embrassa avant que nous nous assoupissions dans les bras l’un de l’autre ...

Par Libertin - Publié dans : Récits érotiques du web - Communauté : blog sexe des amis
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