Le Blog d'un Couple Libertin
Elle se tenait debout dans la pièce éclairée de bougies. Vêtue d'une chemise si fine qu'elle était diaphane, elle était très sexy avec ses longs cheveux qui retombaient sur ses épaules et avec son corps aux formes délicieuses. Elle lui sourit, l'embrassa doucement, frôlant ses lèvres comme l'aile d'un papillon.
"Qu'est ce qui se passe ; ma chérie ?" demanda-t-il à nouveau.
"Ca y est, j'ai eu le travail!" s'écria-t-elle joyeusement.
Il lui fallu une seconde pour se pénétrer de l'importance de la nouvelles.
"Merveilleux, depuis le temps que tu l'attendais …. et avec tout ce qu tu as fait pour l'avoir." Il était sincèrement heureux pour elle. Ces mois de travail, ces semaines d'attente, d'espoirs et
de déceptions. Tout cela était fini. Oui, cette femme, sa femme, était merveilleuse ! Tout en parlant ils étaient arrivés au centre de la salle.
"Un jour comme celui-ci, ça se fête, mon amour. J'ai préparé un repas spécial" dit-elle en prenant deux flûtes. "Ouvre la bouteille, s'il te plaît."
Il prit la bouteille de champagne enleva la capsule, déboucha la bouteille et remplit les verres avant que le champagne ne déborde. A la lueur des bougies le champagne était de couleur ambre et
des bulles montaient comme des perles rougeâtres.
Elle lui passa un des verres avec un geste tendre, et ils trinquèrent en entrechoquant leur verre.
"A toi, à ton nouveau travail ! Félicitations !"
Sa voix était chaude et, tout en buvant lentement son champagne son regard enveloppait sa compagne. Ses longues jambes fuselées ; il aimait passer la main sur elles, remonter la robe et parvenir
à l'intérieur des cuisses, là où il trouvait une merveilleuse humidité. Puis en remontant, son regard s'attardait sur ses fesses rondes et douces à caresser, sur ses seins dont il aimait tant la
courbure et le toucher de pêche. Enfin, il la regarda dans les yeux et y lut tout l'amour qu'elle lui portait. Et brusquement, il eut envie d'elle…
A nouveau ils levèrent leur verre. C'est alors qu'un petit accident survint. D'un
geste maladroit il donna un coup de coude à sa femme. A demi déséquilibrée, elle renversa une partie de sa flûte de champagne sur toute la longueur de sa chemise. Une tache apparut sur le sein
gauche, s'étendit plus bas et la fine mousseline se colla sur sa peau, révélant par transparence un sein rond et ferme.
"Zut !" s'exclama-t-elle. Avec son mouchoir elle épongea l'excès de liquide, elle dit :
"Je vais aller me changer. J'en ai pour une seconde."
"Non, inutile" répondit-il en la prenant par les épaules et en la serrant contre lui. Leurs lèvres se trouvèrent aussitôt.
Quand leurs bouches se séparèrent, il baissa la tête et ses lèvres descendirent sur
la chemise mouillée. Il y lécha le champagne et à travers le fin voile de soie, il sentit le mamelon durcir. Il posa une main sur l'autre sein et y il décrivit de petits cercles, caressant la
peau sensible et titillant le téton.
Sous ses lèvres le mamelon était maintenant dur et dressé, tendant la fine chemise. Il ne put résister au plaisir de l'agacer d'un petit coup de dents. Elle poussa un cri de surprise et presque
aussitôt un gémissement s'échappa de ses lèvres.
Sa bouche resta sur sa poitrine. Il continua à l'embrasser et ses gestes devenaient plus précis, plus oppressants, embrassant ou léchant ou toute la rondeur du sein qui se gonflait de plus en
plus.
Il voulut plus encore.
Prestement, il ouvrit deux ou trois boutons de la chemise et sa bouche put ainsi
lécher le téton à la fois durci et si doux. Maintenant, la respiration de son amie était rapide et ses yeux brillaient. Du bout du doigt, il frotta le téton et à nouveau un poussa un petit
râle.
Sa main glissa sur la jambe de son amie, et passa sous la jupe avant de remonter en décrivant de petits cercles. Ses doigts sentaient la chair douce de l'entrecuisse , puis touchèrent la soie. Il
la repoussa, ses doigts s'infiltrèrent sous l'élastique et il sentit à quel point la femme était déjà mouillée. Elle gémit plus fort, se serrant contre lui et en écartant les jambes.
" C'est bon… " murmura-t-elle.
Son clitoris était humide et parcouru de pulsations quand la paume de la main s'appuya doucement sur son centre du plaisir. L'index glissa entre les lèvres te s'enfonça doucement dans l'humidité
chaude. Puis il saisit le petit bouton entre le pouce et l'index. Il tira et repoussa le capuchon qui le recouvrait et il le caressait du bout du pouce. Elle avait les yeux à demi fermés et de sa
bouche sortait un gémissement presque continu.
Il sentit que son sexe était dressé et de faisait exigeant. Sa bouche devenait plus insistante ; il entendit la respiration de sa partenaire se faire plus rapide et il sentit qu'elle se pressait contre lui, son ventre à elle cherchant le sien. Il poussa un petit gémissement, en même temps qu'elle. Ils étaient comme synchronisés maintenant, ressentant les mêmes pulsions, les mêmes envies au même rythme qui allait les emporter.
Il sentit brutalement son vagin se crisper autour de son doigt et il vit une vague de plaisir qui la traversait. Sa main devient soudain mouillée du jus qu'elle laissait couler: son plaisir était intense et durait. Elle avait la bouche ouverte mais pas un son n'en sortait et sa respiration semblait s'être arrêtée. Tout son corps frémit longuement et quand un spasme plus fort la traversa, elle lança une sorte de gémissement avant de se laisser aller dans les bras de l'homme, vacillant sur ses jambes, légèrement étourdie.
D'un geste, il la prit par les hanches, la souleva, l'assit sur la table et se plaça
entre ses jambes. Il déboucla rapidement son pantalon, et sortit son sexe. Il du s'y prendre en deux fois, car il était si tendu qu'il ne passait pas la ceinture élastique de son caleçon. Alors
elle tendit la main et enveloppa la hampe chaude et dure. Sa main était comme un velours et elle monta et descendit plusieurs fois toute la longueur du membre dressé. Cette fois, c'est lui qui
poussa un râle de plaisir en sentant la douceur de la caresse.
De l'autre main, elle l'attira contre elle et le regarda fixement dans les yeux. D'une voix inhabituelle qui le surprit, elle lui cria son désir :
"Prends-moi, mon amour, mets-toi dans moi." Et en même temps, tenant le sexe de son amant, elle le dirigea vers le sien dont la fente gonflée était entrouverte.
Elle était si humide du suc de l'amour qu'il s'enfonça dans elle avec facilité, en même temps qu'elle se pressait contre lui, au même rythme. Il sentait ses seins durcis contre sa poitrine. Elle était chaude et douce. Douce et chaude quand il s'enfonçait loin dans elle, puis elle le retenait quand il ressortait avant qu'il ne plonge à nouveau dans son intimité. A chaque fois, il allait jusqu'à toucher son clitoris et elle poussait un petit cri en sentant son organe enflammé sur lequel frottait le sexe se son amant. Sans cesser de lui sucer un sein, sans cesser de caresser sa chair nue, celui-ci lui fit l'amour lentement avec passion.
A son tour, il sentit un frémissement dans tout son être, et ses balles de durcirent et se contractèrent : il savait qu'il approchait de l'extase. Il dut faire un effort pour se retenir, ne pas éclater de plaisir : il fallait qu'elle fut prête et qu'ils restent ensemble jusqu'au bout.
Elle entoura les reins de don amant de ses jambes et le serra contre elle. Il passa les mains sous les fesses de sa femme pour mieux contrôler le rythme : avec de longs coups profonds, il soulevait ses fesses jusqu'à ce que la hampe soit presque ressortie du vagin chaud puis très lentement, il plongeait tout au fond et elle, à chaque fois, criait son plaisir. Son souffle s'était accéléré, son ventre se souleva à plusieurs reprises.Les yeux fermés, elle était cambrée pour mieux le recevoir et c'est alors que l'orgasme la prit presque par surprise.
Ce fut d'abord un jaillissement de cyprine autour du pénis qui l'avait envahie, puis le vagin se contracta se relâcha se contracta à nouveau, plusieurs fois , étreignant le sexe de l'homme et lui donnant d'intenses sensations et enfin tout son corps vibra. Il aimait la sentir ainsi, abandonnée, offerte, palpitante…
Il se mit alors à la prendre plus vite, son sexe la pénétrant plus à fond, ouvrant son vagin et l'emplissant. Il allait et venait, ne pensant plus qu'à lui-même, à son propre plaisir comme s'il voulait la dominer.
Encore une fois ou deux il enfonça sa lame et soudain s'arrêta, essayant vainement
d'empêcher l'orgasme d'éclater. Il sentit une secousse dans ses entrailles, liquide chaud qui montait, qui traversait la hampe et qui giclait dans elle. D'autres giclées suivirent jusqu'à ce
qu'il frissonne de plaisir et de fatigue. Il lui semblait qu'il se vidait totalement en elle, et elle reçut la semence comme un don de bonheur.
Elle se contracta en, sentant le semence chaude et crémeuse qui l'emplissait; qui donnait tout ce qu'elle désirait, tout en emplissant son ventre Elle se sentait prise, pénétrée dans tout son
être. Les pulsations du sexe merveilleux qui l'avait envahie et qui la remplissait devenaient toute sa vie…
Les décharges successives prolongèrent ainsi l'orgasme de son amie, lui donnèrent quelques nouveaux spasmes de plaisir et son corps se tendit à nouveau, son ventre tressaillit et ses cris
redoublèrent.
Quand, à la fin, les frémissements et les crispations cessèrent et que son corps retomba presque inerte, et que lui, encore rempli du plaisir de l'orgasme, se retira d'elle, ils choisirent, sans même se le dire, de rester silencieux, dans les bras l'un de l'autre, baignant en silence dans leur bonheur, satisfaits d'avoir partagé ces instants.
Quelques minutes plus tard, il se dégagea de ses bras et lui dit en riant :
"Tu avais parlé d'un repas spécial pour fêter ton travail, n'est-ce pas ? Je crois bien que ce n'était que l'apéritif ? Maintenant si on passait au plat principal ? " dit-il en entraînant la
femme de sa vie vers la chambre à coucher.
Cap ou pas cap de nous envoyer les votres ???
Pour les mettre avec les notres ....dans les rubriques le cul des copains, et les culs et seins des copines...
libertin.kokin @ gmail.com