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Le Blog d'un Couple Libertin Breton
Merci pour cet envoi ...
Elle arriva avec un plateau chargé de choses à grignoter (gâteaux, fruits...), à boire (vin blanc moelleux et eau) et une énorme bombe de chantilly et une assiette de grosses fraises écarlates, juteuses et gorgées de sucre. Je ne me rappelai pas avoir vu tout cela dans le frigidaire ce midi mais ce n'était pas pour me déplaire.
Elle déposa le plateau sur le sol du salon, me laissant entrevoir par la même occasion un peu de ses seins et la courbure de ses fesses sous sa serviette. Elle me prit par la main, me guida jusqu'à la table basse et me poussa pour que je m'y allonge sur le dos, a trente centimètres du sol, sur une table de bois juste un peu plus large et longue que moi. Elle se pencha vers le plateau, m'offrant le spectacle de ses fesses et de son sexe si doux et si convoité... Elle se redressa avec la bombe de chantilly dans une main et l'assiette de fraises dans l'autre, qu'elle posa sur mon torse afin de libérer ma taille de la serviette de bain, me laissant nu et à sa merci au milieu du salon.
Elle déposa l'assiette de fraises entre mes cuisses qu'elle me demanda d'écarter un peu puis entreprit de me badigeonner de chantilly le torse puis le ventre et enfin le bas du ventre jusqu'a la base de mon sexe. Elle se pencha entre mes cuisses et entreprit de prélever les fraises une par une afin de les déposer sur mon corps, dans la chantilly crémeuse, à l'aide de sa bouche. Lorsque l'assiette fut débarrassée de la vingtaine de fraises qu'elle contenait (je les avait comptées au fur et à mesure) elle la déposa à terre afin de libérer tout l'espace de la table. Elle vint se mettre debout près de ma tête et je pouvais apercevoir son corps sous la serviette de bain qu'elle m'empêcha de lui enlever lorsque j'essayais. Elle se pencha en avant, une main de chaque coté de mes épaules, et pris entre ses dents la fraise qui se trouvait le plus près de ma tête puis revint a ma bouche afin de m'y faire goûter. Elle m'embrassa avec ce fruit entre nous deux qui se mélangea sous nos langues, faisant couler un liquide sucré sur nos lèvres. Elle redescendit vers mon torse, une main de chaque coté de moi, ses seins pris sous la serviette devant mes yeux, puis ma bouche, mais il m'était interdit de les toucher ou de les libérer de leur carcan d'étoffe.
Pendant de longues minutes je sentis sa langue parcourir mon torse et mon ventre, léchant la mousse répandue sur moi et de temps en temps sa bouche qui se refermait sur un fruit juteux frôlait ma peau. Au fur et a mesure qu'elle descendait en me mangeant le corps, je voyais le sien défiler devant mes yeux, de son visage à son ventre en passant par sa poitrine, ce corps prisonnier d'une serviette qui me privait de sa vue, de son contact et de son goût, jusqu'a ce qu'elle fut accroupie au dessus de moi. Dans cette position son sexe se trouvait devant mes yeux et je pouvais aisément deviner qu’elle devait elle aussi se trouver près de mon sexe qui n’en pouvait plus d’attendre le doux contact de ses lèvres, les ayant senties se rapprocher au fil des minutes. Elle releva un peu sa serviette de bain, m’offrant en spectacle sa croupe et son petit abricot entrouvert et comme je le devinais, tout humide, alors quelle se saisissait de la bombe de chantilly afin de m’en recouvrir le pénis. A cet instant précis, je n’en pouvais plus de désir pour elle, et elle le savait et faisait durer le plaisir, allant jusqu’à me faire la supplier de me laisser plonger ma bouche dans son intimité humide et sucrée.
Mais elle refusa que je la touche et je pu sentir le contact si chaud et humide de sa bouche se refermant sur le bout de ma verge, engloutissant, aspirant la crème chantilly qui s’y trouvait. Sa langue se mit à parcourir mon sexe de tous côtés, dans tous les sens, happant la crème sucrée au passage et l’étalant de plus en plus. En quelques minutes je ne savais plus vraiment où se trouvait sa langue ou sa bouche, la sentant me parcourir partout à la fois tandis que sa main gauche malaxait mes testicules gonflés de désir.
Ne pouvant plus tenir je lui demandais d’arrêter, ce quelle fit avant de se redresser et de plaquer son sexe humide sur ma bouche car son petit exercice précédent avec la chantilly l’avait fortement excitée. Je pus alors me laisser aller à savourer son intimité que je désirais depuis de longues minutes. Ma langue fit plusieurs fois le tour me rapprochant de plus en plus de ses lèvres jusqu’à les lécher avant de plonger dans son sexe au goût si doux, suave, sucré et chaud. J’en ressortais pour venir titiller son clitoris gonflé de désir et je sentais ses hanches aller d’avant en arrière au dessus de ma bouche tandis quelle caressait ses seins durs et tendus par le plaisir. Elle se pencha en avant et prit mon sexe dans sa bouche, tandis quelle m’offrait ses fesses et son sexe ouvert à mes assauts. J’aspirais son clitoris et le suçais lentement tandis que mes doigts allaient de son vagin à ses fesses afin de lubrifier son petit trou, avant que mon majeur ne s’y glisse lentement, allant et venant au rythme de mes coups de langue sur son sexe.
Je sentais le plaisir monter en elle (ainsi qu’en moi car elle s’attachait à me faire un bien incroyable) mais avant de se laisser submerger par l’orgasme elle se dégagea de mon étreinte et glissa le long de mon corps, toujours de dos, afin de se positionner sur mon sexe et l’engagea en un coup de rein au plus profond d’elle. Je pouvais ainsi la voir me faire l’amour, dans une position proche de la levrette, ce qui, elle le savait, m’excitait beaucoup. Ce n’était donc pas moi qui lui faisait l’amour mais plutôt elle qui me le faisait, allant et venant sur mon sexe, à son rythme, accélérant ou faisant des pauses, ressortant presque avant de se glisser au fond de son sexe. Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis crier son plaisir au fur et à mesure quelle accélérait ses mouvements.
Elle s’allongea sur mes jambes et reprit ses esprits quelques minutes, tout en continuant de frotter son sexe contre le mien, afin qu’il ne perde pas sa dureté qu’elle voulait le voir conserver. Mais j’étais tellement excité par ce qu elle m’avait fait avec la chantilly et par le spectacle qu’elle venait de me donner que mon érection aurait pu durer quelques temps sans aucune aide de sa part. Après quelques instants elle se releva, saisit la chantilly et revint s’asseoir à califourchon face à moi, les fesses posées sur mon pénis toujours dressé à l’idée de ce qui allait suivre (ou plutôt excité car ne sachant pas ce qui allait arriver). Elle s’appliqua alors à me badigeonner le torse de chantilly et me dégusta à pleine bouche, se couvrant la bouche de chantilly avant de plaquer ses lèvres sur ma bouche et de plonger sa langue entre mes lèvres. Nous échangions des baisers fougueux et sucrés, elle me couvrait le visage de sa bouche tout en massant mon corps de ses mains couvertes de chantilly. Sous l’effet de la chaleur, celle-ci fondait et se transformait en une huile sucrée qui glissait sur nos corps lorsqu’elle se frottait à moi et m’offrait ses tétons durs et sucrés de cette huile à lécher et mordiller. Elle frottait mon sexe avec le sien et au bout de quelques minutes je sentis avec surprise et plaisir sa tulipe s’ouvrir sous la pression de mon gland et me sentis entrer en elle en quelques poussées quelle appliquait à son bassin.
Elle prit mes mains dans les siennes et les plaqua de chaque côté de ma tête, m’empêchant de bouger et me faisant ainsi comprendre que j’étais à sa merci. Elle me couvrit le torse et le visage de baisers sucrés et fougueux, passant sa langue dans ma bouche, mordillant mon oreille, me dévorant à pleine bouche. Son bassin allait et venait sur ma verge qui, sous ses coups de rein, durcissait de plus en plus. Elle faisait tourner son bassin sur mon sexe, s’enfonçant au plus profond, puis remontait jusqu’à l’entrée de son vagin afin de m’y faire rentrer par petits à coups. Son rythme s’accéléra, et la bouche plaquée sur la mienne, son cri de jouissance remonta dans ma gorge dans l’échange de notre dernier souffle. Elle s’arracha immédiatement à mon étreinte, se positionna entre mes cuisses et plongea ma verge dans sa bouche, faisant tourner sa langue autour de ma hampe, pressant ses lèvres sur mon gland et faisant aller et venir sa main de plus en plus rapidement. En quelques instants l’orgasme montait en moi et inondait sa bouche, si avide de mon plaisir ; elle continua de caresser et d’embrasser mon sexe quelques instants puis vint se blottir contre moi et m’embrassa avant que nous nous assoupissions dans les bras l’un de l’autre ...
ci joint une modestre contribution printanière !
en bretagne quel que soit le temps , les douches peuvent être chaudes ...
d'un cpl 48-49 ans région cote d'émeraude
sexy cordialement votre
JB35
...Je prends souvent le train pour le travail qui m'emmène et me ramène de la capitale à chez moi. Le meilleur moyen, quand on est pas sur la ligne d'un TGV, c'est le train de nuit, départ 21h arrivée 7h, pas de temps perdu. Quand ta bourse est en pleine forme, tu prends une couchette, sinon, tu te roules en boule sur deux sièges, en général y a de la place.
Et ce jour , j'ai pris les sièges, bonne idée, très bonne idée. Je crois d'ailleurs que je ne prendrai plus que les sièges.
Je monte, comme toujours en retard, presque coincé dans les portes qui se ferment, et je cherche une place, ce soir c'est facile, il y en a plein. Arrivé au milieu du wagon, l'endroit où il y a quatre places face à face, une femme enlève son sac et me sourit. Comment continuer ma route sans passer pour un mufle ? Mais un sourire ne veut rien dire, et c'est encore mon esprit débridé qui voit ce qu'il veut voir et qui me joue des tours. Pourtant, j'aurais juré qu'il n'y avait pas que de l'amabilité dans ses yeux...
Je m'installe, sors mon livre, et fais semblant de lire, pour cacher ce trouble profond dans lequel cette situation m'a plongé, et pourtant, je ne peux m'empêcher de la regarder régulièrement, discrètement je l'espère, par dessus mon livre. Elle doit avoir entre 30 et 35 ans, brune, cheveux ondulants et tombants sur ses épaules et jusque sur sa poitrine qu'elle a généreuse et ferme semble t-il. Mes yeux "d'expert" me disent un bon 95 C , le rêve, même si j'ai toujours pensé que le grain de peau était plus important que le volume des seins.
Je me rends compte , perdu que je suis dans sa contemplation, qu'elle me regarde elle aussi, mais sans aucun détours, ses yeux me scannant de la tête au pieds, sans oublier aucun endroit de mon corps en émoi.
Un petit sourire au coin des lèvres me laisse à penser que je lui plais. Enfin, qu'est-ce que c'est que cette histoire, pas le vieux fantasme du train de nuit quand même ? Et pourtant, mon imagination est au galop maintenant, je me vois la prenant entre deux wagons, dans le bruit assourdissant du soufflet couvrant ses cris de jouissance non retenue....
Comme dans tous les trains de nuit, la lumière s'éteint après le passage du contrôleur. Plus d'arrêt avant Paris, et les trois personnes dans le wagon ronflent comme des turbines. J'ai chaud, les mains moites, et je sens ces fourmillements caractéristiques dans mon bas ventre annonçant une érection proche.
Posément elle décroise ses jambes prisonnières d'une jupe tailleur et de Dim up (je le vois clairement), et se lève en prenant soin de venir se coller à moi. Comme si de rien était, elle se glisse entre mes deux jambes pour gagner l'allée et se rendre aux toilettes, je suppose.
Je n'ai plus aucun doute maintenant sur ses sentiments à mon égard, et ce petit coup d'oeil qu'elle a jeté pour s'assurer que je la regardais(ce que bien sûr je faisais) en est l'ultime preuve. Ce cul ! rond, ferme, musclé, et ce déhanchement, juste ce qu'il faut, pas de vulgarité, mais quelle sensualité, je me prends à imaginer son sexe peut-être déjà humide par la satisfaction de l'effet produit, et gourmand de je n'ose penser quoi.
Rarement le temps ne m'avait paru aussi long, et rarement aussi une telle érection m'avait tenaillée de la sorte. j'ai la mauvaise habitude de porter des jeans serrés, vestiges de l'adolescence . Elle revient, j'entends ses pas feutrés dans l'allée, le frôlement de ses bas quand elle resserre un peu les jambes.
Je réalise à quel point la déformation de l'entre-jambe de mon jean ne laisse aucun doute sur la nature de mes pensées, d'autant que, comme ça m'arrive parfois, je n'ai pas mis de boxer pour le voyage, pour une question de confort.
A-t-elle lu dans mes pensées ? son regard est braqué sur ma braguette et je sens que cette dernière risque fort de ne pas tenir longtemps dans ces conditions.
Elle fait mine vouloir attraper son sac pour y ranger sa pochette à main qu'elle avait emmené avec elle, mais sa petite taille ne lui permet pas d'atteindre le porte bagages, tout en me laissant par contre le loisirs de jeter un oeil à la dérobée sous son chemisier pour apercevoir ces seins prometteurs galbés dans une lingerie de dentelle fine.
Un geste maladroit lui fait lâcher sa pochette qui s'ouvre en tombant sur mes genoux, laissant apparaître la même dentelle que je venais d'admirer dans les contreforts de son anatomie. Incroyable, elle est allée enlever son string aux toilettes...
Maladroitement je lui rend ses effets, refusant dans un effort surhumain de montrer l'étendue de mon trouble. Je dois le dire comme tel, je bande maintenant comme je n'avais pas bandé depuis longtemps. Et d'un regard elle me fait comprendre que je dois l'aider. Quoi, me lever avec cet étendard dressé qui va lui arriver pile au visage...oui mais que faire, refuser pour tenter de cacher quelque chose qu'elle se plaît à dévorer du regard depuis un bon moment déjà...
Alors , assumant mon désir, je me lève, lui rendant la monnaie de sa pièce en me cambrant plus que de nécessité pour atteindre son sac et y glisser sa pochette et son string, lui laissant le temps de jauger l'amplitude du séisme hormonale auquel je suis soumis.
C'est alors que, les bras encore dans son sac, je sens une main se poser sur moi et attraper ma queue à travers mes vêtements. Des doigts fins mais vigoureux, qui savent ce qu'ils veulent et surtout comment.
Paralysé , inondé au sens propre comme au figuré, je sens des frissons me parcourir de la tête au pieds, conscient que , si un des bougres se réveille, il va me voir avec quatre mains dont deux en train de fouiller dans ma braguette, puisque celle ci n'a pas résisté et s'est docilement laissée glisser en bas, libérant mon membre gonflé de désir et trempé de plaisir.
Ses lèvres sont encore plus douces que ses mains, et m'enrobent d'une volupté humide, épongeant au passage ma mouillure d'un coup de langue averti. Elle me happe, me lape, me dévore, tantôt timidement, tantôt goulûment, et je me retiens de crier mon plaisir, sans trop savoir combien de temps je résisterai encore.
Puis, sans ménagement, elle me repousse , me faisant tomber sur le siège en face d'elle, et, avant que j'ai pu réaliser quoique ce soit, je vois ses jambes s'écarter, me laissant enfin contempler cet abricot, encore plus délicieux au regard qu'à l'imagination.
Un très fin duvet sur la naissance supérieure des lèvres gonflées de désirs, témoignent d'un rasage fréquent, d'une attention toute particulière portée, à cette intimité frémissante.
Sans réfléchir, je m'accroupis et commence à embrasser ces cuisses offertes, chaudes et toniques, tremblantes de sensations inédites. Et je remonte, lentement, savourant chaque millimètre de cette peau de pêche. Un abricot, une pêche, son corps est un verger dans lequel je vais plonger ma verge, telle une abeille butinant un fruit bien gorgé de soleil et de sucre.
Me voila maintenant arrivé tout contre ses lèvres, trempées, ruisselantes d'une
jouissance promise, unique, éphémère et belle. Après avoir lutiné tout autour , rendant définitivement folle de désirs cette petite chatte, je viens la prendre à pleine bouche, et je l'embrasse,
doucement , profondément, ma langue s'insinuant dans tous les possibles offerts.
Ce faisant, j'opère une remontée vers le pic du plaisir qui déjà se raidit, demandeur de caresses apaisantes. Je le titille du bout de ma langue, puis l'abandonne un instant, pour mieux le
rassurer d'un lapement appuyé. Enfin, je m'acharne un peu plus sur lui, ne lui laissant aucun répit, et dans un spasme vertigineux, ma belle inconnue m'agrippe la tête pour la plaquer tout contre
son sexe, et se met à bouger le bassin avec une frénésie dont la seule issue ne peut être que l'orgasme. Et je le sens arrivé à la pénétration de ses ongles dans mon cuir chevelu, alors ma langue
accentue encore sa pression soyeuse et je la sens exploser dans une jouissance aussi silencieuse que puissante, et pendant un long moment, je reste le visage enfouie au plus profond d'elle,
gouttant le nectar de nos amours ferroviaires.
Mais la farouche n'a pas dit son dernier mot, et sans autre forme de procès, elle me plaque à mon siège et vient s'empaler sur mon vît tout englué du plaisir donné. Ses mouvements puissants et profonds viennent à bout de mes dernières résistances, et lorsqu'elle sent ma jouissance arriver, ses contractions internes me fond à mon tour exploser, au plus profond de son corps, dans la moiteur de cette divine cavernes qui me recueille et m'aspire jusqu'à l'épuisement.
Je ne connais rien d'elle, ni son prénom ni même le son de sa voix, puisque la seule
chose qu'elle m'aies murmuré en quittant le wagon fut "merci". Je garderai le souvenir de la fusion de deux corps dans la quête de plaisirs partagés.
Voici une série perso envoyée par un fan de notre blog.
Vous pouvez en voir plus sur son blog perso: ICI
Merci à vous 2
Merci, tu es vraiment magnifique ....
Cap ou pas cap de nous envoyer les votres ???
Pour les mettre avec les notres ....dans les rubriques le cul des copains, et les culs et seins des copines...
libertin.kokin @ gmail.com