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Le Blog d'un Couple Libertin Breton
Voici une petite contribution d'un couple du Nord de la France
Sexyboy et Sexygirl
Je la croisais tous les jours dans l’ascenseur. Elle était toujours tirée à quatre
épingles : tailleur stricte, chemisier sage, collants noirs, escarpins à talons coordonnés, à peine de maquillage et une queue de cheval très proprement faite. L’archétype de la femme d’affaire,
sérieuse et bosseuse. Nous nous disions bonjour, nos regards se croisaient et j’essayais de ne pas trop lui montrer qu’elle me faisait un certain effet. Elle descendait . Je montais .
Il était dans les vingt heures, quand l’ascenseur s’arrêta et qu’elle y monta. Nous nous sourîmes et nous souhaitâmes une bonne soirée. Nous passions un étage, quand elle appuya sur le
bouton Stop, se tourna vers moi et me roula une énorme pelle. La surprise me figea et je me réveillais de mon trouble alors qu’elle faisait glisser ma braguette pour sortir ma queue de mon boxer.
Elle s’accroupit et se mit à me sucer pour me faire durcir. En quelques secondes, j’étais au garde-à-vous. Elle releva alors sa jupe.
Elle n’avait pas de culotte et ses collants se révélèrent être des bas, tenus par un porte-jarretelle en dentelle rouge. Elle sortit de son sac à main une capote, en déchira l’enveloppe avec les
dents, la déroula sur mon sexe, souleva une jambe et s’empala sur ma queue, tout en m’embrassant. Je la baisais avec ardeur, revenant complètement de ma surprise. Sa chatte était humide et
étroite. Je frappais le fond de son vagin à chaque mouvement, ce qui lui arrachait un cri de surprise. Elle se retira soudain, se retourna, fit face à la glace du fond de l’ascenseur et y posa
ses mains, jupe complètement relevée, son cul et sa chatte offerts. Elle me regardait droit dans les yeux.
Personne n’avait besoin de m’expliquer ce que je devais faire. Je lui saisi la taille et la pénétrais avec une joie immense. Je lui besognais la chatte avec une quasi violence. Elle
m’accompagnait en poussant son cul vers ma bite à chaque aller-retour. Elle hurlait. A la mouille qui me coulait sur la queue et le pantalon, j’avais l’impression qu’elle jouissait en continue.
Je n’en étais moi-même pas loin. Elle dut le sentir, car elle éjecta ma queue, se retourna, s’accroupit, arracha le préservatif et m’aspira.
En quelques coups de langue, le sperme monta dans ma queue et j’éjaculais au fond de sa gorge. Elle creusait les joues pour mieux pomper mon jus. Elle branlait la base de ma queue pour me vider
les bourses. Elle continuait à me vider pendant que ma queue ramollissait. Elle me lâcha la queue, se remit debout, appuya sur le bouton Stop, lissa sa jupe, se lécha les lèvres et se
regarda dans la glace pour remettre de l’ordre dans sa chevelure. Elle remettait une mèche alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient au rez-de-chaussée. Elle tourna sur ses talons, me fit
un clin d’œil en tournant la tête et sortit en me disant merci et à demain.
Nous n’avions pas échangé un mot et notre partie de baise n’avait pas duré plus de cinq minutes, mais j’étais rincé. Je sortais à mon tour de l’ascenseur et me dirigeais vers le parking. Assis
dans ma voiture, je repassais les images dans ma tête et ma queue se remit à durcir. Demain était un autre jour me dis-je en tournant le contact.
J’avais vraiment envie d’elle. Avec le régulateur de vitesse, ma main passait plus de temps à caresser sa cuisse que le levier de vitesse. Je la remontais et ne trouvais aucun tissu sous mes doigts. La coquine n’avait pas de culotte. Elle inclina le siège et remonta sa jupe. Elle était trempée.
- Arrête-toi. Baise-moi. Je veux ta queue.
La prochaine aire de stationnement était dans cinq kilomètres, si j’en croyais les panneaux. Ma bite était tendue dans son boxer, mais elle devrait attendre. Je continuais à lui caresser la chatte. Elle ôta son chemisier, défit son soutien-gorge et commença à se pincer les tétons.
Enfin l’aire ! Je vais pouvoir arrêter la voiture. Un autre véhicule est arrêté ! Que faire. Je n’en peux plus. Tant pis ! Je me gare le plus loin possible, et me penche sur la chatte de ma chérie.
- Non, ta queue, pas ta langue. Baise-moi.
Sur ce, jupe relevée, sans chemisier, elle sort de la voiture. Je sors aussi, jette un coup d’œil furtif à l’autre voiture, puis retrouve ma douce, assise sur le capot. La bite au garde-à-vous, je la pénètre sans préliminaire. J’ai face à moi, l’autoroute, sur laquelle passe toutes les deux secondes une voiture. Sans doute pas suffisant pour se rendre compte de ce qui se passe sur l’aire.
Alors que nous baisons et que nous nous abandonnons à une bonne partie de jambe en l’air, le propriétaire de l’autre voiture se rend compte de ce qui se passe et reste figé. Passé sa stupéfaction, il se rapproche et sort sa queue déjà bien raide. Ma chérie est au nirvana. Elle ne voit pas l’homme qui se rapproche en se masturbant.
- Vas-y, baise-moi fort, je veux ta queue au fond moi.
- Tu aimes ça, hein ?
L’homme est au niveau du coffre de la voiture, en train de se branler, pendant que je lime ma femme. Alors qu’elle se met à jouir avec des hurlements qui en disent long sur son état, l’inconnu éjacule sur la carrosserie et je jouis de concert.
Quelques secondes se passent. Je sors du vagin chaud et humide de ma maitresse. L’homme rentre son engin et s’éloigne.
- Il nous a vu ? demanda-t-elle en regardant l’homme.
- Je pense qu’il en a profité, répondis-je en l’embrassant. Nous avons encore de la route.
Petit matin, le soleil pointe son nez. Les courbes de son corps se devinent
sous le drap. Je passe ma main sur ses fesses. Elle frémit. Comme un chat elle ronronne. Elle se tourne sur le dos et écarte les cuisses. Un appel aux caresses. Je passe ma main sur sa fente.
Elle est douce. J’écarte les lèvres. Elle se laisse faire. Mes doigts jouent avec les chairs. Je la sens vibrer sous mes appuis.
Puis un doigt glisse en elle. Je découvre son intimité humide. Elle mouille déjà. Elle dort toujours. Ou fait semblant. Ses jambes se replient. Son bassin bascule. Elle réagit à ce doigt qui la
fouille. Puis deux. Puis trois. Ma bite a durci. J’ai besoin d’elle. Je sors ma main. Doucement, je passe entre ses jambes. Lentement je la pénètre, sans la réveiller.
Ma queue en elle lui arrache un soupir. Je ne bouge pas. Je profite de l’instant. C’est elle qui commence à bouger. Des petits mouvements, vifs et secs. Comme dans un rêve. Ce n’est pas moi qui
la baise, c’est elle. Toujours immobile, je laisse faire son corps. Soudainement elle s’arrête et je commence.
Lentement, je me retire, puis reviens. J’ondule dans son vagin. Ma queue glisse en elle. Elle est trempée. Je sens sa mouille. Elle me glisse sur les couilles. Je ferme les yeux. Que c’est bon.
Et ses mouvements recommencent. Nous bougeons ensemble. Je la sens se tendre. Son ondoiement s’accélère. Elle s’arc-boute soudain. Je lâche mon jus en elle. Elle ouvre les yeux. Me fixe. Notre
orgasme nous uni. Je t’aime !
C’était une belle journée ensoleillée, une journée à se coucher sur l’herbe dans un
parc. Dans l’air régnait une atmosphère de printemps, une douceur propice à la nonchalance, aux amours. Au détour de ces jours naissent parfois des instants magiques, des petits bouts de vie,
coins de voile levés sur ce mystère profond que peut être le bonheur. Elle et moi partions en balade, bien loin de nous douter qu’un de ces moments aille nous être offert.
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Cap ou pas cap de nous envoyer les votres ???
Pour les mettre avec les notres ....dans les rubriques le cul des copains, et les culs et seins des copines...
libertin.kokin @ gmail.com