Le blog d'un couple libertin breton
Ma bite explosait dans mon jean. Elle avait enlevé son escarpin droit et me frottait
l’entrejambe de son pied. La nappe ne descendant pas jusqu’en bas de la table, je n’étais pas certain qu’on ne pouvait pas nous voir. J’essayais de discuter naturellement, mais mon excitation
devait se sentir dans ma voix. Le garçon débarrassa la table. Elle avait toujours le pied posé sur le rebord de ma chaise.
- je vais au toilette, m’annonça t’elle en se levant.
Je la regardais s’éloigner de la table, en ondulant du cul sur ces talons hauts. Il faut dire qu’elle avait tout fait pour que je la regarde : mini-jupe de cuir noir, chemisier chair au dos nu
vertigineux et une paire d’escarpins noirs aux talons vertigineux qui galbait ses mollets.
Ma bite était en béton dans mon pantalon. Il fallait que je fasse quelque chose. Je me levais donc pour aller aux toilettes, laissant mon portable sur la table pour bien notifier que je ne me
sauvais pas sans payer la note.Au moment de rentrer dans les toilettes des hommes, j’hésitai et poussai la porte de celles des femmes, espérant n’y trouver que ma femme.
Elle était en train de se remettre du rouge à lèvre face au miroir et ne sembla pas surprise de me voir. Elle se tourna vers moi, me sourit, releva sa jupe, s’assit sur le marbre du lavabo et fit
glisser son string.
- baise-moi, m’ordonna-t-elle !
Elle n’eut pas besoin de me demander deux fois. Je fis sauter les boutons de mon jean, sortit me queue qui était définitivement trop à l’étroit tout en m’approchant. D’un coup de rein, j’étais au
fond de sa chatte détrempée. On pouvait à tout moment rentrer dans les toilettes et cela ne faisait qu’amplifier notre excitation. A chaque coup de boutoir elle se mordait les lèvres pour ne pas
crier.
Je la baisais avec ardeur, presque avec violence. Sous son chemisier, je devinais sa poitrine qui se balançait.Elle enroula ses jambes autour de mes hanches pour que je la pénètre plus
profondément. Je mis mes mains sous son cul pour mieux la propulser vers ma queue. J’étais en nage. Elle jouit rapidement en se mettant à tourner la tête comme une folle et tout se corps
tremblant. Son orgasme déclencha le mien et je lâchai mes flots de sperme au fond de son vagin. Encore un ou deux va-et-vient et je me retirai.
Je refermai mes boutons, l’embrassai sur les lèvres, tournai les talons et repartis vers la sortie. Je sortais des toilettes pour femmes, quand un autre homme allait pousser la porte de celles
pour homme. Il tourna la tête vers moi, eut l’air surpris, mais vit ma femme toujours assise sur le lavabo, en train de réajuster sa tenue. Je lui fis un clin d’œil et me dirigeai vers la
salle.