Le blog d'un couple libertin breton
J’avais vraiment envie d’elle. Avec le régulateur de vitesse, ma main passait plus de temps à caresser sa cuisse que le levier de vitesse. Je la remontais et ne trouvais aucun tissu sous mes doigts. La coquine n’avait pas de culotte. Elle inclina le siège et remonta sa jupe. Elle était trempée.
- Arrête-toi. Baise-moi. Je veux ta queue.
La prochaine aire de stationnement était dans cinq kilomètres, si j’en croyais les panneaux. Ma bite était tendue dans son boxer, mais elle devrait attendre. Je continuais à lui caresser la chatte. Elle ôta son chemisier, défit son soutien-gorge et commença à se pincer les tétons.
Enfin l’aire ! Je vais pouvoir arrêter la voiture. Un autre véhicule est arrêté ! Que faire. Je n’en peux plus. Tant pis ! Je me gare le plus loin possible, et me penche sur la chatte de ma chérie.
- Non, ta queue, pas ta langue. Baise-moi.
Sur ce, jupe relevée, sans chemisier, elle sort de la voiture. Je sors aussi, jette un coup d’œil furtif à l’autre voiture, puis retrouve ma douce, assise sur le capot. La bite au garde-à-vous, je la pénètre sans préliminaire. J’ai face à moi, l’autoroute, sur laquelle passe toutes les deux secondes une voiture. Sans doute pas suffisant pour se rendre compte de ce qui se passe sur l’aire.
Alors que nous baisons et que nous nous abandonnons à une bonne partie de jambe en l’air, le propriétaire de l’autre voiture se rend compte de ce qui se passe et reste figé. Passé sa stupéfaction, il se rapproche et sort sa queue déjà bien raide. Ma chérie est au nirvana. Elle ne voit pas l’homme qui se rapproche en se masturbant.
- Vas-y, baise-moi fort, je veux ta queue au fond moi.
- Tu aimes ça, hein ?
L’homme est au niveau du coffre de la voiture, en train de se branler, pendant que je lime ma femme. Alors qu’elle se met à jouir avec des hurlements qui en disent long sur son état, l’inconnu éjacule sur la carrosserie et je jouis de concert.
Quelques secondes se passent. Je sors du vagin chaud et humide de ma maitresse. L’homme rentre son engin et s’éloigne.
- Il nous a vu ? demanda-t-elle en regardant l’homme.
- Je pense qu’il en a profité, répondis-je en l’embrassant. Nous avons encore de la route.