Le blog d'un couple libertin breton
Lorsque je suis arrivé, elle était endormie dans le hamac sous les arbres, mais le soleil qui avait tourné luisait sur sa peau et lui donnait chaud malgré cette fin d’après midi. Elle était vêtue de son maillot de bain (un bikini noir) et était allongée sur le dos, un bras devant les yeux pour les protéger du soleil. Sa peau ambrée par ces vacances au bord de la mer luisait de fines perles de sueur qui donnèrent à mes premiers baisers un goût de sel enivrant.
Je l’embrassais lentement dans le cou, sa tête rejetée sur le côté, descendant à chaque baiser un peu plus vers sa poitrine, suivant le chemin des perles de sueur jusqu’au creux de ses seins. Ma main droite caressait son ventre chaud et je promenais le bout de mes doigts jusqu’à l’élastique de sa culotte où je m’attardais, tenté de descendre plus loin avant de repartir vers son ventre.
Je la senti frémir sous ma langue, qui recherchait la moiteur de ses seins et je vis ses yeux luire de désir sous l’ombre de son bras, qu’elle reposa aussitôt afin de profiter de mes caresses. Tandis que je continuais de caresser son ventre et chaque partie de son corps à nu dans ce maillot, j’écartais de la main droite le haut de son bikini afin de capturer les mamelons de ses adorables seins dans ma bouche. Elle commença à se cambrer sous les ondes de plaisir qui remontaient de sa poitrine et desserra ses jambes par un réflexe m’invitant à aller plus loin. Tandis que je continuais à m’occuper de ses seins avec ma bouche et ma main gauche à tour de rôle, je fis descendre ma main droite sur le tissu qui recouvrait son sexe et le lui caressait à travers cette petite pièce d’étoffe qui me séparait de sa moiteur intime et la séparait du contact de ma peau.
Sous mes caresses elle écarta généreusement ses cuisses en gémissant, laissant à mes doigts un passage par l'entrebâillement de sa culotte, sur le coté dans le creux des cuisses. Je senti ses muscles se contracter lorsque mes doigts touchèrent la moiteur salée de sa vulve, déjà humide de désir et je pu sans peine jouer avec son clitoris et glisser un doigt dans sa fente tandis quelle se cambrait voluptueusement sous mes caresses.
N'y tenant plus moi non plus, je me hissais à ses côtés, m'asseyant près d'elle puis basculant sur le côté, la tête près de son ventre, mon ventre près de sa bouche. Je pu alors me délecter de son sexe humide et chaud que mes caresses avaient préparé et glissa avec volupté ma langue sur son clitoris. Ma main gauche écartait sa culotte tout en tirant doucement son minou vers le haut afin de dégager son petit bouton rose, tandis que ma main droite caressait ses cuisses et le bas de ses fesses.
Ma langue allait et venait autour de son clitoris, sur ses lèvres roses et gonflées de désir, puis revenait sur ce clitoris que j'aspirais avec avidité. Ma main gauche remplaça ma langue sur son clitoris et ma langue s'immisça à l'entrée de son vagin, à la source salée de son plaisir, où je la fis entrer et sortir lentement en titillant les parois de son sexe. Ma main droite remonta le long de ses fesses et mon index vint plonger dans son sexe, ce qui la fit se cambrer de surprise et de plaisir. Ses gémissements se firent plus forts. Mon doigt redescendit lentement le long de sa vulve pour s'arrêter entre ses fesses où je me mis à lui titiller le pétale de rose en effectuant des petits mouvements circulaires de plus en plus appuyés. Mon excitation était telle que mon short trop étroit ne suffisait plus à contenir entièrement toute la dimension de mon désir...
Voyant mon excitation elle écarta la jambe gauche de mon short et en sorti mon pénis, gonflé de désir. Je la senti le caresser, le malaxer, sa main descendre jusqu’à mes testicules afin de les presser tendrement. Cela me fit perdre un moment le fil de mes explorations entre ses cuisses, et lorsque je senti la douce chaleur de sa bouche se rapprocher, je retins mon souffle en pensant au contact humide et chaud de sa gorge. Ses petits coups de langue devinrent de plus en plus empressés et elle m’avala d’un coup, m’inondant de chaleur, de moiteur et d’extase.
Je revins à son sexe et accéléra le mouvement de mes doigts sur son clitoris tout en enfouissant ma langue dans sa petite grotte salée et si douce. L’index de ma main droite appuya plus fortement sur sa rondelle humide et s’immisça lentement entre ses fesses, allant et venant doucement, puis de plus en plus vite. Je sentis son plaisir monter au rythme saccadé du mouvement de son bassin, m’invitant chaque fois à aller plus vite et plus au fond d’elle. Je sentis son orgasme monter lorsque ses mouvements sur mon sexe s’intensifièrent et se firent plus gourmand, et nous atteignîmes l’extase en même temps, mon plaisir inondant sa gorge, au son de ses râles de plaisir.
Nous sommes restés plusieurs minutes blottis la tête contre le ventre de l’autre, la bouche emplie du goût du plaisir de l’autre. Le soleil déclinant nous réchauffait doucement, et après avoir repris nos esprits nous avons décidé de rentrer dans la maison pour une petite douche et un petit casse croûte, car l’amour donne faim et le repas de midi était déjà un lointain souvenir.